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dimanche 13 novembre 2016

LES VRAIS ENNEMIS DES PEUPLES NE SONT PAS DONALD TRUMP ET LES PARTIS D'EXTRÊME DROITE EN EUROPE, QUI METTENT « RÉELLEMENT » LE CITOYEN, L'HUMAIN AU CENTRE DE LEURS PROJETS POLITIQUES.

La profondeur de l'abîme dans lequel se trouvent les minorités noires et leur conscience, se mesure par rapport à leurs réactions positives aux différentes propagandes de conditionnement des médias et des hommes politiques occidentaux. Je suis effaré de voir que des noirs aient été mêlés aux manifestations anti-Trump, après sa victoire à l’élections présidentielle américaine, au prétexte fallacieux qu'il serait raciste. Ils étaient rejoints dans ce suicide collectif par une catégorie de femmes, tombées elles aussi dans le piège d'Hilary Clinton, la représentante du système, qui pendant toute sa campagne, n'avait pas arrêté de présenter Trump comme étant un personnage misogyne, qui « parle vulgairement du sexe des femmes ». Combien de fois avons-nous tremblé à la seule idée de laisser nos enfants seuls devant une télé, face à des programmes élaborés par les amis d'Hilary Clinton, qui les exposent dès leur jeune âge à un voyeurisme coupable, d'une sexualité qui viole leur innocence ? 

Aux États-Unis, ce serait devenu plus grave de dire qu'on tiendra une femme par sa « chatte », que d'être un noir et de se faire canarder par les balles d'un policer blanc raciste, qui ne sera jamais inquiété par la justice. Dans leur intimité, les hommes ne disent pas seulement, qu'ils veulent tenir des femmes par leurs « chattes », mais ils vont même beaucoup plus loin que ça, puisqu'ils les tiennent effectivement, pour leurs plaisirs et ceux de ces dames, que j'ai toujours du mal à trouver une quelconque corrélation avec la misogynie là-dedans. Par ailleurs et  dans le même ordre d'idées, vous poserez la question aux arabes ou aux noirs en France, de ce qu'ils pensent du Front National, Parti politique dit d'extrême-droite, ils vous répondront en chœur que c'est une organisation politique raciste, négrophobe, islamophobe et arabophobe, tous des mots avec des « phobes », pas tirés des expériences qu’ils aient vécues personnellement, mais simplement parce qu'ils sont « conditionnés » par le système et ses médias, à penser de cette façon là.

La France n'a pourtant jamais eu besoin du Front National de Marine Le Pen, pour pratiquer l'exclusion communautariste, qui placarde les noirs et les arabes de confession musulmane. Ceux qui désignent ces groupes minoritaires, comme étant la source de tous les problèmes socio-économiques de la France, appartiennent pourtant aux partis politiques traditionnels du système, qui bénéficient du statut pompeux de « républicains ». Et toujours en France, il suffit pour s'en convaincre, de suivre la campagne pour les Primaires de Droite, qui désigneront le prochain candidat pour affronter le candidat de Gauche à la présidentielle de 2017. Aux États-Unis, c'est sous la présidence d'un noir, Barack Obama et de celle des Clinton, que les noirs américains ont le plus été confrontés à l'exclusion et aux crimes racistes, qui rappellent les heures sombres de l'esclavage. Et si on retourne en France, on constatera que des repris de justice peuvent se porter candidats pour gouverner la France, tant que c'est pour protéger les intérêts du système et satisfaire son appétit d'ogre, un pays dans lequel le prosélytisme homosexuel, même dans les écoles primaires, après la « loi sur le mariage pour tous», est érigé au rang de valeurs, mais oser dire qu'on tiendra une femme par sa « chatte », même en privé, c’est un sacrilège, qui vaudrait automatiquement une condamnation à mort. 

C'eut été donc une erreur monumentale, que de voter pour Hilary Clinton juste parce qu'elle est une femme, au mépris de la grande criminelle corrompue égocentrique, qu'elle est. De toute sa très longue carrière politique, je ne lui trouve aucun fait majeur, en faveur des noirs américains, pour que ceux-ci aient eu envie de voter pour elle à un moment donné. Et les multiples sources de financement de sa campagne présidentielle, ainsi que ses liens incestueux avec la pègre de la politique internationale, étaient des indices suffisants pour ne pas commettre la bourde de la plébisciter.

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