Je suis de ceux qui pensent et c'est une conviction profonde, que les religions monothéistes venues d'ailleurs et imposées aux africains, n'étaient simplement que des instruments utilisés pour les soumettre, les rendre plus dociles, coopératifs, léthargiques même, afin de mieux les spolier. Telle a toujours été leur seule mission, ce qui de mon propos, ne remet d'ailleurs pas en cause, aucunement précise-je, l'existence d'un Dieu ou de plusieurs d'ailleurs, si ça peut prévenir les furies de quelques déistes forcenés ou les adeptes de l'étroitesse d'esprit.
Ces religions et leurs livres (Bible, Coran ou même Tora, entre autres) auxquels on prête généreusement un caractère sacré, recèlent tous une part importante de sectarisme, de brutalité et de barbarie quand on parcourt leurs lignes, qu'il serait illusoire d'essayer d’établir une espèce d’échelle de valeurs entre eux. Elles (les religions) posent plus de problèmes à nos sociétés, par leur rigidité, leur inflexibilité, qu’elles n’en ont résolu jusque là, ce qui amène la réflexion selon laquelle, le Christianisme, l’Islam ou d’autres, seraient toutes de véritables fléaux pour le continent africain, n'ayant jamais rempli leurs cahiers de charges là-bas, si ce n'est d'enjoindre aux africains de pardonner à leurs bourreaux séculaires, ceux-là dont les dommages et les crimes en Afrique n'ont jamais cessé de se renouveler. Ça c'est fait...ou presque.
Et j'ai quand même envie de demander, pour boucler la boucle, si les derniers événements sinistres qu'a connu la France ces derniers temps, ne tendraient pas à conforter mon sentiment de défiance face à ces religions ? Passons.
Plus sérieusement et pour parler d'autres choses, c'est donc une tentative et presqu'une réussite de mise à mort d’une Communauté toute entière par les autorités politiques françaises, qui après les attentats du 13 novembre dernier, clamaient tous, haut et fort, qu’il ne fallait pas faire d’amalgames, que l’islam et les musulmans, n’avaient rien à voir avec les actes barbares que commettaient certains illuminés au nom de leur religion, que les premières mesures visant à circonscrire la menace terroriste, furent justement, j’allais dire naturellement, dirigées contre eux… Les politiques français - qui n’ont plus de solutions à apporter aux nombreuses sollicitations et questions que leur posent leurs citoyens - tiraillés par des difficultés de diverses natures -, prennent toujours quasi inéluctablement, le raccourci facile de la haine raciale et de l’islamophobie, pour masquer leur incurie.
Si la démocratie a déjà plus arraché de vies humaines que l'islam (et là je m’adresse aux islamophobes irréductibles), avec l'avantage que les armes qu'elle utilise sont conventionnelles ou largement acceptée par tous. Pourquoi ne stigmatise t-on pas autant les criminels qui se servent de cette autre religion pour tuer, qu'on ne le fait avec ces petits tarés qui disent «Allah Akbar» avant de se faire sauter avec une bombe ? Ce n'est pourtant pas la faute de l'islamisme présumément radical, si l’Irak avait été complètement détruit, des dizaines de milliers de ses citoyens piégés sous les bombes assassines de Georges Bush Jr, qui n'était pas barbu, ne fréquentait pas les mosquées, ni n’avait été dans un quelconque camp djihadiste en Syrie. Ce n’est pas non plus en criant «Allah Akbar», que les puissances occidentales avaient ordonné la destruction totale de la Libye et le génocide de son peuple.
Pourquoi Bernard Henri Lévy, Nicolas Sarkozy, David Cameron ou Barack Obama n'ont-ils pas les mêmes traitements de pestiférés que leurs complices dans le crime qu'étaient les frères Kouachi, Mohamed Merah, Amedy Coulibaly ou Abdelhamid Abaaoud ? La discriminination, même dans l'horreur ? On vivrait mieux dans notre monde sans la dictature commune et les crimes indicibles de ces religions que sont la démocratie, le christianisme et l'islam...
Que les victimes de la barbarie humaine reposent en paix.
Ces religions et leurs livres (Bible, Coran ou même Tora, entre autres) auxquels on prête généreusement un caractère sacré, recèlent tous une part importante de sectarisme, de brutalité et de barbarie quand on parcourt leurs lignes, qu'il serait illusoire d'essayer d’établir une espèce d’échelle de valeurs entre eux. Elles (les religions) posent plus de problèmes à nos sociétés, par leur rigidité, leur inflexibilité, qu’elles n’en ont résolu jusque là, ce qui amène la réflexion selon laquelle, le Christianisme, l’Islam ou d’autres, seraient toutes de véritables fléaux pour le continent africain, n'ayant jamais rempli leurs cahiers de charges là-bas, si ce n'est d'enjoindre aux africains de pardonner à leurs bourreaux séculaires, ceux-là dont les dommages et les crimes en Afrique n'ont jamais cessé de se renouveler. Ça c'est fait...ou presque.
Et j'ai quand même envie de demander, pour boucler la boucle, si les derniers événements sinistres qu'a connu la France ces derniers temps, ne tendraient pas à conforter mon sentiment de défiance face à ces religions ? Passons.
Plus sérieusement et pour parler d'autres choses, c'est donc une tentative et presqu'une réussite de mise à mort d’une Communauté toute entière par les autorités politiques françaises, qui après les attentats du 13 novembre dernier, clamaient tous, haut et fort, qu’il ne fallait pas faire d’amalgames, que l’islam et les musulmans, n’avaient rien à voir avec les actes barbares que commettaient certains illuminés au nom de leur religion, que les premières mesures visant à circonscrire la menace terroriste, furent justement, j’allais dire naturellement, dirigées contre eux… Les politiques français - qui n’ont plus de solutions à apporter aux nombreuses sollicitations et questions que leur posent leurs citoyens - tiraillés par des difficultés de diverses natures -, prennent toujours quasi inéluctablement, le raccourci facile de la haine raciale et de l’islamophobie, pour masquer leur incurie.
Si la démocratie a déjà plus arraché de vies humaines que l'islam (et là je m’adresse aux islamophobes irréductibles), avec l'avantage que les armes qu'elle utilise sont conventionnelles ou largement acceptée par tous. Pourquoi ne stigmatise t-on pas autant les criminels qui se servent de cette autre religion pour tuer, qu'on ne le fait avec ces petits tarés qui disent «Allah Akbar» avant de se faire sauter avec une bombe ? Ce n'est pourtant pas la faute de l'islamisme présumément radical, si l’Irak avait été complètement détruit, des dizaines de milliers de ses citoyens piégés sous les bombes assassines de Georges Bush Jr, qui n'était pas barbu, ne fréquentait pas les mosquées, ni n’avait été dans un quelconque camp djihadiste en Syrie. Ce n’est pas non plus en criant «Allah Akbar», que les puissances occidentales avaient ordonné la destruction totale de la Libye et le génocide de son peuple.
Pourquoi Bernard Henri Lévy, Nicolas Sarkozy, David Cameron ou Barack Obama n'ont-ils pas les mêmes traitements de pestiférés que leurs complices dans le crime qu'étaient les frères Kouachi, Mohamed Merah, Amedy Coulibaly ou Abdelhamid Abaaoud ? La discriminination, même dans l'horreur ? On vivrait mieux dans notre monde sans la dictature commune et les crimes indicibles de ces religions que sont la démocratie, le christianisme et l'islam...
Que les victimes de la barbarie humaine reposent en paix.
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