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jeudi 22 décembre 2016

INTELLIGENCE AUTOUR DE L’ATTENTAT DE BERLIN, ON S’Y PERD...

Si vous allez commettre un crime et que vous avez l'intention de vous enfuir juste après, vous n'emportez pas votre pièce d'identité avec vous, que pour bien faire les choses, vous prenez même le soin de laisser sur le lieu de votre macabre forfait. Ou bien ? Fuir dans ces circonstances est inutile, car ce document hautement compromettant renseignera naturellement les enquêteurs sur votre identité et précipitera à terme votre arrestation. 
Un djihadiste qui va tuer des gens est par définition programmé pour mourir. Il sait lui-même que la probabilité qu’il revienne vivant est nulle. C’est le but ultime de son engagement. Donc, s'il n’a pas besoin d’une pièce d’identité pour accéder au paradis, l’idée même qu'il puisse en avoir besoin pour aller se donner la mort est saugrenue. Nous sommes d’accord non ? D’ailleurs même, les seules conditions requises à ces candidats de la mort stupides et un peu « retardés », s’ils veulent profiter de la volupté des filles vierges qu’on leur a promises au paradis, c’est de mourir, en entrainant la mort d’un maximum de personnes innocentes autour d’eux. 

Comme quoi, quand les médias mainstream collabo-fascistes occidentaux ne savent plus quoi dire pour maintenir élevé leur niveau de mensonge et de propagande, ils fabriquent du foin facile à digérer pour un bétail désespérément suiveur. Les frères Kouachi, auteurs présumés de l'attentat de Charly Hebdo à Paris en janvier 2015, avait déjà « aidé » les policiers à les identifier, en « oubliant » une de leurs cartes d’identités sur le lieu de leur crime… Minalmi ! 

mercredi 21 décembre 2016

LA VILE SURENCHÈRE ÉMOTIONNELLE AU SERVICE DE LA DESTABILISATION DE LA SYRIE

Il y a quelques jours encore, victimes ou co-auteurs de la manipulation de leurs politiques et de leurs médias, certains français s'employaient assez librement d'ailleurs, à la provocation et à la transgression, en brandissant pendant leurs manifestations de soutien aux syriens, un drapeau subversif, qu'ils attribuaient sottement à la Syrie. Ce ne sont pourtant pas ces hommes politiques et les médias d'information français, qui désignent les dirigeants d'une Syrie, dont la souveraineté ne peut pas être remise en cause, encore moins par des gens qui n'ont même plus aucune légitimité dans leur propre pays. En presque 5 années de présidence, François Hollande n'aura réussi que la seule prouesse de créer une république imaginaire de Syrie, contrôlée par des hordes de barbares rétrogrades et à provoquer la haine de la France à l'étranger. C'est donc comme ça qu'on voyait récemment m'insurge-je ici, des convois présumément humanitaires - plus soucieux de vendre de l'émotion, que de proposer une aide réelle aux victimes syriennes -, qui partaient de la France pour la ville d'Alep en Syrie, posant fièrement avec des symboles d'une rébellion syrienne sectaire, islamiste et anthropophage. Les sensibleries et les larmes opportunes de ces professionnels de l'humanitaire hypocrite ne visaient qu'à plier l'opinion récalcitrante en leur faveur. Le peuple syrien leur demande d'ailleurs prestement d'essuyer ces larmes, car les terroristes (islamistes « modérés ») sponsorisés par la France, le Royaume-Uni ou les États-Unis viennent d'être défaits par l'armée arabe syrienne et la paix est entrain de revenir en Syrie. Et j'ajoute même que c'est au cours des quatre dernières années que ces français faussement solidaires, gavés à la propagande mensongère de leurs médias de l'apocalypse, auraient dû faire entendre leurs voix pour faire cesser les atrocités en Syrie, quand le régime de Paris revendiquait ses liens avec les terroristes d'Al Nostra, d'Al Qaida ou de DAESH (peu importe le nom, tous des terroristes), des forcenés rétrogrades, qui étaient leurs bras armés dans leurs projets d'effacement de la Syrie de la carte du monde. 


samedi 17 décembre 2016

SYRIE: Vaines jactances des vrais bourreaux du peuple syrien.

Il n'y a décidément personne pour convoquer la décence chez Alain Juppé et ses comparses. Comment peut-il oser ça après avoir été acteur/complice de la destruction totale de la Libye ? Un peuple qui n'a pas de mémoire n'est vraiment pas libre. Si les français, voire même les européens avaient suffisamment rappelé eux-mêmes, puis à Alain Juppé, qu'il était un repris de justice, jamais cet imposteur n'aurait osé postuler pour gérer leurs affaires, encore moins de l'ouvrir pour donner des leçons aux autres. On aurait dû lui montrer des photos de la Libye aujourd'hui, qui jouit de leur démocratie punitive, radicale, létale même, pour que jamais il ne parla de la Syrie. Ces gens font peur. Ces gens sont des monstres. Voilà quelqu'un qui trouve que pour sauver les syriens, il fallait continuer à les enterrer sous des déluges de bombes. Les intérêts de l'oligarchie valent donc des millions de vie de syriens. Les victimes syriennes de cette rapacerie occidentale ne sont que des chiffres interminables sur les comptes en banques de ces fieffés menteurs. Grâce à Alain Juppé et ses amis, des pousse-au-crime, les libyens ont enterré leur destin. Une tentative désormais vaine concernant les syriens et une Syrie libérée. On ne peut vraiment pas vouloir sauver des gens de la mort, en exterminant méthodiquement leurs enfants. Aucune démocratie ne mérite qu'on assassine pour elle. La pertinence de ces gens ne se trouvent finalement que dans l'infamie. Il fallait qu'il n'en reste plus aucun syrien debout pour que la bande à Alain Juppé soit contente. Tout le monde devrait pourtant célébrer la fin de la pluie des bombes sur Alep. Oui, tout le monde aurait dû se réjouir du retour de la vie dans ce pays tombé en ruines par la bonne grâce d'une bande de criminels déshumanisés sans foi, ni loi. Les seuls qui voulaient effacer la ville d'Alep de la carte du monde, c'était cette élite politique française corrompue, viciée, malhonnête, sectaire et totalitaire. Et c'est la Russie, Vladimir Putin, le peuple syrien derrière son Président élu Bashar Al Assad et leurs alliés, qui ont mis un terme à cette vaste entreprise criminels qui porte tous les germes de crimes contre l'humanité. 

mardi 6 décembre 2016

FRANCE - DÉMOCRATIE DES RÉSEAUX; LA FIN D’UNE ÉPOQUE, MAIS LONGUE VIE AU SYSTÈME.

En démocratie, c'est le peuple souverain qui élit et donne une espèce d'impulsion, une légitimité à ceux qu'il choisit, pour présider à sa destinée. Et pourtant, pour être candidat à la primaire de la droite - c’est valable pour la gauche aussi - qui vient de consacrer François Fillon, il fallait être parrainé et rassembler un certain nombre de signatures, dont l'attribution ne dépendait pas de ce peuple, mais d'un réseau d'influences, d'amis et d'intérêts, qui l'excluait de facto et dont l'agenda réel lui était inconnu. Avec les candidats (Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, François Fillon entre autres), on avait donc retrouvé une classe politique française des cinquante dernières années, accrochée désespérément à son pouvoir, qui n’avait aucune intention de passer la main, quitte à se couvrir de ridicule dans des tentatives foireuses de come-back… 

En fait d'alternance, de renouvellement de personnel politique et de projets de société, on avait imposé aux électeurs de faire un choix qui consistait à investir dans le vieux, pour obtenir du neuf, les urnes n'étant là que pour valider l'imposture. La droite française a donc eu son nouveau « messie », celui qui opérera le miracle économique, social et politique tant attendu, pour cette conscience populaire droite comme gauche confondues, figée, résolument immature, irresponsable et adepte des théories irrationnelles, surtout quand on sait que la gestion de la vie des peuples ne doit rien au hasard et que Jésus-Christ n'a jusqu'ici existé que dans le nouveau testament et l'imaginaire des esprits faibles. On ne fait que contribuer à l'ancrage durable des maux de nos sociétés, lorsqu'on investit sur des individus, qui ont pourtant déjà fait les preuves de leur incurie, alors qu’il eut été plutôt judicieux de s’atteler à la création d’un nouveau modèle social ou à l’écriture d’un nouveau contrat plus juste entre les citoyens et ceux qui sollicitent leurs votes.   

