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jeudi 28 juillet 2016

Que Nicolas Sarkozy, monté sur ses écoperches, sache qu'il y a un moment pour la politique et un autre, pour être digne...

François Hollande - et c'est à mettre à son crédit - n'est pas plus responsable du délitement de la société française, du terrorisme (supposé islamiste et surtout d’État) en France que Nicolas Sarkozy, qui ne tient plus en place, malmené par ses tics, ses échasses jusqu'au cou, qui ne se gêne plus pour donner des leçons et proposer des idées, pour que la paix revienne dans une France, que sa lubie hégémonique de Nano-Président avait hypothéquée, quand il alla livrer une guerre injuste aux libyens, assassinant au passage leur dirigeant Mouammar Kadhafi, au prétexte fallacieux de leur apporter la démocratie, quand le but principal de sa mission était de les débarrasser de leurs ressources naturelles.

En effet, le bon sens aurait commandé, que Nicolas Sarkozy ait le mot rare sur la question du terrorisme en France. - Le karma n'est pas une notion nulle, on s’en rend compte avec la vague d’attentats qui traverse ce pays depuis un moment. - Le terrorisme en France tentais-je de dire, c’est l’héritage à son peuple (français), d'un minuscule président monté sur des escabeaux. Il avait fait de 2007 à 2012, un quinquennat pour préparer les français à la barbarie, des rues d’Abidjan, en traversant toute la Libye, jusqu'en Syrie, il les avait installé dans l’horreur des décapitations, dans le confort des Allahu Akbar empruntés, préludes aux explosions, à la mort et à la désolation...

Qu'on n'entende plus du reste ces dirigeants occidentaux en guerre contre leurs peuples, se comportant avec eux, comme ces charognards qui attendent baveusement la fin de l'agonie de leurs proies, pour tomber dessus et satisfaire leurs appétits d'ogre. Oui, ces gens sont des monstres dématérialisés, qui peuvent sans gêne se servir du drame d'un peuple qu'ils envoient expressément à la mort, pour se livrer à leurs viles batailles de leadership. Et pour vous en convaincre, allumez vos télés, Sarkozy vous donnera envie de vomir. 

vendredi 22 juillet 2016

NICE - TUERIE: Radicalisation «rapide», en fait, non, mais radicalisation quand même...

Le Procureur de Paris François Molins, en charge de faire la lumière sur la tuerie de Nice, dit que Mohamed Lahouaiej Bouhlel, l'auteur présumé, aurait planifié son projet macabre «depuis de longs mois» et aurait reçu du soutien et de la complicité. Ce qui commande que l'on se posa la question suivante:

Si tel était le cas (préparation «mûrie de longue date» du projet macabre), la thèse de la supposée radicalisation «rapide» du principal suspect qu'on disait «de quelques jours seulement», préalable à son passage à l'acte, ne s’envolerait-elle pas en fumée ? En effet, celui qui mûri un crime depuis de longs mois, ne peut pas, au moment où il le met à exécution, être accusé de ne l'avoir fait qu'à la suite d'un phénomène (radicalisation) «rapide».

Dans «préparation de longue date» d'un projet, il y a préméditation, planification, ce qui exclut de facto la précipitation, la rapidité, dans son exécution. Mon avis.

Et pour finir, si DAESH, en contradiction totale avec l'idée qu'il se fait de la pratique (stricte, rigide, voire radicale) de l'islam, peut recruter des homosexuels, des buveurs d'alcool et mangeurs de porcs, pour mener son djihâd contres les impies, il aurait bien pu aussi être derrière les assassinats d'Oslo, qui avait coûté la vie à 77 personnes, abattues de sang froid par Anders Behring Breivik. Non ?

Norvégien, Blanc, non musulman et raciste, lui aussi n'avait pas le profil de l'emploi (terroriste islamiste), comme Mohamed Lahouaiej Bouhlel, le tueur de Nice, à cause de son mode vie incompatible avec l'islam, mais tous les deux étaient quand même des professionnels de la mort assez dévoués. Alors, pourquoi l'un hérite t-il la qualification de terroriste (et/ou «islamiste») et l'autre pas ?

lundi 18 juillet 2016

NICE, TERRORISME ? De minables voltiges (à peine) intellectuelles pour un mensonge d'État

On peut refaire la question autant de fois qu'on le voudra et de manières différentes, qu'on y arrivera pas... Pourquoi selon votre patronyme, la confession qu'on vous prête ( si si, ça se décrète !), votre origine, un crime que vous commettrez, passera toujours le test d’un présupposé acte terroriste, ascendant islamiste ou pas ?

