Dans mes errements, je suis tombé sur un reportage concernant la ville qui a connu le siège le plus meurtrier au fort de la crise libyenne, une ville complètement dévastée par les bombardements criminels de l'OTAN.
Quand vous avez tout perdu, que vous êtes meurtris, que vos blessures ne cicatrisent pas, on pourrait comme ça, avoir envie d'abandonner, de se résigner, mais pas eux ! Les Warfallas, cette tribu originaire de Bani Walid, sont fiers et pour eux, pour le martyr Muammar, comme ils appellent tendrement le frère Guide Kadhafi assassiné par les rats de l'OTAN-CNT, le combat n'est pas terminé.
D'après le récit qui est fait dans ce reportage, la ville ressemblerait à un champ de tirs ou de mines maintenant, après les bombardements criminels de l'OTAN, s'en sont suivis les pillages des nouveaux démocrates de Benghazi d'où était partie la pseudo révolution.
Aujourd'hui, ils se retrouvent à 27 dans une chambre, en lieu et place des maisons individuelles qu'ils avaient chacun du temps du Guide... Dans un autre récit, l'un des survivants de l'apocalypse OTAN, raconte que juste avant le début de la guerre, l'antenne locale de la Caisse d'Epargne de Bani Walid était sur le point de livrer 101 lotissements. Chacun coûtant 30.000 dinars ( 15.000€ ), remboursable en vingt ans !
Les criminels aux cols blancs occidentaux, doublés de voleurs qu'ils sont, venaient en Libye pour libérer un peuple, maintenant, et pour les années à venir, ils les ont plongés dans les ténèbres.
Une note positive quand même, à Tahrouna, ville à 60km de Tripoli, une rue commerçante a été rebaptisée: "Avenue du Martyr Muammar Kadhafi" et c'est déjà ça !
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