L’échec de Nicolas Sarkozy à la primaire de la droite ou même celui de Juppé, c’était la fin d'une époque, mais pas celle d'un système, qui a toujours su se renouveler. La preuve, François Fillon qui fait désormais office de novice dans l'arène politique française avec sa candidature à la prochaine élection présidentielle, suscitant même un espoir et un enthousiasme qui étonnent, alors qu'il est le symbole de l'échec cuisant du précédent quinquennat. Les moins crédules des français sont néanmoins vengés par des événements hors de leur contrôle, comme la (prochaine) fin heureuse de la présidence infecte de François Hollande, faite d'irresponsables séances de livraisons nocturnes de croissants à sa maîtresse assis derrière un scooter, jusqu'à son aplaventrisme puéril face à l'administration américaine, en passant par son projet de la déchéance de la nationalité qui était notoirement discriminatoire, raciste, et qui avaient transformé la cinquième puissance mondiale en banal pays sectaire du tiers-monde, perfusé aux injonctions et à la satisfaction des intérêts du pays de Barack Obama. Le Président qui se voulait normal avait cassé la jauge de la normalité et tout se mit à aller dans tous les sens, incontrôlable il devint, comme ces sondages d'opinions à un chiffre, qui le situe très bas dans l'estime de ses propres compatriotes, faisant de sa présidence, une vaste fumisterie. Il ne se représentera pas... Quelle sortie honteuse, « moi Président ! » 


dimanche 4 décembre 2016

CAMEROUN - « ÉTAT DE DROIT », DOUBLE STANDARD

Que des camerounais, censeurs autoproclammés, invoquent l'état de droit et sous forme d'injonctions, demandent à tout le monde de condamner sans s'interroger, des excès des forces de l'ordre camerounaises sur les populations du Nord-Ouest et du Sud-Ouest Cameroun, qui auraient récemment outrepassé leurs missions de maintien de la paix, en réprimant dans la violence, des manifestations jugées pacifiques, j'ai envie de dire, pourquoi pas ? Dans le fond, qui pourrait tolérer la violence policière sur des populations civiles au moment où celles-ci expriment dans la paix, leurs mécontentement envers leurs dirigeants politiques ? Le droit de grève, si je ne m'abuse, est inscrit dans la constitution camerounaise. Il est de ce fait intangible et a même rang de valeur fondamentale, en ce qui me concerne. 

Mais seulement, on ne peut pas comprendre, que ces mêmes bien-pensants, chantres des indignations sélectives, mus par des tendances politiques du chaos et une idéologie clairement sectaire, ne réclament l'état de droit au Cameroun que lorsqu'il s'agit de sanctionner une bavure policière par exemple d'une part, mais de l'autre curieusement, sacralisent par un silence complice, des pratiques barbares qui foulent aux pieds les principes fondamentaux de la république. Combien de fois ces tenants indécrottables de la mauvaise foi, se sont-ils déjà indignés de la banalisation de la vindicte populaire (punition d'un crime par le peuple et non par la loi) par les camerounais qu'ils prétendent défendre contre l'état ? En tant que citoyen, on n'a pas que des droits, on a surtout des devoirs. 

La peine de mort n'est pas encore abolie au Cameroun, mais c'est une sanction qui, même si elle est toujours prononcée et c'est très rare, elle n'est plus mise à exécution depuis pas mal de temps. Un tort que certains camerounais se chargent de réparer avec une fière exaltation. Il vous est donc déjà probablement arrivé de tomber sur une foule en liesse dans une rue d'une ville camerounaise, des individus armés de machettes et de gourdins, entrain de lyncher méthodiquement un individu suspecté de vol, qu'ils finiront par asperger de pétrole et de brûler vif. Une barbarie qui s'institutionnalise, gagnant l'assentiment de tous ou presque. On a donc naturellement du mal à comprendre que des monstres et leurs cautions tapies derrière des claviers d'ordinateurs, puissent revendiquer des droits qui ne sont pourtant réservés qu'aux êtres humains. 

jeudi 24 novembre 2016

CAMEROUN, GRÈVE, TANT QU'IL NE S'AGIRA QUE DE ÇA...

Les grèves, qui ne doivent pas être confondues avec certains actes d’incivisme, ne me gênent pas du tout, je vis même dans un pays qui en a fait une discipline olympique, battant tous les records du monde… Tous les prétextes sont bons en France, même les changements de climat, pour que les français s'énervent, sortent les pancartes et les drapeaux, pour aller défiler, paralysant parfois les villes touchées et leurs économies. La chaîne d'information continue iTélé vient même d'expérimenter une cessation de ses activités pendant plusieurs semaines, due à un mécontentement de ses salariés, privant ses millions de téléspectateurs de leurs programmes habituels. Les grèves sont donc consubstantielles à la démocratie, en plus d'être le baromètre de sa bonne santé. 

En effet, et aussi curieux que cela puisse paraître, c'est quand un pays est totalement bloqué par les grèves - d'un point de vue africain -, qu'on reconnaît qu'il est démocratique. C'est pour ça, qu’elles sont toujours respectées et encadrées en France, y compris en Corse, où des velléités séparatistes de quelques groupes terroristes comme le FLNC (Front de Libération Nationale Corse) sont tuées dans l'œuf, quand eux-mêmes ne subissent pas tout simplement le même traitement brutal, expéditif, qu'on réserve généralement aux suspects terroristes. L'idée même d'un État Corse, qui serait indépendant en France est saugrenue, tant les dirigeants français n'ont jamais imaginé entretenir un débat avec des terroristes ou pas, autour de la perte ou de la cession d'une partie de leurs territoires. Et ils ont raison. 

Le Cameroun est donc une démocratie, il a au moins le mérite de tous les attributs, un État de droit donc, qui devrait, si ce n'est déjà le cas, entamer chaque fois que c'est nécéssaire, des pourparlers avec des grévistes, pour leur apporter des réponses appropriées à leurs attentes. Un préalable non-négociable quand même, les grévistes ne doivent s'exprimer, qu'en respectant scrupuleusement les lois de la république. Ceci exclut évidemment de céder au chantage sectaire, aux relents sécessionnistes de quelques groupes d'illuminés ethno-centrés, à la solde de certaines puissances étrangères, qui ne recherchent que leurs profits dans la déstabilisation du Cameroun. 

JUSTICE POUR ADAMA TRAORÉ !

Pourquoi bouder la démocratie ? Elle est le meilleur régime politique jamais crée par l’homme, censé remettre le citoyen au centre de ses préoccupations et ainsi faciliter le vivre-ensemble. C’est d’ailleurs pour ça que certaines grandes puissances occidentales n’hésitent pas à mener des guerres sanglantes partout dans le monde, pour l’imposer. Il parait donc, sonnant comme une évidence dans les oreilles de certains africains - qui la revendiquent d’ailleurs -, que c’est mieux de succomber d’une balle de la démocratie « blanche » dans la tête, que d’être la victime d’une dictature négroïde, si ça veut dire quelque chose. 

François Hollande et son gouvernement se battent résolument depuis le début de leur mandat, pour que les syriens ou les irakiens aient des droits chez eux, lesquels droits sont pourtant toujours refusés à une famille, appartenant à une catégorie de personnes facilement identifiables de leurs propres concitoyens, qui ont le tort de ne pas être des « français de souche » ou d'être affublés de substantifs suspects. Ces derniers - une introduction à l’objet de ce billet - se plaignent de répression, de pressions politiques, de deni de justice, de stigmatisation et de chantage, de la part des élus de leur commune et de la gendarmerie, qui sont irrités par les très nombreuses questions qu’ils leur posent, en relation à l’assassinat présumé de leur fils, dont aucun juge n’a encore été désigné pour enquêter et établir les responsabilités.  

Le 19 juillet 2016 dans le Val d’Oise, Adama Traoré était mort étouffé, sous le poids de trois gendarmes, supposément venus l’interpeller. « Étouffé jusqu'à ce que mort s'en suive, par des gendarmes venus l’interpeler »… Normalement, l’arrestation d’un suspect n’entraine pas son décès. Non ? Dans les pays que certains présentent comme « normaux », la fin d'une arrestation n’est pas toujours aussi tragique, mais nous sommes en France… Et comme ça se passe dans le tiers-monde du pré-carré colonial français en Afrique, la justice française, que je ne soupçonne pas d’être aux ordres, ni d’être négrophobe - puisque je lui fais entièrement (évidemment!) confiance -, se fait attendre, au grand dam de la famille du défunt. 

Chaque fois que vous serez face à des bavures policières, aux viols des droits fondamentaux des citoyens, aux dérives autoritaires, au clientélisme, à la fraude, entre autres, dans un pays de l’enclos colonial français en Afrique, regardez ce qui se passe en France, pour vous convaincre que vous êtes bien au bon endroit.  La France est un boulet au pied de l’Afrique, qu'elle tire depuis des siècles.


vendredi 18 novembre 2016

C’EST QUOI LA DÉMOCRATIE ?

On est fermement installé dans la saison des vendanges électorales, les États-Unis ont déjà livré leur récolte, pendant que les français se préparent aussi à opérer un changement, qui comme à chaque fois, ne tournera pas autour du peuple et de ses préoccupations, alors qu'ils ont toujours semblé être les prétextes à ces cirques prétendument démocratiques. Les français tentais-je de dire, s'apprêtent à choisir à travers la primaire de la Droite, leur candidat pour la prochaine élection présidentielle de 2017. Il s'agit du casting d'un homme, providentiel, une espèce de Jesus-Christ de la politique, qui va représenter pour ses millions de compatriotes, le chemin, la vérité et la vie. C'est ainsi qu'on constate qu'il y a quelque chose d'irrationnel dans ces histoires de démocratie, qui rappellent tristement l'inquiétante philosophie des « églises réveillées », qui n'ont jamais eu peur de promettre la marche sur l’eau ou le réveil des morts à leurs proies crédules... 