Autre chose, le nom «État Islamique» n'a jamais été autant cité qu'en ce moment, pour ajouter à la confusion ambiante et alimenter la terreur, qu'on prétend pourtant vouloir combattre à tout prix. Un carnage, une boucherie humaine, une fusillade sanglante, toutes ces horreurs indicibles, n'ont jamais eu besoin d'être motivées par un quelconque islamisme présumément radical, pour être des atrocités.

Notre société marche vraiment sur la tête ! Le Procureur de la République nous apprend que quelques jours avant de passer à l'acte, le tueur de Nice avait tenté de retirer 1000€ d'un distributeur automatique de billets, mais n'avait pu obtenir que la moitié. Selon la même source, notre «rapide» radicalisé avait aussi sollicité en vain auprès de sa banque ou d'une autre institution bancaire (on s'en fout), un crédit à la consommation de 5000€, dont on se doute bien, qu'il en avait besoin, pour financer son projet macabre. Bien.

Alors, pourquoi vouloir à ce point associer l'État Islamique, une organisation criminelle, que les mêmes - médias et politiques français -, avec force conviction, nous disent qu’elle est puissante militairement et financièrement, dans un projet d'envergure comme les multiples meurtres de Nice, alors qu’elle n'a même pas été capable de donner à son soldat supposé, les moyens logistiques et financiers, qui allait lui permettre de mener à bien son entreprise criminelle ? Le nouveau converti «rapide» à l’islam radical de nos hommes politiques avait donc été obligé de vendre sa voiture pour financer sa mission… Une raison à cela Manuel Valls ?   

La Syrie et l'Irak font aussi redondamment le tour des médias français comme étant les bastions du terrorisme international, le fief supposé de l'hydre terroriste État Islamique. Mais les citer après le drame survenu à Nice, pourtant à plusieurs milliers de kilomètres de là, interroge quand même, autant que ça ne semble pas détourner l'ambition un peu illicite de l'exécutif français d'aller combattre ailleurs un mal, qu'il élève et entretient plutôt dans ses propres frontières. Le tueur de Nice, tunisien d’origine et de nationalité, vivant en France, n’avait pour seuls liens avec la Syrie ou l’Irak, que ceux que les médias et les hommes politiques français lui ont «généreusement» attribués après sa mort… But who cares ? 

Enfin, peut-on me dire à quel niveau se trouve la responsabilité des mosquées et de l'islam dans le massacre de Nice, quand on sait que l'auteur présumé n'était pas croyant, ni pratiquant, adepte d'une sexualité déviante du point de vue de l'islam, homosexuel donc, qu'il se droguait, buvait de l'alcool et mangeait du porc ?

vendredi 15 juillet 2016

« Les Bleus », l’Équipe de France, soutien « éternel » de l’Afrique post-coloniale !

Avec l'Euro qui vient de s'achever en France, il ne faisait pas bon, ni même beau supporter une équipe autre que celle de la France pour un Noir originaire d'Afrique et d'expression française. La manifestation de sa gratitude à la colonisation sauvage de la France en Afrique devait s'étendre au choix de l'équipe qu'il devait soutenir pendant l'Euro. Présenté sous forme d'injonctions, il fallait crier son amour «éternel» et «inconditionnel» à l'équipe nationale française. On risquait à défaut de se voir affublé d'épithètes injurieux, quand on était pas accusé «d’aigreur doublée de frustration» ou de «racisme anti-blanc», même quand cette infidélité profitait à une autre nation «blanche» ex-puissance colonisatrice.

