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lundi 16 novembre 2015

Terrorisme et vile compétition de la compassion en Nègrerie (Afrique Noire)

« Même à Foumban, village d’origine de mes parents, lors d’un décès, la tradition était que tout le monde -, même les inconnus - devait aller se prosterner devant le corps du défunt et pleurer…pendant 40 jours. Ce trop plein de sollicitude se faisait aux frais de la famille pourtant éplorée, qui devait nourrir, s’occuper des gorges inexorablement sèches et trouver où dormir aux «pleureurs professionnels». Il y a donc on s’en doute, cette espèce d’atavisme dans la commisération excessive obsessionnelle chez le nègre, qui n’a jamais rien eu de rationnel, et même ça, c’est entrain de finir, heureusement, non, m’enfin… »

Concernant donc le drame qui a secoué Paris il y a quelques jours, l‘Afrique noire s’est invitée, illustrée comme il fallait s’y attendre, toute seule comme une grande, prenant le rôle qui lui est dévolu dans l’histoire de notre humanité, celui d'exposer de façon outrageante, ses émotions. Elle a pleuré, beaucoup, sans relâche, enjoignant d’autres de le faire et surtout les intimant d'arrêter de réfléchir. Oui, en Afrique noire, la raison c'est l'émotion... Ceux qui sont dans cette démarche, sont, à leurs corps défendant - je suis gentil -, dans la mise en œuvre et la perpétuation de cette vieille formule avilissante, infantilisante de l'africain noir, qui disait: "l'émotion est nègre, la raison est hellène". Le nègre ne servirait donc qu'à ça, pleurer, verser des larmes et avoir un cerveau poreux...

Qu’on se le dise une fois pour toute et surtout qu’on se l’intègre, la mémoire et l'histoire douloureuse de l'Afrique devront dorénavant conditionner ou précéder les prises de position de ses fils et filles, chaque fois qu’ils seront interpellés pour réagir, où avant, seules leurs larmes étaient requises. Il est plus que temps de fermer ces industries risibles et contre-productives du «pleurer-manger», domaines de définition par excellence du parfait nègre.

Revenant sur les atrocités de Paris du 13 novembre 2015, il n'a jamais été difficile de comprendre que, susciter l’émotion au sein de l’opinion, un procédé éculé de la part de ces machins déshumanisés qui nous gouvernent en Europe et un objectif désormais atteint (il suffit pour cela de lire les réactions des africains sur les réseaux sociaux), ce n’était qu’une finasserie, qui leur permettait d'édulcorer, voire même d’éteindre carrément leurs responsabilités directes dans le drame qui a frappé des centaines de familles, qui seront à jamais marquées par tant de cruauté… Il fallait donc «noyer» le questionnement et le doute dans les larmes.

De nos jours et c'est valable pour tous et partout, on ne pleure plus qu'utile, la compassion n'est plus gratuite, elle n'est même plus naturelle et celui qui ne l'a toujours pas compris, réfractaire qu'il est au bon sens, c'est l'africain noir. Exiger avant de prêter une larme, qu'il soit reconnu que le rôle de la politique étrangère de la France est la principale responsable de nos malheurs, ne devrait pas me cantonner à l'inhumanité, ni faire de moi un être insensible, bourré de haine. Ce qui a éclos à Paris l'autre soir, du sang et des corps sans vie jonchant les trottoirs, c'est ce que cette crapule, que dis-je, c'est ce que cette élite mafieuse, qui nous gouverne aura semé ailleurs (Niger, Mali, Cameroun, République Centrafricaine, Libye, Soudan, Congo Démocratique, Côte-d’Ivoire, Nigeria…etc), avec plus de violences, y laissant parfois, très souvent même, plus de morts et de désolation.

- Réfléchir et agir en conséquence sur les causes profondes des atrocités «qu'on nous impose», des drames que nous vivons tous les jours, n'a rien d'inhumain.

- On n'est pas moins humain, lorsqu'on décide de garder la même froideur que ceux qui s'exercent tous les jours à nous soumettre à leurs visions du monde rétrogrades, sectaires, injustes et résolument criminelles.

- On n'a pas finit par ailleurs de compatir, ni de pleurer, d’autres bombes s'abattront sur d'innocentes personnes aujourd'hui et demain, d'autres drones américaines arracheront les vies de petits garçons, qui n'auront eu que le tort de jouer sur le sable comme tous ceux de leur âge ailleurs, ou d'avoir eu le malheur de se retrouver au «mauvais» côté et des barbus (ou pas d'ailleurs), de véritables monstres froids, qui se réclament d'un islam imaginaire, continueront d'égorger des humains, qu'ils ne seront tous, que dans l'application stricte des prescriptions de leurs agendas respectifs.

Notre monde est injuste et notoirement inhumain. À nous, de nous adapter. Pleurer, compatir, nous honore, mais ne change rien dans le fond.

QUE TOUTES LES VICTIMES DE LA BARBARIE HUMAINE REPOSENT EN PAIX !

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