Chaque fois qu'on a voulu manipuler le peuple, on lui a toujours vanté les mérites d'une démocratie qui, on le constate et contrairement à ce qu'elle dit, ne profite toujours qu'à l'élite censément élue pour le servir. Ce peuple ne se rend donc pas compte à quel point il est victime de la roublardise de carriéristes cyniques doublés de prestidigitateurs, qui amassent des fortunes en spéculant sur sa misère. La déduction faite étant que, ce qui est injuste et qu'il faut changer en politique, un impératif intangible, c'est le système, pas les hommes politiques qui l'incarnent et ce, malgré le niveau de haine qu'on peut nourrir à leur égard. 

Un citoyen français de plus de 24 ans, qui n'a pas de travail, donc sans ressources, reçoit de sa région une misère d'un peu plus de 500 € par mois pour vivre. Et dans l'espoir de pouvoir rentrer dans le monde de l'emploi et de prétendre à un salaire, il ira élire pour 5 ans, un escroc qui lui aura promis de porter et de défendre ses doléances à l'assemblée nationale. Cet élu n'en fera rien, mais il empochera quand même tous les mois pendant ce quinquennat, 22.650 €, qui représentent entre autres, son indemnité parlementaire et diverses primes. Par son vote coupable, ce jeune citoyen qui tire pourtant le diable par la queue, aura décidé du versement à un imposteur, de plus de 45 fois le montant de ses propres allocations (RSA=Revenu de Solidarité Active) de 500 € mensuels, qui ne peuvent servir qu'à le maintenir dans l'indignité. Cet élu de la République, comme si ce n'était pas déjà assez, bénéficiera aussi d'un accès gratuit à l'ensemble du réseau du chemin de fer français en 1ère classe et de la prise en charge de 80 déplacements aériens par an entre Paris et sa circonscription. Il faudra  bien-sûr ajouter à cela, la prise en charge de ses frais de communication (Internet, téléphone, courriers, ...).  

Il n’est même plus nécessaire de noter au passage, que ce citoyen sans ressources, le malheureux électeur j’entends, risque une amende qui peut aller jusqu'à 375 €, si d'aventure, il empruntait le même train que son élu local, sans titre de transport. En effet, dans cette belle exécution de l'enfumante démocratie, on peut bien voir que le pouvoir ou la souveraineté, émane effectivement du peuple, en ceci que, ce dernier participe par délégation, démocratiquement donc, à sa propre mise à mort. Oui, dans l'exercice d'un mandat de cinq ans comme c'est le cas en France, on ne vote que pour améliorer le confort d'un individu qu'on ne connaît même pas, qui vous laissera plus pauvre, cinq ans plus tard. 

On retiendra donc que si le peuple était réellement souverain dans nos démocraties, il ne devait pas attendre la fin d'un mandat pour sanctionner ou démettre un élu qui n'est plus entrain de remplir sa feuille de route. La conséquence ici étant le supplice de cinq années de mandature scandaleuse de François Hollande. Next ! 

dimanche 13 novembre 2016

LES VRAIS ENNEMIS DES PEUPLES NE SONT PAS DONALD TRUMP ET LES PARTIS D'EXTRÊME DROITE EN EUROPE, QUI METTENT « RÉELLEMENT » LE CITOYEN, L'HUMAIN AU CENTRE DE LEURS PROJETS POLITIQUES.

La profondeur de l'abîme dans lequel se trouvent les minorités noires et leur conscience, se mesure par rapport à leurs réactions positives aux différentes propagandes de conditionnement des médias et des hommes politiques occidentaux. Je suis effaré de voir que des noirs aient été mêlés aux manifestations anti-Trump, après sa victoire à l’élections présidentielle américaine, au prétexte fallacieux qu'il serait raciste. Ils étaient rejoints dans ce suicide collectif par une catégorie de femmes, tombées elles aussi dans le piège d'Hilary Clinton, la représentante du système, qui pendant toute sa campagne, n'avait pas arrêté de présenter Trump comme étant un personnage misogyne, qui « parle vulgairement du sexe des femmes ». Combien de fois avons-nous tremblé à la seule idée de laisser nos enfants seuls devant une télé, face à des programmes élaborés par les amis d'Hilary Clinton, qui les exposent dès leur jeune âge à un voyeurisme coupable, d'une sexualité qui viole leur innocence ? 

Aux États-Unis, ce serait devenu plus grave de dire qu'on tiendra une femme par sa « chatte », que d'être un noir et de se faire canarder par les balles d'un policer blanc raciste, qui ne sera jamais inquiété par la justice. Dans leur intimité, les hommes ne disent pas seulement, qu'ils veulent tenir des femmes par leurs « chattes », mais ils vont même beaucoup plus loin que ça, puisqu'ils les tiennent effectivement, pour leurs plaisirs et ceux de ces dames, que j'ai toujours du mal à trouver une quelconque corrélation avec la misogynie là-dedans. Par ailleurs et  dans le même ordre d'idées, vous poserez la question aux arabes ou aux noirs en France, de ce qu'ils pensent du Front National, Parti politique dit d'extrême-droite, ils vous répondront en chœur que c'est une organisation politique raciste, négrophobe, islamophobe et arabophobe, tous des mots avec des « phobes », pas tirés des expériences qu’ils aient vécues personnellement, mais simplement parce qu'ils sont « conditionnés » par le système et ses médias, à penser de cette façon là.

La France n'a pourtant jamais eu besoin du Front National de Marine Le Pen, pour pratiquer l'exclusion communautariste, qui placarde les noirs et les arabes de confession musulmane. Ceux qui désignent ces groupes minoritaires, comme étant la source de tous les problèmes socio-économiques de la France, appartiennent pourtant aux partis politiques traditionnels du système, qui bénéficient du statut pompeux de « républicains ». Et toujours en France, il suffit pour s'en convaincre, de suivre la campagne pour les Primaires de Droite, qui désigneront le prochain candidat pour affronter le candidat de Gauche à la présidentielle de 2017. Aux États-Unis, c'est sous la présidence d'un noir, Barack Obama et de celle des Clinton, que les noirs américains ont le plus été confrontés à l'exclusion et aux crimes racistes, qui rappellent les heures sombres de l'esclavage. Et si on retourne en France, on constatera que des repris de justice peuvent se porter candidats pour gouverner la France, tant que c'est pour protéger les intérêts du système et satisfaire son appétit d'ogre, un pays dans lequel le prosélytisme homosexuel, même dans les écoles primaires, après la « loi sur le mariage pour tous», est érigé au rang de valeurs, mais oser dire qu'on tiendra une femme par sa « chatte », même en privé, c’est un sacrilège, qui vaudrait automatiquement une condamnation à mort. 

C'eut été donc une erreur monumentale, que de voter pour Hilary Clinton juste parce qu'elle est une femme, au mépris de la grande criminelle corrompue égocentrique, qu'elle est. De toute sa très longue carrière politique, je ne lui trouve aucun fait majeur, en faveur des noirs américains, pour que ceux-ci aient eu envie de voter pour elle à un moment donné. Et les multiples sources de financement de sa campagne présidentielle, ainsi que ses liens incestueux avec la pègre de la politique internationale, étaient des indices suffisants pour ne pas commettre la bourde de la plébisciter.

vendredi 11 novembre 2016

ÉLECTIONS US - BRAVO DONALD TRUMP ! - LA FRANCE QUOI DEDANS ?

La France qui ose l'ouvrir, après une belle leçon de démocratie venant des États-Unis, alors que ses citoyens se coltinent depuis près de 5 ans, un Président inepte, un imposteur, qui ne gouverne plus que lui-même, avec à ses côtés, un cortège hallucinant de corrompus, de repris de justice et de mis en examens, attendant tous impatiemment qu'il leur passe le témoin en 2017. On ne peut pas vanter les mérites de la démocratie et fouler aux pieds ses principes à ce point là. Les politiques français et leurs médias n'allaient pas se substituer aux citoyens américains, et voter à leurs places. Il faudrait à un moment donné leur demander de fournir leur définition exacte du mot démocratie. 

Les prochaines élections présidentielles françaises n'auront lieu que dans six mois, qu'on sait déjà qui, des primaires de la droite, sera au deuxième tour et affrontera le candidat socialiste après. Le bourrage des urnes en Afrique, pour s'assurer la victoire lors des scrutins, a largement dépassé sa date de péremption, alors qu'en France, même si ce n'est pas mieux, ce sont les crânes des populations, qu'on gorge à coups de propagandes infectes, afin de les faire agir sur commande. Voilà une interprétation un peu suspecte de l'expression de la volonté populaire, vous aligner une clique de personnes peu recommandables, en vous obligeant d'en tirer un « démocratiquement », moins mauvaise que les autres, pour agir en votre nom pendant cinq longues années. Et tout le monde sait et ne dit rien, que concernant Nicolas Sarkozy, hissé sur ses talonnettes, il ne guette que l'immunité qui vient avec la fonction présidentielle, pour enfin se mettre à l'abri de ses très nombreux déboires judiciaires. Voilà ! 

