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lundi 28 juillet 2014

Et si Hussein Obama (les USA) et leurs affidés assumaient pour une fois ?

Pourquoi les États-Unis fuient-ils la démocratie qu'ils ont instaurée en Libye ?
Pourquoi ne veulent-ils pas goûter à la «libération» qu'ils avaient promise et délivrée aux libyens ?
Pourquoi ne veulent-ils pas ce qu’ils exigent si fortement et croient bon pour les autres ?

«Le prix Nobel de la paix récompense la personnalité ou la communauté ayant le plus ou le mieux contribué au rapprochement des peuples, à la suppression ou à la réduction des armées permanentes, à la réunion et à la propagation des progrès pour la paix, selon les volontés, définies par testament, d’Alfred Nobel. Cela comprend la lutte pour la paix, les droits de l’homme, l’aide humanitaire, la liberté.» Voilà la définition la plus aboutie du prix Nobel de la paix que j'ai obtenue en fouillant sur le net.

Est-on dans cette configuration là, même relative, avec Barack Hussein Obama ? Je n’en reviens donc pas que certains érudits l'aient proposé et désigné comme prix Nobel de la Paix. Je ne sais toujours pas ce qui lui avait valu cette récompense, moi qui pensais qu’on ne pouvait l'obtenir que si l'on avait contribué par des actions, des discours, à promouvoir et maintenir la paix dans le monde. Et bien curieux que c'eût été en tout début de son premier mandat comme Président des États-Unis. Cet empressement, finalement, était très douteux, car Obama a tout fait, depuis cette reconnaissance, pour semer le chaos, la mort et la désolation partout dans le monde où il est passé. Il arrache des vies, comme un jardinier arracherait de mauvaises herbes... En cela, il ne s’est jamais départi du calme, de la froideur et du sourire charmeur de ces tueurs en série.

C’est pour ça que j’ai toujours trouvé les photos de lui, paradant avec sa femme et ses filles obscènes. Il faut être cynique pour afficher des photos de son bonheur, celui de sa propre famille, quand on empêche les autres de connaitre la même veine, en assassinant leurs enfants avec des drones. Obama, avec sa politique étrangère brutale, criminelle a hypothéqué l’avenir de millions d’enfants à travers le globe. L’Afghanistan était devenu un champs d’exercices militaires de l’armée américaine dont les cobayes étaient des enfants, des civils, indifféremment. L’Irak se meurt, par la grâce de la même administration américaine, dont les membres n’ont que des balles de canons à la place du cerveau. Ils ne réfléchissent qu’en termes de conflits armés et de bombardements

Aujourd’hui, le même Obama, celui qui avait assassiné des dizaines de milliers de libyens et détruit leur pays, veut donner des leçons à la Russie, attribuant la responsabilité de la crise ukrainienne qu’il avait lui-même contribué à pourrir, à son Président Poutine. Il dénonce le conflit en Syrie qui n'en finit pas de faire des victimes, alors que c'est lui qui exacerbe les tensions en apportant son soutien militaire et logistique aux mouvances Jihadistes qui combattent le gouvernement légitime. Il se comporte comme s’il était sur une scène de théâtre, en représentation.
La liste des pays que son administration et lui ont détruit est longue comme une journée sans pain. Il ne compte pas s’arrêter là et ce qui est bluffant, c’est le nombre croissant de ses sympathisants, parmi lesquels se trouvent d’ailleurs ses nombreuses victimes.

Sa très belle femme Michelle est mise à contribution dans l’élaboration des stratégies de déstabilisation des pays qui sont ciblés, soient pour leurs richesses, soient par leurs positions géographiques, qui peuvent servir aux besoins hégémoniques de l’empire, ou à ses intérêts stratégiques.  La campagne (#BringBackOurGirls) pour ramener les filles prétendument enlevées au Nord du Nigeria est édifiante à ce propos. Cette charmante dame, très avenante, est aussi très sélective sur les drames qu’elle choisit de dénoncer, elle est par exemple très taiseuse sur le cas de jeunes filles congolaises, dont 48 sont violées par heure. Elle est aussi très peu diserte sur ces filles noires de Mauritanie qui sont discriminées, assujetties, violées, dès l’âge de 4 ans, parfois moins.

Les États-Unis ont donc rappelé leur personnel diplomatique de Libye, la France aussi ... Personne ne se rappelle de ce qu’était ce pays avant que le déluge de bombes venus libérer ses populations (de quoi même ?), ne pleuvent sur lui. Pillé, malmené, détruit, la Libye n’offre plus qu’une image apocalyptique d'elle-même. La vie s’est arrêtée. Les médias occidentaux et certains politiques, dans une vaste campagne de falsification, ne nous parlent plus que des bandes armées ou des milices islamistes qui s’affronteraient, comme pour tenter d’exonérer les crimes multiples qu’ils auront commis dans ce pays jadis paisible.
 

La création d’une autre forme de «Communauté Internationale» est nécessaire,voire vitale. Il faut vraiment une nouvelle «Société des Nations» qui sera soucieuse du respect du droit international par ses membres, qui veillera au respect de la souveraineté des nations, à l’inviolabilité des territoires indépendants. Avec un instrument comme celui-là, on aurait déjà présenté la facture pour la reconstruction de l’Irak aux États-Unis, au Royaume-Uni et celle de la Libye à tous les pays membres de l’OTAN.  Ce serait injuste que ce soit aux générations futures de ces pays, à travers leurs impôts, leurs ressources, de rebâtir ce que des bonimenteurs occidentaux avaient détruit, au prétexte de leur apporter la liberté et la démocratie.

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