Présidentielles-Chronique d'une défaite annoncée pour Sarko

Le petit ou le nain aux échasses en tenue de bagnard, sa gamelle en mains, allant au réfectoire d'une prison française pour son dîner, telle est et devrait être la motivation centrale, essentielle pour tous ceux qui iront apporter leurs suffrages au premier tour des prochaines élections présidentielles en France. 

Les cris de ralliement se font d'ailleurs très nombreux, de Ségolène Royale à Eva Joly, en passant par une large majorité de magistrats français, tous veulent entendre Nicolas Sarkozy sur tous les soupçons d'escroquerie, de trafic d'influence, d'extorsion de fonds, de génocide, de prise illégale d’intérêts, de subornation de témoins, de blanchiment d'argent ou d'évasion fiscale qu'il traîne dans ses talonnettes qui lui servent de strapontin.

C'est vrai, Sarko est aux abois, il éructe, il a très peur... Les prédictions sorties des multiples sondages lui sont fortement défavorables et ce depuis de longs mois. La perspective de devoir répondre des crimes qui lui sont imputés s'il perdait les élections l'empêche de trouver le sommeil. Les français ne se sont pas encore exprimés sur leurs votes que l'actuel Président-candidat distribue déjà les postes, ses sbires, pour attirer les potentiels électeurs du centriste François Bayrou, offrent déjà à ce dernier, un poste de Premier ministre dans le très improbable, voire hypothétique gouvernement du deuxième quinquennat de Sarkozy... A l'UMP, c'est panique à bord !

Pour tous ceux qui rêvent de voir un jour l'avènement de la justice, de l'égalité entre les hommes, d'où qu'ils viennent, de la paix dans le monde, de la fin de tous les passe-droits, le seul choix qui s'impose à eux est de voter contre Sarkozy !