Ça réjouira plus d'un, moi en premier, que l'austère, hideuse et cynique Hilary Clinton, cocue notoire et accessoirement vide-poche de son mari Bill, n'ait pas pu accéder à la magistrature suprême aux États-Unis, car le souvenir de son sourire carnassier de monstre froid, après l'assassinat - qu'elle avait initié - de Mouammar Kadhafi, continue de hanter mes nuits déjà très courtes. 

Bon nombre de gens, en Afrique surtout, pourront enfin dormir d'un sommeil réparateur et ne devront plus jamais avoir peur de croiser Hilary Clinton à chaque fête d'Halloween... 

mercredi 9 novembre 2016

ÉLECTIONS US - DONALD TRUMP

La victoire de Donald Trump n’a été possible que grâce aux américains. Ceux qui ont voté pour lui ne sont pas chinois, ni sri lankais, mais bien des citoyens US. Le seul intérêt ici était donc celui des américains, exclusivement. Les africains en général et les camerounais en particulier, qui s'étaient mobilisés en nombre pour ces élections présidentielles dans un pays, qui avait fait de l'homme noir, l'égal de l'âne, devront reporter cette énergie inutilement dépensée, vers le Cameroun, qui organisera ses propres élections en 2018. Leurs redondants et très idiots cris de ralliement «34 ans de tyrannie Biya», «Biya must go», demeurerons vains, si rien n'est fait pour transformer cela en réalité politique. Ça a été dit et redit, le changement en démocratie, de personnel du moins, ne peut s'obtenir que dans les urnes et avec des bulletins de votes. L'allégeance stupide du noir à la race blanche, totalement inutile, ne finit pas d'interroger, autant que son intérêt dans les affaires d’un pays qui exporte la mort et la désolation à travers le monde. Bref, Hilary Clinton ou Donald Trump à la Maison Blanche, le statut animal du nègre n'allait pas évoluer aux États-Unis, où les industries de la haine anti-noir US sont florissantes. 


LEUR SEUL OBJECTIF DEVRAIT ÊTRE L'AFRIQUE ! 

mardi 8 novembre 2016

LA DIASPORA AFRICAINE, L'IMPASSE.

Ils ne sont pas nombreux ces africains qui risqueraient leurs conforts en Occident (Titre de séjour, nationalité, salaires et diverses allocations), pour dénoncer la véritable mafia qui harcèle un continent africain, dont les seuls moments de répit sont consacrés aux deuils et aux enterrements de ses fils. L'accident ferroviaire d’Eséka, qui avait fait des dizaines de morts et autant de blessés livrait là, une macabre illustration du déni dans lequel ils sont plongés, une espèce de répétition dérangeante et surtout tragique, de leur propre mise à mort. Comme à leur habitude, du locataire qui met le feu dans l'appartement qu'il loue, ils avaient une énième fois préféré incriminer le bailleur... C'est donc comme ça que par une déduction fallacieuse de ces esprits tourmentés, l'État camerounais, propriétaire du réseau ferroviaire camerounais à travers CAMRAIL, était devenu le principal responsable d'un accident de train, que gère le groupe français Bolloré, depuis une quinzaine d'années.  

Qu'il est long, le chemin qui va des plantations de la servitude, à la liberté…  

La diaspora africaine est dans son élément et n'est plus à une impertinence près, lorsqu'elle ne s'acharne aussi brutalement, que sur les suppôts africains de cette hydre, qu'est la mafia françafricaine. On ne peut véritablement venir à bout du trafic de drogue, que si l'on s'attaque aux chefs des cartels. Pareil pour le terrorisme, le circonscrire, c'est refuser d'en être le sponsors, pour déstabiliser d'autres pays ou pour préserver des intérêts géostratégiques comme en Libye, en Irak ou en Syrie. Ce n'est que de cette façon, qu'on est à l'heure pile du rendez-vous de la pertinence... C'est vraiment difficile à comprendre, qu'on puisse célébrer Thomas Sankara, sans se poser la question de savoir pourquoi il avait été assassiné, tout comme c'est un suicide, de citer tout le temps Um Nyobe, revendiquant même parfois, non sans fierté pour certains, l'appartenance à sa tribu d'origine, sans véritablement oser le questionnement qui élucidera sa fin tragique. Ahmadou Ahidjo, le premier Président camerounais, ne peut jamais avoir été meilleur que Paul Biya, son héritier, car ils étaient tous les deux dans la perpétuation d'une politique coloniale faite de détournements de biens publics, de privation de libertés et d'assassinats politiques, tout ça en faveur de la France. Tous ces défauts, rédhibitoires, empêchent d'améliorer les stratégies de combats sans lesquelles, il sera impossible de vaincre les ennemis séculaires de l'Afrique, qui avaient lâchement disposé de ses héros d'indépendance.  

La Banque de France, présente dans toutes les villes françaises, aurait pu être pour la diaspora africaine, le siège des luttes pour l'indépendance économique et politique effective des États de la Zone Franc, qui ont pour monnaie commune le Franc CFA. Transis de peur, des traces de pipis dans les culottes, ces africains de l'Occident demandent plutôt à leurs dirigeants en Afrique, de faire 6000 km, pour venir mener une guerre sur un front qu'ils occupent déjà. C'est pour ça que passifs, faussement désintéressés, on les trouvera plutôt entrain de prendre des photos - précis du nègre parfait - devant des édifices esclavagistes, comme les sièges des institutions occidentales où même les bureaux de la Banque de France, qui sacralisent la confiscation de leurs destins, qu'ils enverront ensuite en Afrique, pour épater la famille et les amis. La lutte pour la démocratie et l'alternance en Afrique est pourtant consubstantielle à la contestation affirmée d'une pratique économique inhumaine de la France en Afrique, dont l'une des conséquences, pas la moindre, c'est cette fuite du continent africain par sa jeunesse, pour un illusoire eldorado européen, qui très souvent  se termine dans les ventres des baleines dans la mer Méditerranée ou dans les centres de réfugiés austères et les trottoirs des grandes villes européennes, qu'elle disputera à des rats curieusement hospitaliers.  

Les africains n'obtiendront pas le pouvoir et la liberté qu'ils revendiquent tant, assis derrières leurs claviers d'ordinateurs à s'auto-mutiler. Cette attitude suicidaire fait le jeu de leurs véritables ennemis, qui récoltent les lauriers d'une bataille, qu'ils n'ont même plus besoin de livrer. La cible qu'ils doivent viser est pourtant là, hautaine, arrogante, outrageusement condescendante, qui les nargue, mais ils l'évitent, lâchement...  

Tenez donc, la France vient de siffler la fin de la partouze géante de ses soldats en Centrafrique. Cette mission de re-colonisation méthodique de la Centrafrique, qu'elle avait appelé «Opération Sangaris», au prétexte fallacieux d'aller maintenir la paix, était son seul moyen de contenir l'influence stratégique et économique grandissante de la Chine dans son pré-carré, dont le sous-sol recèle toujours autant de richesses, malgré des siècles de pillages.  

Les soldats de la France civilisatrice s'en vont donc, tentais-je de dire, laissant derrière eux, de jeunes garçons mineurs centrafricains aux destins brisés, qui, en plus d'être traumatisés à vie, ne pourront plus jamais s'asseoir correctement, à cause de leurs anus éclatés, suite aux viols collectifs, répétés dont ils avaient été victimes par des gens prétendument venus les sauver. La France étant toute-puissante, ces criminels sexuels ne seront jamais jugés sur les lieux de leurs crimes odieux, il n'y aura donc pas de restitution de fierté, ni de justice pour ces enfants  centrafricains. Alors, j'aurais voulu savoir si, la voix des africains de la diaspora ne pouvait pas saisir cette opportunité et se faire entendre utilement ? Si les claviers de ces dignes fils du continent noir ne pouvaient pas pour une fois laisser tranquille les «dictateurs» africains ou le Président «voyageur» camerounais et diriger leurs diatribes vers ceux qui ont définitivement mis l'Afrique à genoux, à travers l'indicible viol de ses enfants ? Et même là, le ton de l'indignation devrait venir des dirigeants africains ?  


Même là ?   

jeudi 27 octobre 2016

CAMEROUN: COMMENT TAIRE CETTE DIASPORA CAMEROUNAISE BÊTE ET INUTILE ? LA HONTE !

Il est foncièrement malhonnête de faire croire aux âmes déjà en peine que leur salut passera par la foi en la politique ou le fait de confier leur destin aux hommes politiques, dont la mission principale on le sait, est de les traîner à l'abattoir comme des moutons, qui seront inéluctablement sacrifiés, pour garantir la pérennité des intérêts des cercles de l'argent. Certains escrocs tenant la bible ou le coran, réussissent déjà cet exploit, en recrutant des personnes crédules pour leurs chapelles, avec la promesse, qu'elles les enverront au paradis. Les hommes politiques n'ont donc pas le saint esprit en eux, leurs paroles, aussi aliénantes que certaines évangiles, ne sont vraies que pour ceux qui veulent bien les croire. 

