Dans le vaste chantier de la construction du Cameroun, les contributions sont multiples et variées, les plus notables étant les idées, les projets, suivies de matérialisation ou pas, qu’il serait insensé de minimiser l’impact positif de ces gens qui les portent, ces têtes bien faites, qui se sont fixés pour objectif de penser notre société de demain. Ils sont utiles à la volonté d’aller de l’avant de leur pays, dans l’élaboration des stratégies qui le placeront sur la voie du développement, faisant bien de se tenir éloignés de ces aboyeurs irréductibles et irrévérencieux, ces tout-sachants dont les seuls faits d’arme sont de s’opposer à tout, sans jamais rien proposer. Et il y en a aussi, pas très nombreux au regret, je le concède, vu le potentiel énorme et les ressources illimitées dont ils disposent, qui s’endettent pour certains, se ruinent pour d’autres, pour créer des richesses, de la croissance et des emplois au Cameroun.
Ces derniers surtout, quelque soit l’aversion qu’ils nourrissent pour Biya Paul et pour son gouvernement, ou alors, disons « régime », pour épouser une terminologie à la mode, et ça c’est quand ils s’intéressent à la politique politicienne, ils ne peuvent pas souhaiter la destruction du Cameroun, la mort de leurs compatriotes qui ne partagent pas leurs visions de leur société, encore moins la mise en péril de leurs propres investissements, juste pour qu’une illusoire alternance ait lieu à la tête de leur État. Ils ont compris depuis longtemps qu’on ne peut améliorer son confort personnel, qu’en y travaillant soi-même. Ils ont déjà fait l’effort d’intégrer ceci que les hommes politiques sont comme ces charlatans, qui vous promettent l’abondance, simplement pour mieux repousser leur propre misère.
Ceux qui ont en effet le moins à perdre dans un Cameroun en ruines et à qui profite paradoxalement le chaos, c’est naturellement ceux-là qui n’y ont jamais rien investi. N'ayant aucun bien personnel à défendre, qu'ils substituent confusément au « bien public », l’objet de tous leurs délires et de toutes les convoitises, ils livrent donc une guerre sans merci à tous ceux qui peuvent profiter des avantages auxquels ils n'ont pas accès. Le bien public, un horizon incompris pour ces incultes totalitaires, des délinquants civiques, qui n’ont pas assez d’outils pour comprendre, que la construction d’un État, d'un pays, repose essentiellement sur le travail, la résilience même et la solidarité de ses citoyens, que sur l'idée saugrenue, qu'ils entretiennent sur le partage des richesses. Ils n’ont déjà rien à gagner - ils ont atteint le fond, mais continuent de creuser -, qu’ils sont prêts à en perdre davantage, si ça peut calmer leurs aigreurs et frustrations.
On ne va pas risquer d’être gagné par la désespérance, quand même, puisqu’il y a heureusement d'autres camerounais issus de toutes les couches de leur société, qui n’ont jamais voté pour Monsieur Biya Paul, le président de leur pays et qui n’ont jamais milité dans sa famille politique, ni dans aucune autre d’ailleurs, mais qui travaillent sans relâche pour que leur pays ne sombre dans l’extrémisme politique ou l’obscurantisme du « Biya-Must-Go ». Ils ne l’ont jamais fait - ça pourrait être mon cas -, pour la simple raison que la démocratie et ses instruments, que sont les élections, la liberté d’expression et tous ces concepts fumeux qui vont avec, ne sont qu’une immense fumisterie, qui sert les intérêts illicites d’une élite minoritaire notoirement mafieuse. Ma conviction. Ces camerounais, susurrais-je, plus que je n'ai envie de le crier, citoyens, plus en devoirs, qu’en droits, puisqu’ils donnent sans jamais rien demander en retour à leur État, sont légitimes à exiger un Cameroun en paix, pour au moins protéger leurs investissements et les emplois qu’ils créent.
