Ils sont installés sur Facebook, le temple idéal pour l'exercice de leur prêche morbide, le sanctuaire rêvé pour faire vivre leur haine chronique du Cameroun, le seul endroit où ils peuvent encore distiller leur fiel, recruter le peu d’âmes oisives qui restent pour les former à l’idéologie de la détestation de leur pays. Nous savons pourtant que la priorité est ailleurs... Le processus de ré-colonisation du Cameroun a commencé, après celle effective de la République Centrafricaine et celle du Mali où les forces françaises, prétendument venues pour une mission de lutte contre le terrorisme et de paix, sont désormais exclusivement occupées à sécuriser l’extraction au franc symbolique de l’uranium du Niger, pour le compte de la société AREVA, abandonnant les pauvres maliens, lourdés, déçus par tant de promesses non tenues, se tirer dessus...
Oui, sous le vaseux prétexte de lutte contre le tribalisme au Cameroun, militant aussi pour la création d'un état fédéral là-bas, concept sorti tout droit des usines à chaos de leurs maîtres, ceux qui pillent, violent, tuent sans relâche en Afrique et qui pensent toujours qu'il y a une parenté entre un primate et un nègre.
Ces camerounais ne sont pas éloignés idéologiquement des honteux négriers du temps de l’esclavage, ni des collabos qui envoyaient de pauvres juifs dans les fours crématoires sous Vichy.
Comme Al Qaïda, Aqmi ou même Boko Haram, ces criminels ont décidé de traîner leur continent et son destin au marché du détail de l’impérialisme et de l’esclavage... Ils veulent manger, ils veulent un peu de pouvoir, l’aigreur chevillée au corps, la haine haute telle un salut Nazi... Qu’ils soient combattus!
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