Si on ne sait pas comment se font et se défont les partenariats économiques entre états, surtout quand les rapports de force ne sont pas équilibrés entre eux, ça veut donc simplement dire, qu'on n'est pas outillé pour apprécier à sa juste valeur, le rôle nocif et l'influence d'un prédateur glacial comme Vincent Bolloré et sa totale impunité dans les enclos coloniaux d'Afrique, lui qui joue au loto avec les vies des africains pour s'enrichir. Gérant de la compagnie camerounaise des chemins de fer les quinze dernières années et ce jusqu'en 2034, pourquoi l'état désastreux du réseau ferroviaire camerounais devrait il être imputable à l'état camerounais, alors que c’est lui qui tire les plus grands bénéfices de son exploitation ? Quand la justice raciste américaine libère des policiers blancs qui assassinent gaiement des noirs, Barack Hussein Obama, tapi derrière ses larges dents blanches, n'est jamais mis en cause, pourtant il est le garant de l'impartialité de la justice dans son pays. 

Parlant du Cameroun, il serait temps qu'on commence à chercher d'autres vestiges du passé colonial de la France dans ce pays, en dehors du clientélisme, de la corruption, de la fraude et de la confiscation des secteurs stratégiques de l'économie camerounaise, qui pourraient encore justifier sa présence étouffante sur son sol. Si on aime tant les Félix Moumié, Um Nyobe et bien d'autres, puisque leurs noms reviennent de façon redondante, chaque fois que n'importe quel parvenu veut s'approprier leurs combats, l'heure a peut-être sonné de dire de manière affirmée, pourquoi ils avaient été tués, sacrifiés qu'ils étaient, pour un idéal de liberté, de souveraineté, de prospérité, toujours inaccessible, donc indépassable, plus de cinquante ans après l'indépendance supposée du Cameroun. On ne peut prétendre poursuivre les combats de ces illustres personnes, qu'en évitant les cul-de-sac des discours creux et des lamentations, pour passer à l'action de façon résolue. Les bourreaux des héros africains d'indépendance continuent toujours de sévir, dans un silence qui interroge, de la part des panafricanistes du web, grands pleureurs 2.0 devant l'éternel... 

C'est vraiment triste de se rendre compte que les objectifs de la françafrique et du «divisé pour mieux régner» colonialiste sont désormais atteints, quand les africains laissent de côté leurs vrais bourreaux, pour s'acharner lâchement et j'allais ajouter exclusivement, sur leurs dirigeants africains, qui ne sont que la gâchette d'un pistolet pointé sur leurs tempes par d'autres. Oui, oui encore, que les africains demandent le départ de leurs dictateurs, mais qu'ils aient un peu plus de courage, en exigeant d'abord celui de ceux qui les emploient, car en vérité, c'est eux la racine du mal qui ronge le continent noir. Si certains leaders africains, qui prennent des initiatives courageuses pour sortir l'Afrique des griffes des prédateurs sont systématiquement assassinés et le dernier en date étant Mouammar Kadhafi, ça veut donc dire qu'il y a quelque chose dans leurs stratégies de combat, qu'il faut revoir. D'un et de deux, n’avoir que la préférence de la célébration des héros morts, qui avaient «failli» libérer l'Afrique est une démarche vaine, malgré sa dimension symbolique, car elle n'offre pas non plus, de véritables garanties de liberté. 

Et la diaspora africaine aurait dû être le fer de lance de cette lutte de la libération et de l'émancipation de son peuple, car elle est à priori moins à plaindre sur le plan social, mais elle - les camerounais de France notamment - est curieusement taiseuse, lâche, nuiseuse et bête, quand on a besoin d'elle, ne s'agitant, en se couvrant de ridicule, que s'il faut fustiger les «dictateurs» africains désignés par leurs Maîtres blancs. Ce n'est en effet pas assez courageux de demander à un vieillard - Paul Biya - d'aller seul au casse-pipe de la dénonciation des pratiques mafieuses de la françafrique, alors que tout le monde sait qu'il en est l'un des rouages essentiels, bien qu'il essaye depuis un moment de s'en détacher. Chaque fois qu'il y a un rassemblement de singes à Paris, c'est pour demander à la France d'intervenir militairement en Afrique, pour tuer un de leurs frères, suppôt de l'impérialisme aussi, pour le remplacer par un autre. C'était au tour des gabonais récemment dans leur crise post-électorale, les camerounais les ayant déjà précédé longtemps avant, dans cette exposition honteuse. 

Pourtant, il a déjà été bien documenté par d'éminents experts internationaux de la finance et de l'économie, que les impôts des Camerounais dont ces macaques pleurent la disparition dans un train à Eseka il y a quelques jours, se trouvent gelés sur un compte en France, gérés par la France, au seul bénéfice de la France. Ils auraient déjà pu sécher leurs larmes hypocrites de pathétiques démagos et de médiocres populistes - plus aigris et frustrés, que concernés par la précarité de leurs frères restés en Afrique - en battant le pavé parisien, pour demander aux autorités françaises, la rétrocession des milliards d'euros que la France doit au contribuable camerounais et le rapatriement en France, des dizaines de milliers de soldats français stationnés en Afrique, qui sèment mort et désolation là-bas. Limiter leur panafricanisme abscons aux harcèlements des voisins de chambre de Paul Biya à l'hôtel Intercontinental de Genève, pour exiger son retour au Cameroun, est contre-productif. Ces tarés... 

Par ailleurs, on ne peut pas, dans un pays qu'on veut prospère, se ranger du côté des contribuables, quand on a jamais travaillé de sa vie. Un pays n'est riche que du travail, du sacrifice et de la solidarité de ses citoyens. Le terme galvaudé de «contribuable» ne s'applique qu'à ceux qui participent effectivement à l'effort national, les taxes et les impôts qu'on prélève sur les fruits de leurs labeurs, servant de carburant pour faire fonctionner l'État. Votre pays ne vous doit rien, quand vous n'êtes qu'un être végétatif ou un assisté, cet autre héritage honteux de la colonisation, qui représente un véritable frein au développement et un danger pour l'équilibre d'un pays. Au prétexte de la démocratie et du partage équitable des richesses - stratégie de prédation éculée - les prédateurs avaient encouragé les populations d'une Afrique soumise, à abandonner leurs cultures, leurs plantations, à quitter leurs villages, pour aller s'entasser dans les villes et tout attendre de leurs dirigeants politiques, mus en faiseurs de miracles impossibles, qui ne devaient finir leurs carrières, qu'en dictateurs honnis par les siens. 

dimanche 23 octobre 2016

CAMEROUN 🇨🇲

C'est dommage que le recueillement, le recul, ne veuillent plus rien dire à ce peuple, dont les valeurs, les seuls repères, ne sont plus que l'outrance, la  transgression et l'interdit. C'est ce qui vous reste d'ailleurs, quand vous avez tout perdu, même si dans leurs cas, ils n'ont jamais rien eu, discriminés dès le départ par l'intelligence et le bon sens. Ces ânes... Ils disent que les africains sont les seuls responsables de leurs propres malheurs, qu'il faudrait qu'ils arrêtent de tout attribuer à l'esclavage, à la traite négrière, à la colonisation, bref aux autres, mais ne se gênent pas, pour rejeter éhontément sur un seul homme, tous les maux d'une société, qu'ils sont pourtant les seuls à pouvoir guérir.  

L'imposture François Hollande, qui dure depuis 2012 en France, c'est aussi et surtout la faute des français qui l'avaient élu. Ils décideront encore de leur destin lors des prochains scrutins présidentiel et législatif de 2017. Ils sont donc comptables à l'heure du bilan de leur pays, car ils font des choix, bons ou mauvais, qui impactent leurs vies. Les camerounais, certains du moins, ne peuvent donc pas dénoncer un Président mal élu, le taxant d'illégitime, alors qu'ils n'ont jamais été dans un bureau de vote de leurs vies. Vous ne pouvez dire d'un scrutin qu'il a été truqué, que si votre voix a été effectivement détournée. L’un va obligatoirement avec l’autre. Les élections qui ont lieu dans les marmites des marabouts ne sont jamais pris en compte.

Leur pseudo militantisme, adossé à une idéologie qui n'existe nulle part, c'est depuis l'avènement d'internet (et encore) et l'excitation qu'ils ont à entendre les crépitements d'un clavier d'ordinateur. Non, on ne change pas un pays en alignant des inepties sur les réseaux sociaux. D'autres, éduqués par des voisins peu attentionnés, ont même appelé à la mort du Chef d'Etat camerounais, pour une faute aux conséquences tragiques, dont les responsables directs sont pourtant tous connus et devront (c'est un souhait) répondre de leurs actes. Les français, leurs références, n'avaient pas appelés à la démission de François Hollande et de son gouvernement, après les attentats terroristes meurtriers de ces derniers années, quand leurs responsabilités étaient pourtant directement engagés. Obama est toujours plébiscité dans la nègrerie, alors que l'accès à l'humanité est toujours interdit aux noirs dans un pays qu'il gouverne depuis 8 ans... La négraille.  

