Pour les médias et politiques français, leurs concitoyens qui utilisent la violence lors des grèves et différentes manifestations, ne sont que des « casseurs », une terminologie très opportune, pour illustrer ou mettre en perspective, leur prétendu monde « civilisé », que leurs forces de l’ordre n’hésitent jamais à réprimer dans une brutalité inouïe, qui fait mentir les valeurs d’une démocratie imposée aux africains dans la mort et la désolation. Crosses de fusils, tirs de flash-ball, coups de poings ou de matraques, sont là des arguments « démocratiques » appelés en renfort, dans une parfaite légalité, pour disent-ils, maintenir l’ordre public… Les victimes finissent très souvent dans des cellules de commissariats et pour les moins chanceux, dans des lits d’hôpitaux, pour soigner des fractures et des blessures, qui finissent par relever la note d’une démocratie déjà fortement salée.
Le même scénario au Cameroun, au Tchad, en Syrie ou en Centrafrique soulèverait un tollé général au sein de la Communauté dite internationale, que ne vient très souvent calmer en pareille circonstance, qu’une résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU, suivie d’une intervention militaire dite humanitaire, pour sauver des « casseurs », tout aussi brutaux, les armes en plus, que ceux de l’hexagone, tropicaux cette fois-là ou exotiques, que la très grande civilisation occidentale appelle « rebelles pacifiques ». À situation identique, différence de traitement. Leurs lieux d’occurrence étant les seuls critères qui déterminent ou définissent les différentes appréciations.
C'est donc comme ça qu'on apprend en larges titres dans les très grands médias français, que 2000 zimbabwéens, sur une population totale de 15 millions, dont moins de 2 millions à Harare la Capitale, ont manifesté hier contre Robert Mugabé... 2000 personnes mécontentes au Zimbabwe et ça fait les gros titres des journaux télévisés, alors qu’en France, la fronde des étudiants et des enseignants, le mouvement « Nuit-debout » pour ne citer que ces cas là, rassemblent des dizaines de milliers de personnes. Que le Zimbabwe et son Président Robert Mugabe soient en têtes d’affiche en France, en termes de contestation, c’est l’hôpital qui dans un sursaut d’orgueil suicidaire, raille la charité.
Évidemment, une certaine négraille africaine désarticulée, inculte et totalitaire, n’y verra que du feu, elle qui compte prendre le pouvoir chez elle en Afrique, assise sur un char français, dans l’émulation de ce qu’avait fait l’humanoïde génocidaire Ex-burkinabé Dramane Ouattara en Cote-d’Ivoire. Les africains devraient pourtant savoir qu’ils n’ont pas besoin de visa Schengen pour voir et apprécier ce que font les autorités françaises contre leurs populations pendant leurs mouvements d’humeur « démocratiques ». S’ils en tirent quelque leçon que ce soit, mauvaise foi mise de coté, ils se rendront vite compte que ces autorités françaises ne sont pas pertinentes et ont un agenda caché, lorsqu’elles exigent de la dignité (ça veut dire quoi même ?) dans le traitement que les dirigeants africains réservent à leurs « casseurs », très souvent armés et prêts à en découdre.
Le même scénario au Cameroun, au Tchad, en Syrie ou en Centrafrique soulèverait un tollé général au sein de la Communauté dite internationale, que ne vient très souvent calmer en pareille circonstance, qu’une résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU, suivie d’une intervention militaire dite humanitaire, pour sauver des « casseurs », tout aussi brutaux, les armes en plus, que ceux de l’hexagone, tropicaux cette fois-là ou exotiques, que la très grande civilisation occidentale appelle « rebelles pacifiques ». À situation identique, différence de traitement. Leurs lieux d’occurrence étant les seuls critères qui déterminent ou définissent les différentes appréciations.
C'est donc comme ça qu'on apprend en larges titres dans les très grands médias français, que 2000 zimbabwéens, sur une population totale de 15 millions, dont moins de 2 millions à Harare la Capitale, ont manifesté hier contre Robert Mugabé... 2000 personnes mécontentes au Zimbabwe et ça fait les gros titres des journaux télévisés, alors qu’en France, la fronde des étudiants et des enseignants, le mouvement « Nuit-debout » pour ne citer que ces cas là, rassemblent des dizaines de milliers de personnes. Que le Zimbabwe et son Président Robert Mugabe soient en têtes d’affiche en France, en termes de contestation, c’est l’hôpital qui dans un sursaut d’orgueil suicidaire, raille la charité.
Évidemment, une certaine négraille africaine désarticulée, inculte et totalitaire, n’y verra que du feu, elle qui compte prendre le pouvoir chez elle en Afrique, assise sur un char français, dans l’émulation de ce qu’avait fait l’humanoïde génocidaire Ex-burkinabé Dramane Ouattara en Cote-d’Ivoire. Les africains devraient pourtant savoir qu’ils n’ont pas besoin de visa Schengen pour voir et apprécier ce que font les autorités françaises contre leurs populations pendant leurs mouvements d’humeur « démocratiques ». S’ils en tirent quelque leçon que ce soit, mauvaise foi mise de coté, ils se rendront vite compte que ces autorités françaises ne sont pas pertinentes et ont un agenda caché, lorsqu’elles exigent de la dignité (ça veut dire quoi même ?) dans le traitement que les dirigeants africains réservent à leurs « casseurs », très souvent armés et prêts à en découdre.