Retenons pour finir que les causes communes n’ont jamais existé. Le « bien public », entendu comme tel, est tout aussi une vaste escroquerie. C’est à cause de cette crédulité coupable, que les africains remplissent les églises et attendent les miracles d’un Dieu qu’ils espèrent bon et généreux, pour eux, mais pas pour les autres. Oui, que les peuples comprennent cela une fois pour toute, que ceux qui veulent diriger le monde ou leurs pays, poursuivent d’abord et surtout, des ambitions personnelles, sous-entendues égoïstes et c’est pourquoi, des camerounais, dont je fais partie, revendiquent leurs droits à protéger leurs investissements, en misant sur un Cameroun débarrassé de toutes les crises qui la déchirent depuis quelques années, animées par des gens (qui ont la particularité d'être camerounais aussi), dont les seules perspectives sont de détruire ce qu’ils n’ont jamais pu et su construire.
Ces derniers surtout, quelque soit l’aversion qu’ils nourrissent pour Biya Paul et pour son gouvernement, ou alors, disons « régime », pour épouser une terminologie à la mode, et ça c’est quand ils s’intéressent à la politique politicienne, ils ne peuvent pas souhaiter la destruction du Cameroun, la mort de leurs compatriotes qui ne partagent pas leurs visions de leur société, encore moins la mise en péril de leurs propres investissements, juste pour qu’une illusoire alternance ait lieu à la tête de leur État. Ils ont compris depuis longtemps qu’on ne peut améliorer son confort personnel, qu’en y travaillant soi-même. Ils ont déjà fait l’effort d’intégrer ceci que les hommes politiques sont comme ces charlatans, qui vous promettent l’abondance, simplement pour mieux repousser leur propre misère.
Ceux qui ont en effet le moins à perdre dans un Cameroun en ruines et à qui profite paradoxalement le chaos, c’est naturellement ceux-là qui n’y ont jamais rien investi. N'ayant aucun bien personnel à défendre, qu'ils substituent confusément au « bien public », l’objet de tous leurs délires et de toutes les convoitises, ils livrent donc une guerre sans merci à tous ceux qui peuvent profiter des avantages auxquels ils n'ont pas accès. Le bien public, un horizon incompris pour ces incultes totalitaires, des délinquants civiques, qui n’ont pas assez d’outils pour comprendre, que la construction d’un État, d'un pays, repose essentiellement sur le travail, la résilience même et la solidarité de ses citoyens, que sur l'idée saugrenue, qu'ils entretiennent sur le partage des richesses. Ils n’ont déjà rien à gagner - ils ont atteint le fond, mais continuent de creuser -, qu’ils sont prêts à en perdre davantage, si ça peut calmer leurs aigreurs et frustrations.
On ne va pas risquer d’être gagné par la désespérance, quand même, puisqu’il y a heureusement d'autres camerounais issus de toutes les couches de leur société, qui n’ont jamais voté pour Monsieur Biya Paul, le président de leur pays et qui n’ont jamais milité dans sa famille politique, ni dans aucune autre d’ailleurs, mais qui travaillent sans relâche pour que leur pays ne sombre dans l’extrémisme politique ou l’obscurantisme du « Biya-Must-Go ». Ils ne l’ont jamais fait - ça pourrait être mon cas -, pour la simple raison que la démocratie et ses instruments, que sont les élections, la liberté d’expression et tous ces concepts fumeux qui vont avec, ne sont qu’une immense fumisterie, qui sert les intérêts illicites d’une élite minoritaire notoirement mafieuse. Ma conviction. Ces camerounais, susurrais-je, plus que je n'ai envie de le crier, citoyens, plus en devoirs, qu’en droits, puisqu’ils donnent sans jamais rien demander en retour à leur État, sont légitimes à exiger un Cameroun en paix, pour au moins protéger leurs investissements et les emplois qu’ils créent.
Retenons pour finir que les causes communes n’ont jamais existé. Le « bien public », entendu comme tel, est tout aussi une vaste escroquerie. C’est à cause de cette crédulité coupable, que les africains remplissent les églises et attendent les miracles d’un Dieu qu’ils espèrent bon et généreux, pour eux, mais pas pour les autres. Oui, que les peuples comprennent cela une fois pour toute, que ceux qui veulent diriger le monde ou leurs pays, poursuivent d’abord et surtout, des ambitions personnelles, sous-entendues égoïstes et c’est pourquoi, des camerounais, dont je fais partie, revendiquent leurs droits à protéger leurs investissements, en misant sur un Cameroun débarrassé de toutes les crises qui la déchirent depuis quelques années, animées par des gens (qui ont la particularité d'être camerounais aussi), dont les seules perspectives sont de détruire ce qu’ils n’ont jamais pu et su construire.
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