Ce n'est pourtant un secret pour personne, que même dans les démocraties supposément avancées, ceux qui sont élus ne travaillent pas pour le bien de leurs peuples, mais pour conforter celui des multinationales et des places boursières. Vincent Bolloré n'imposent pas sa doxa, ni ne bombe du torse, qu'en Afrique seulement, mais partout dans le monde. Allez demander aux français, ils vous parleront de l'influence nocive des grands patrons dans les politiques gouvernementales de la France. Barack Obama n'était devenu un va-t-en-guerre irréductible, que parce qu'il lui fallait obéir aux injonctions des industries criminelles des armes. L'aplaventrisme obsessionnel compulsif de François Hollande face au même Hussein Obama ou son atlantisme exacerbé, ça répondait aussi aux mêmes besoins de satisfaire l'appétit d'ogre des puissances de l'argent. Seuls les peuples (d'Afrique hein), qui n'ont signé aucun engagement avec ces réseaux mafieux, peuvent - oui, même dans les urnes - se défaire de leurs étreintes, en prêtant l'énergie qu'ils consacrent à s'autodétruire, au combat contre le capitalisme carnassier des Vincent Bolloré & Compagnie, qui les prennent pour des chiffres, qui feront grossir leurs comptes en banque.  

Par ailleurs, point n'eut été nécessaire de le rappeler, on ne doit pas seulement être une force de la contestation, mais aussi celle de la proposition. Oui ! Que ceux qui sont vent debout pour demander le châtiment suprême pour des dirigeants, pas toujours exempts de tout reproche je le concède, que tous ces vauriens, âmes errantes, qui ont la haine haute comme le salut nazi, viennent nous dire ce qu'ils ont déjà réussi dans leurs miséreuses et foireuses vies. S'ils n'arrivent pas déjà à se nourrir, diriger un pays de 25 millions de personnes, c'est une étape un peu lointaine, voire inaccessible pour eux.   

Des corps sans vie et d’autres mutilés, suite à l'accident d'un train au Cameroun, ils les font défiler sur les réseaux sociaux, prétextant honorer des morts qu'ils ne connaissent pas, narguant ainsi leurs familles éplorées. Il y a longtemps que moi j'attends en vain de faire le deuil de leur indépassable inculture et de leur bêtise congénitale. Avec eux, c'est le sacre de l'impertinence... 

PAIX !    

lundi 10 octobre 2016

La nègrerie et ses contradictions

L'intérêt et l'immixtion des africains dans la campagne présidentielle aux USA interrogent, qu'ils vivent aux États-Unis ou soient devenus américains ou pas... La politique intérieure américaine est pourtant entre les mains des lobbies racistes et négrophobes, d'anciens esclavagistes reconvertis dans l'industrie de la haine gratuite du nègre. Pas seulement, je le concède. Chaque africain-américain qu'on croise, devrait nous rappeler, l'histoire sordide, mortifère, de la traite négrière et de l'esclavage, pour que des africains, sans âmes, aigris, incultes, portant mal le deuil de leurs destins chahutés, tracent un parallèle entre ce qu'ils appellent "dictateurs africains" et les suprémacistes blancs américains, qui ont transformé les rues américaines en champs de tirs, dont les cibles vivantes sont des noirs. 

On peut s'intéresser à la politique américaine pour un noir africain, sans pour autant se dédire, pas au mépris de ses propres valeurs. On passera des heures à chercher, qu'on ne trouvera jamais dans les politiques d'Hilary Clinton ou de Donald Trump, un projet qui restituera au nègre, une place d'être humain qui lui est pourtant dévolue, dans une société américaine fièrement raciste. Si Barack Obama, noir lui-même, descendant direct d'un papa africain, n'a pas pu trouver des solutions pour intégrer ses frères de même race, dans un pays qui avait fait d'eux des sous-hommes, ce ne sont pas les deux représentants les plus farouches du suprémacisme blanc qui les y aideront.  

Chaque africain, quelque soit les raisons qui le poussent à émigrer en Occident, devrait et c'est non-négociable, être un digne ambassadeur du continent noir et de son peuple. La seule et exclusive fierté d'être un africain réside en cela. Si Hitler avait réellement existé, si la traite négrière - personne n'en doute - avait fait des dizaines de millions de victimes parmi les populations noires africaines et que leurs deuils ne sont toujours fait des siècles après, si la Libye n'est plus qu'un champ de ruines aujourd'hui, et je m'arrête là, aucun africain ne devrait plus jamais dire qu'un Chef d'Etat africain est un dictateur. Ce dernier en effet, résistera difficilement à la comparaison, avec les grands génocidaires de notre ère, que sont tous les dirigeants occidentaux présents et passés.  

On devrait classer l'impertinence et l'errance idéologique aux rayons des pathologies chroniques. On ne peut pas dénoncer le manque d'alternance politique en Afrique, et apporter son soutien à Hilary Clinton, dont le mari avait déjà servi comme Président des USA pendant deux mandats. Tenez donc, un autre exemple, le renouvellement du paysage politique français se fait exclusivement dans le recrutement des mêmes personnes depuis près de 50 ans, qui sont accessoirement des repris de justice ou en passe de l'être. Et les seuls qui sortent les machettes pour appeler aux changements politiques dans leurs pays, ce sont les nègres. Ils sont d'ailleurs - plus surprenant encore -, dans le soutien décomplexé de celle qui avait contribué à tuer la seule personne qui portait de réelles chances d'émancipation du continent africain, en la personne de Mouammar Kadhafi. Allez y comprendre quelque chose... 

Nous ne sommes pas encore au point d'être gagnés par la désespérance, résolus que nous sommes, nous l'emporteront, ce combat qui nous débarrassera des résidus mentaux de l'esclavage, qui nous font prendre nos bourreaux pour des modèles.  
AFRIQUE, mère de notre humanité, le sang qui coule dans nos veines, que tu vives ! 

dimanche 2 octobre 2016

OPINION | HUSSEIN OBAMA, UNE RACLURE !

Et aujourd'hui encore, plus qu'hier, Barack Obama est en Syrie pour sauver les syriens. Il en a le droit, mais seulement, qui garantira un avenir à ces jeunes noirs américains qui voient leurs parents tomber tous les jours, assassinés par des policiers blancs racistes, protégés par une justice blanche également raciste, dans un pays qui a un nègre à sa tête ? Il s'est rendu en Israël 🇮🇱 il y a quelques jours et c'est très bien, pour rendre un dernier hommage à Shimon Peres, décédé et dont le pays se rend en toute impunité coupable tous les jours, de graves crimes contre l'humanité sur les populations palestiniennes, mais seulement, qui ira essuyer les larmes de ses propres fils et petits-fils de race, victimes d'une épuration méthodique, brutale, sauvage, aux relents racistes aux USA 🇺🇸 ?

Non, le hashtag #BlackLivesMatter n'est pas un gilet pare-balles contre les lubies meurtrières de policiers racistes blancs, qui s'acharnent lâchement sur des civils noirs. On a besoin d'autre chose, immédiatement... Plus facile en effet pour Hussein Obama de voter en une seconde, une loi (ou une résolution, je m'en fous) qui détruira toute la Libye, d'opposer son veto à une résolution qui mettra fin à la colonisation sauvage des terres palestiniennes par l'État sioniste d'Israël - qui fait des survivants palestiniens, des prisonniers chez eux -, mais il (Hussein) est dépourvu de moyens, quand il faut enfin commencer à tout mettre sur pieds, pour garantir une justice à ses compatriotes de race noire, qui verront la population blanche nazie qui sévit aux USA 🇺🇸, être jugée pour ses nombreux crimes sur eux.

ENOUGH !

mercredi 28 septembre 2016

Le « Démocratisme radical », l’autre génie africain.

Ce qui se met en branle depuis un moment aux USA pour soutenir la candidature d'Hilary Clinton contre Donald Trump aux prochaines élections présidentielles américaines, c'est la stratégie pour assurer la survie d’un système inique, ravageur, criminel. Chaque fois qu'un discours visera les intérêts qui alimentent ce système, sa broyeuse se mettra en marche pour le réduire au silence. C'est pour ça que les projets de Donald Trump comme candidat à la Présidence des USA sont toujours brocardés, autant que les sorties de Marine Le Pen en France, qui n'apparaît jamais, manque de pot pour elle, qu'en extrémiste raciste doublée d'une antisémite, ce malgré la pertinence de quelques unes de ses idées. La couverture médiatique théâtrale, grotesque, mensongère, du vote des britanniques pour sortir leur pays (la Grande-Bretagne) d’une Union Européenne déshumanisée, affairiste, à la solde des places boursières et des multinationales, c'était aussi les spasmes de fin de vie - je l’espère - d’une mafia multi-séculaire.

