On l’a dit et redit, la CPI (Cour Pénale Internationale) est une institution inique, raciste et négrophobe au service des intérêts particuliers... Ils sont les États français, anglais, États-unien et le libéralisme sauvage... Elle (la CPI) est l’argument juridique que des criminels et des États mafieux, ceux suscités utilisent pour faire plier des proies récalcitrantes.
On l’aura aussi dit et redit, l’Afrique dans son entièreté, n’a rien à faire dans une organisation foireuse, dont l’objectif est de la maintenir dans la servitude, dans « l’obéissance » obsessionnelle et compulsive de ses bourreaux.
Les principaux freins au développement en Afrique sont cernés... Le Franc CFA (monnaie Nazie) et cette Cour Pénale Internationale sont reconnus pour y jouer des rôles majeurs. Ils enferment le destin de l’Afrique, hypothèquent l’avenir de ses fils, en les réduisant à l’esclavage.
Le 03 juin 2013, dans le procès qui l’oppose au Président ivoirien Laurent Gbagbo, la Cour Pénale Internationale disait qu’il n’y avait aucune charge retenue contre lui... Aucune !
Quelques mois plus tard, toutes les charges sont retenues... Pourquoi, alors qu’il n’y aura eu aucun élément nouveau, allant à la faveur d’un tel revirement ?
Humilier le Président Gbagbo, bombarder son palais présidentiel, le tirer de là par le collet, ensuite le trainer à la CPI et finalement cette caricature de justice, pourrait-on trouver ailleurs, une meilleure définition « des décisions politiquement orientées ? »
L’Afrique est la société de « l’oubli » par excellence, les peuples de cette cité sont « oublieux », à leurs corps défendant je le concède, c’est la magie de l’école coloniale qui opère, l’autoflagellation. Ils répètent à l’envie et après leurs bourreaux, que le Président Gbagbo était un dictateur qui voulait se maintenir au pouvoir à tout prix, sur le sang de ses concitoyens.
Puisque ces frères africains ne savent pas lier les évènements entre eux, sauront-ils seulement que les prochaines élections présidentielles en Cote-d’Ivoire auront lieu en 2015 ? Oseraient-ils ignorer que garder le Président Gbagbo en prison hors de toute pertinence juridique, répondrait justement à un besoin crucial, qui est celui de le maintenir longtemps hors du jeu politique ivoirien ? Moi je passe...
Guillaume Soro, un est des acteurs majeurs du génocide ivoirien pendant la crise de 2010 (et même avant) est passé de Premier Ministre à Président de l’Assemblée Nationale ivoirienne. Il fallait préparer son immunité... La CPI enquête donc comment ? Pourquoi est-elle silencieuse sur son cas ? À la CPI, Cour raciste et grossièrement négrophobe, on instruit à charge, exclusivement.
Le statut de Rome, c'est ça, c’est la justice des vainqueurs, celle qui réhabilite des criminels génocidaires comme l’humanoïde Alassane Ouattara ou comme son comparse, non moins assassin, Président de la représentation nationale ivoirienne !
Ramons !
P.S. « La CPI a pour vocation de pallier l’absence de poursuites par un État souverain contre les auteurs de crimes contre l’humanité, de génocide, crimes de guerre et crimes d’agression. La Cour internationale repose sur un principe de complémentarité. Elle n’a pas à intervenir si l’État agit effectivement pour punir les auteurs de ce genre de crimes. Mais, dans l’hypothèse où l’État ne souhaiterait pas ou ne pourrait pas les poursuivre, la CPI prend le relais afin de ne pas laisser de graves violations du droit impunies. »
On l’aura aussi dit et redit, l’Afrique dans son entièreté, n’a rien à faire dans une organisation foireuse, dont l’objectif est de la maintenir dans la servitude, dans « l’obéissance » obsessionnelle et compulsive de ses bourreaux.
Les principaux freins au développement en Afrique sont cernés... Le Franc CFA (monnaie Nazie) et cette Cour Pénale Internationale sont reconnus pour y jouer des rôles majeurs. Ils enferment le destin de l’Afrique, hypothèquent l’avenir de ses fils, en les réduisant à l’esclavage.
Le 03 juin 2013, dans le procès qui l’oppose au Président ivoirien Laurent Gbagbo, la Cour Pénale Internationale disait qu’il n’y avait aucune charge retenue contre lui... Aucune !
Quelques mois plus tard, toutes les charges sont retenues... Pourquoi, alors qu’il n’y aura eu aucun élément nouveau, allant à la faveur d’un tel revirement ?
Humilier le Président Gbagbo, bombarder son palais présidentiel, le tirer de là par le collet, ensuite le trainer à la CPI et finalement cette caricature de justice, pourrait-on trouver ailleurs, une meilleure définition « des décisions politiquement orientées ? »
L’Afrique est la société de « l’oubli » par excellence, les peuples de cette cité sont « oublieux », à leurs corps défendant je le concède, c’est la magie de l’école coloniale qui opère, l’autoflagellation. Ils répètent à l’envie et après leurs bourreaux, que le Président Gbagbo était un dictateur qui voulait se maintenir au pouvoir à tout prix, sur le sang de ses concitoyens.
Puisque ces frères africains ne savent pas lier les évènements entre eux, sauront-ils seulement que les prochaines élections présidentielles en Cote-d’Ivoire auront lieu en 2015 ? Oseraient-ils ignorer que garder le Président Gbagbo en prison hors de toute pertinence juridique, répondrait justement à un besoin crucial, qui est celui de le maintenir longtemps hors du jeu politique ivoirien ? Moi je passe...
Guillaume Soro, un est des acteurs majeurs du génocide ivoirien pendant la crise de 2010 (et même avant) est passé de Premier Ministre à Président de l’Assemblée Nationale ivoirienne. Il fallait préparer son immunité... La CPI enquête donc comment ? Pourquoi est-elle silencieuse sur son cas ? À la CPI, Cour raciste et grossièrement négrophobe, on instruit à charge, exclusivement.
Le statut de Rome, c'est ça, c’est la justice des vainqueurs, celle qui réhabilite des criminels génocidaires comme l’humanoïde Alassane Ouattara ou comme son comparse, non moins assassin, Président de la représentation nationale ivoirienne !
Ramons !
P.S. « La CPI a pour vocation de pallier l’absence de poursuites par un État souverain contre les auteurs de crimes contre l’humanité, de génocide, crimes de guerre et crimes d’agression. La Cour internationale repose sur un principe de complémentarité. Elle n’a pas à intervenir si l’État agit effectivement pour punir les auteurs de ce genre de crimes. Mais, dans l’hypothèse où l’État ne souhaiterait pas ou ne pourrait pas les poursuivre, la CPI prend le relais afin de ne pas laisser de graves violations du droit impunies. »
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