L'oligarchie tremble. Personne n'avait prévu l'ascension des forces de ruptures. La maturité des peuples dans l’analyse des grands enjeux, leur capacité de plus en plus grande, à anticiper à chaque évènement, sur la réaction de leurs bourreaux, qui s'amusent à remplir leurs comptes en banques en les envoyant à la mort. Nous avançons donc inéluctablement vers les «printemps démocratiques occidentaux», avec leurs contingences de bouleversements, dont la mouture c'est justement la défiance - à travers les grèves et les votes extrêmes - envers l'establishment, ce système de privilégiés et de castes, qui a fabriqué des générations de laissés-pour-compte de la mondialisation économique, tant en Occident, en Afrique, qu'en Asie. Ça c'est fait !

On a toujours vendu aux peuples (et ils l'achètent comme du petit pain), l’idée selon laquelle ils étaient souverains, qu’ils étaient maitres de leurs destins, incontournables dans le choix de leurs dirigeants, que nenni ! La démocratie et l’alternance donc, au lieu de leur fabriquer une société juste et apaisée, ne leur auront offert qu’une copie, pâle, inégalitaire, brutale, sanglante, cruelle, avec une minorité de gens tous les jours plus riches, qui s'acharnent à puiser leurs richesses dans la misère d'une majorité déjà très démunie. Quelles fumisteries !

Leurs relais sur le terrain, toujours plus nombreux, que sont pêle-mêle Hilary Clinton, Nicolas Sarkozy, la gauche esclavagiste au pouvoir en France et son extrême-gauche faussement humaniste, se perdent tous dans la conjecture des déclarations folles d'amour aux peuples, leurs moutons de Panurge, comme ces célébrités américaines, confuses, sans convictions, qui se mettent en rangs serrés pour aller apporter leurs soutiens à Hilary Clinton, qui n'hésitera pas une fois élue, à les mener à l'abattoir. Des suppôts de l’impérialisme carnassier tentais-je de dire, rompus à tous les rouages de la rapine, qui se recrutent jusqu'en Afrique. C'est où la porte de sortie ?

Incapables de se réinventer, les intellectuels africains, pour certains d’entre eux, paresseux, lâches, ont préféré s’inscrire dans la singerie absconse de ce que font les autres. C’est comme ça qu’ils sont devenus des intégristes fondamentalistes de la démocratie et de l'alternance, des concepts ou modèles de société qui n’ont même pas encore épuisé les preuves de leur efficacité chez leurs promoteurs occidentaux. Têtes dans leurs guidons, fonçant droit dans leurs bêtises, ils jurent que ce que «le blanc fait est bon». Ou bourrés de complexes, incultes, leurs phrases sont toujours précédées ou suivies de «Communauté Internationale». 


Il n’y a pourtant que le «démocratisme radical» africain pour s’accommoder fièrement de l’exclusion, de la censure et de l’idéologie de la haine. Le Président Ali Bongo du Gabon, qui ne vient que d’entamer son deuxième mandat de 7 ans, est obligé par ses opposants, de porter la responsabilité des 40 années de règne de son feu papa Omar Bongo. «Nous en avons marre de la dynastie Bongo», scandaient-ils éhontément… Quand en Europe, les noirs et les arabes se plaignent du délit de faciès, aux sous-entendus racistes, l’Afrique invente les délits de patronyme pour haïr, surtout pour exclure…

En effet, Hilary Clinton peut se présenter aux élections présidentielles des USA, candidature soutenue par les milieux intellectuels africains, pas gênés que ce soit à la suite de son mari Bill (Clinton), président des USA de 1993 à 2001 (vive l'alternance), mais Ali Bongo, fautif d’être le rejeton d’Omar Bongo, défunt président du Gabon, n’est pas légitime, même…démocratiquement, pour lui succéder. Et ça c'est la démocratie révisée, sectaire, haineuse, mise en place par la bien-pensance totalitaire d’Afrique. Les membres de la famille Bush aux USA pouvaient transformer l'alternance politique en succession familiale, que les «tout-sachants» africains auraient applaudi «tout-sachamment». Eux quoi dedans ? Michelle Obama pourra donc revenir dans quelques années présenter sa candidature pour devenir présidente des USA, qu'en Afrique, les grands «diplômeux» applaudiront à se rompre les phalanges.

Ailleurs, au Cameroun, Frank Biya, le fils de l’actuel président du Cameroun, ne jouit pas des mêmes droits civiques que tous les citoyens camerounais et ne peut donc pas devenir président de la république du Cameroun un jour, parce que tombant sous le coup critère rédhibitoire de «fils de». Des policiers américains blancs assassinent leurs compatriotes noirs et ce n'est pas à mettre sur le compte du bilan désastreux de Barack Obama, car les africains vous diront, qu'il n'a aucun pouvoir aux USA, qu'il a les mains liées et tutti quanti. Alors que les forces armées camerounaises qui combattent les terroristes au Cameroun, pour apporter la sécurité et la paix aux camerounais, sont taxées d'armée tribale à la solde du régime du pourtant chef de l'état camerounais Paul Biya. Le bout du tunnel, c'est encore loin ?

jeudi 22 septembre 2016

NICOLAS SARKOZY, PERCHÉ SUR SES ESCABEAUX, IL CRIE SON AMOUR POUR LA FRANCE ET SA HAINE POUR L'ÉTRANGER

Chaque fois qu'un africain aura échoué ou sera rejeté en Occident, que l'européen lui aura fermé la porte au nez, parce qu'il est nègre ou tout simplement parce qu’il est nul, la plupart du temps, frustré, il se retournera lâchement contre son pays d'origine et ses dirigeants, qu'il rendra responsables de sa foirade. C'est le même africain qui traitera de raciste anti-blanc, son frère qui aura osé dénoncer par exemple, la présence par trop étouffante de la France impérialiste en Afrique ou sa politique africaine notoirement criminogène, dont les conséquences sont longues comme des journées sans pain...

On a donc ce sentiment étrange que le noir n'est programmé que pour être son propre ennemi, avec cette tendance chronique à s'auto-déprécier. Il ne veut exceller que dans la singerie futile et idiote de son bourreau, son Dieu, celui qui peine pourtant à lui attribuer le statut plein d’être humain. Pendant que les européens «s’extrême-droitisent», se renferment sur eux, montent des murs infranchissables autour d'eux ou repoussent la négraille loin de leurs frontières, les africains, dans un élan suicidaire qui interroge, les invitent chez eux, à leurs tables et leur confient leurs destins, comme les gabonais en ce moment, qui crient vouloir la liberté, mais jurent aux noms de tous les dieux que pour y parvenir, ils n'ont trouvé que la France (esclavage, colonisation, Françafrique...etc), celle qui depuis des siècles, s'acharne à les débarrasser de tout ce qui est constitutif de l’humanité chez eux.

La Primaire de la Droite française pour désigner le prochain candidat aux présidentielles de 2017 bat son plein. De toutes les idées qui retiennent l'attention, voire même celles que les candidats veulent absolument promouvoir, c'est celles qui portent sur le musellement, voire l'exclusion de l'étranger (lire ici le nègre). En cause, et comme prétextes fallacieux entre autres, pour davantage haïr le noir, le «regroupement familial». Relevant - si je ne m'abuse - de ce qu'on appelle «libertés fondamentales», il est pourtant acquis que s’il en a les moyens, n'importe quel être humain peut, de plein droit, quelque soit l'endroit au monde où il vit, faire venir sa femme, ses enfants ou plus généralement un membre de sa famille, pour vivre avec lui. Un droit non-négociable, incessible et inaliénable.

Cet acharnement sur eux est curieux. Les étrangers venus d'Afrique et leurs familles qui vivent sur le sol français ne sont pourtant pas responsables du terrorisme en France - qui est une originalité franco-française -, encore moins du taux chômage, qui sait monter, mais ne sait jamais comment redescendre. Faire de cette catégorie de personnes, très souvent fragiles et vulnérables, les responsables des problèmes que rencontre la France est inadmissible, encore moins qu’ils ne doivent faire l'objet des enjeux bassement électoraux.

Si Nicolas Sarkozy peut animer des débats douteux, qu'il veut politiques, dont les thèmes centraux portent sur la discrimination et l'exclusion de l’étranger (noir et arabe) de façon décomplexée, pourquoi le droit à la réciprocité devrait-il être perçu comme un acte de racisme contre les blancs ? Sa cote de popularité est ascendante chaque fois qu’il descend dans la fange pour s’exercer à la détestation gratuite des «autres», quand ça n’ajoute pas simplement quelques centimètres à ses talonnettes XXL. Que les africains apprennent donc de leurs Maitres, en plaçant les mots qu'il faut sur leurs maux… Dire qu'un blanc est raciste, ce n'est pas du racisme inversé ou du racisme anti-blanc. Et c'était ça le message glissé dans ce billet... 

mercredi 21 septembre 2016

USA - NÉGROPHOBIE: BARACK OBAMA, LE DÉSAVEU !

Après les attentats présumément terroristes de New-York, du New Jersey et du Minnesota, Barack Obama appelait récemment les américains à ne pas « céder à la peur ». C'était une espèce de cri de ralliement, un appel à la résistance face aux attaques terroristes, qui rappelons-le, font curieusement moins de victimes aux États-Unis, que les marchands au détail, racistes et négrophobes de la terreur, que sont les policiers américains de race blanche, qui pour s'entraîner, tirent à balles réelles sur leurs compatriotes Noirs et les abattent, parce qu'ils ont commis la faute lourde d'être des Nègres.

Lâche chez lui, incapable de garantir la sécurité d'une partie de ses citoyens victimes des dérives racistes de ceux qui sont supposés les protéger, on retrouve toujours ailleurs, en Syrie, en Libye ou en Irak notamment, un Barack Obama prolixe, défiant, engagé, prêt à en découdre avec le terrorisme. Il ne laissera à la fin de son deuxième et dernier mandat comme Président, au moins dans la communauté Noire des États-Unis, que le sentiment d'une personne veule, doublée d'un escroc, d'une enflure, que dis-je, d'un Imposteur ! Pendant qu’il protège les citoyens américains blancs du terrorisme supposément islamiste, qu’il est d’ailleurs le promoteur en chef dans d’autres pays du globe, les noirs américains de leurs cotés sont les cibles d’un racisme policier blanc complètement décomplexé…

jeudi 8 septembre 2016

GABON: Quelques rappels...

Le script du cinéma tragico-politico-comique gabonais était écrit d'avance. Le parti-pris illégal et illégitime de la France dans la crise post-électorale gabonaise, comme en Côte-d'Ivoire en 2010, est d'ailleurs une indication suffisamment édifiante de cette triste réalité. La France ne peut pas demander à un pays indépendant de violer sa propre loi, autant qu'elle ne peut pas proclamer les résultats d'un scrutin démocratique avant (ni même après) son dépouillement dans un État souverain... Les gabonais devraient-ils obéir à Manuel Valls ou respecter la Constitution de leur pays ? Purée, la colonie !

Par ailleurs, on ne peut pas parler de démocratie, invoquer l'ordre républicain, exiger le respect des textes et des lois de la République, puis se permettre de se confondre dans l'illégalité. Je dis hein, pourquoi Jean Ping avait-il accepté de se présenter aux élections présidentielles gabonaises, quand il savait dès le départ que les institutions (Cour Constitutionnelle & Commission Électorale Nationale Autonome et Permanente) chargées de les arbitrer en toute impartialité étaient inféodées au pouvoir sortant, donc corrompues ? C'est lui et ses partisans qui disent ça hein, pas moi... Passons.

Si rendu à ce jour, la crise libyenne ne concerne plus uniquement les libyens, parce qu'elle s'exporte largement au-delà de leurs frontières, avec son cortège de morts et de désolation, qui charrient toute une grande partie de l'Afrique du Nord, avec de macabres ramifications aussi lointaines qu'en Afrique centrale, par simple déduction, un Gabon instable aujourd'hui ne sera plus demain une affaire de citoyens gabonais entre eux exclusivement, lesquels demandent aussi étrangement que sottement aux autres africains de se mêler de ce qui les regarde...

En effet, bien que n'étant pas libyen (il s’en fout du sort des libyens), Ali Bongo avait quand même voté pour l'assassinat du Guide libyen Mouammar Kadhafi. Par l’adoption d’une résolution (1973) qui portait tous les germes d'un génocide et du vol à mains armées des richesses libyennes, il avait lâchement, en tant que Chef de l’État gabonais, engagé la responsabilité du Gabon et des citoyens gabonais dans le massacre des libyens et dans la destruction totale de leur pays, avec la complicité des bourreaux multiséculaires des peuples d’Afrique.

Jean Ping de son côté, mi-chinois, mi-gabonais, candidat malheureux des dernières élections présidentielles gabonaises, mauvais perdant, il demande aujourd'hui le recomptage des bulletins sortis des urnes, luxe qu'il avait pourtant refusé à Laurent Gbagbo, déclaré vainqueur des élections présidentielles de Côte-d'Ivoire en 2010 par la plus haute juridiction de son pays, une scandaleuse décision du Président de la Commission de l'Union Africaine de l'époque (Jean Ping), qui précipita la Côte-d'Ivoire dans le chaos, des milliers de morts s'en suivirent. Lui quoi ?

De quels droits les gabonais iraient-ils donc demander aux ressortissants des autres nations africaines de ne pas se mêler de ce qui se passe au Gabon, quand les plus hautes autorités politiques de leur pays sont directement responsables de l'assassinat de milliers de ressortissants d'autres pays africains et la destruction de leurs pays, la poudrière qu'est devenue la Libye aujourd'hui étant l'exemple le plus patent ? La négraille ! 

Les gabonais peuvent rentrer s'installer ad vitam æternam, s’ils le veulent, dans les plantations de la servitude, mais qu’ils sachent qu’ils ne vivent pas en vase clos, que leur pays a des frontières communes avec d’autres pays, qui légitimement, ne veulent plus de cette relation honteuse, assujettissante, d’une époque révolue avec la France impériale.

D'ailleurs même, mouf !

mercredi 7 septembre 2016

AFRIQUE - TRIBALISME, l'autre frein au développement...

À défaut d'arguments - paresse intellectuelle et tribalisme en renfort - pour expliquer ou justifier l'incurie et la mauvaise gestion des affaires publiques dans certains pays d'Afrique subsaharienne, stigmatiser un groupe ethnique, parce que ses membres seraient prétendument plus nombreux aux «affaires», est devenu le fond de commerce d’irréductibles haineux sectaires, qui se servent de la politique et de l'aspiration légitime des citoyens au changement, pour verser leur fiel mortifère de l'ethno-fascisme.

Au Cameroun par exemple, il ne fait pas bon appartenir au grand peuple «Béti», bouc-émissaire et véritable réceptacle de saillies nauséabondes, cristallisant autour de lui toutes les haines, de la part de certains déçus de la politique de Paul Biya, le Président du Cameroun, à qui ils reprochent - curieusement - moins sa gestion des affaires de l’État, que son appartenance «coupable» à la tribu dont il est le fils. Ailleurs, en Cote-d’Ivoire, la crise post-électorale de 2010 avait hébergé les mêmes puanteurs tribalistes, à savoir le glissement d’un affrontement réputé idéologique, politique, vers une crise sanglante identitaire, qui avait couté la vie à des milliers de personnes.

Les Hutus et les Tutsis du Rwanda avaient déjà franchi un nouveau palier dans l’affirmation par l’horreur des différences ethniques, se coupant allègrement comme des bouchers avec des machettes, remerciant au passage les femmes et les enfants, qu’ils venaient de violer en les égorgeant… Toute cette énergie négative pour s’auto-détruire, quand cela aurait pu servir d'arme pour se défaire des griffes carnassières de leurs prédateurs séculaires. Le Nègre… Et dire que les suprémacistes blancs imaginent toujours les Noirs sautant d’arbre en arbre tels des macaques, des bananes en main, que ces derniers préfèrent plutôt l’originalité de la charcuterie fratricide. Tout ceci croient-ils, pour le triomphe d’une idéologie qu’ils ne maitrisent pas. 

Il n’y a pourtant dans aucun pays africain, une tribu spécifique génétiquement prévaricatrice. Non, il n’y a pas, si je puis me permettre, d’atavisme qui prédispose certains groupes ethniques aux vols des ressources de l'État. Il y a par contre aux sommets de nos enclos coloniaux d’Afrique, une tribu de pilleurs, une espèce d'équipe de voleurs, qui n'ont en commun que la seule particularité d'être des voleurs. Ils ne viennent pas du même village, ne parlent pas les mêmes langues, encore moins n'ont-ils les mêmes cultures, mais ils arrivent à se mettre d'accord sur l'essentiel qui les rassemble: le vol des biens du peuple.

Karim Benzema, l'avant-centre français du Real de Madrid avait été privé de l'Euro de football 2016 sous la pression des plus hautes autorités politiques françaises, au prétexte qu'il avait été mis en examen dans une affaire. Manuel Valls le Premier Ministre français avait même dit à l'époque qu'un mis en examen ne pouvait pas représenter la France... Il s'en foutait royalement de la présomption d'innocence. Bien. On se rend compte que cette maxime opportunément raciste, islamophobe, négrophobe et notoirement contre les intérêts du peuple, ne s'applique jamais aux hommes politiques.

En effet, un régiment de repris de justice et de mis en examen, venus de tous les courants politiques, de toutes les régions françaises, seront candidats pour devenir le prochain Président de la République française dans quelques mois. Personne dans une classe politique française à la moralisation à tête chercheuse ne s'en offusque, encore moins leurs médias, pour la simple raison, qu'ils sont tous de la même famille, de la même «tribu», ils appartiennent tous au même réseau. Ils sont donc solidaires. Ce sont des voleurs !

Que « compreneur » comprenne !