Les profils des soutiens «indéfectibles» à la France se déclinaient sous plusieurs sous-catégories, les plus importantes étant celles de ceux qui, pour les différentes allocations familiales qu'ils percevaient et la gratuité des soins médicaux dont ils bénéficiaient en France (sur le dos bien-sûr et la générosité de ceux qui se lèvent tôt tous les jours pour aller travailler), ils ne pouvaient dire merci à ce pays autrement, qu'en criant à se couper les cordes vocales, leur attachement évidemment «éternel» à son équipe nationale.

D'autres justifiaient leur allégeance - «éternelle» - à la France par le fait que certains joueurs de son équipe nationale partageaient les mêmes origines africaines qu’eux… Leurs soutiens étaient donc banalement identitaires, racistes quoi, le pendant camerounais du tribalisme, qui fait que tout acte de la vie privée et publique d'un individu au Cameroun n’obéisse qu’à la dictature du repli identitaire. Pour prendre un raccourci, on va dire qu’avec le soutien «illimité» aux Bleus français, ces petits génies fascisants avaient surtout aimé joindre l'utile sectaire, communautariste, au ludisme d'un sport qui paradoxalement, fait le culte du rassemblement des peuples et du mieux vivre-ensemble. N’est-ce pas ?

On ne peut pourtant pas aimer la France, même son équipe nationale, sans être critique sur sa politique africaine notoirement criminelle et génocidaire. On ne peut véritablement soutenir les joueurs Noirs de l'équipe de France, que si on sait apprécier leurs parcours, mesurer leurs sacrifices, leur courage, leur abnégation et surtout leur amour pour cette équipe de France, quand on sait que tout est fait, depuis leur enfance et leurs formations, pour qu'ils n'y arrivent jamais. Non, tout ça pris en compte, l’institution «Équipe de France» ne peut qu’être détestable. 

Par ailleurs, tous les africains ne s’intéressent pas au football et on ne peut pas les blâmer de limiter leur connaissance de l’histoire de la France, qu’à l’esclavage, au colonialisme ou au néocolonialisme. Ils n’ont donc pas totalement tort d’exprimer du dégout pour l’équipe nationale d’un pays qui continue de les maintenir dans la servitude, à travers divers mécanismes mafieux. Et même, peut-on prétendre être pertinent, quand on soutient l'équipe de France au léger prétexte qu'elle intégrerait des joueurs d'origine africaine dans son effectif, alors que plusieurs autres nations européennes font le même choix, très souvent avec plus de respect et de considération pour ces joueurs Noirs ? Patate ! 

En France, français «d’origine» étrangère (Noir, Musulman et/ou Arabe), on est forcément rejeté, chaque fois que le succès ou la réussite n'est pas au rendez-vous dans son domaine de compétence. C’est comme ça que selon les situations, par un mécanisme douteux forcément discriminant, voire raciste et négrophobe, on aura, un Yannick Noah Franco-Camerounais, mais jamais de Franco-Hongrois lorsqu’il s’agira du nabot Sarkozy, qui pourtant de ses quatre grands-parents, n’en a qu’un seul avec de véritables origines françaises. You get me ? Pourquoi donc se gêner ? Des portugais naturalisés français et vivant en France avaient le droit de supporter l'équipe du Portugal lors de sa finale gagnée contre l'équipe de France, mais jamais un camerounais dans la même situation n’y aura droit et ceux qui le condamneront en premier, ne seront que ses propres frères de couleur. N'y a t-il pas un problème là ?

Je dis hein, a t-on donc le droit d'aller sans procès vers celui qui vous respecte et vous concède un peu plus d'humanité, que de rester et assister à sa mort lente, avec celui qui vous ronge comme un cancer ? Voilà le même choix (moins cornélien qu'on y croit, de ces ex-supporters des Bleus), que doivent faire certains pays africains en ce moment même, lorsqu'ils font le bilan désastreux de leur relation avec la France et décident d'aller vers de nouveaux partenaires, pour de nouvelles aventures. There you go !


lundi 4 juillet 2016

EURO 2016 - Équipe de France, ses joueurs Noirs, Bleus par dépit

Gagner, c’est la seule, voire exclusive réponse à tous les racismes rampants qui s'institutionnalisent dans ce - pourtant - très beau pays qu'est la France, son peuple avec. On ne peut pas être plus Noir que ça... Le Noir de toutes ces émotions et de ces joies qui remplissent les cœurs après chaque exploit. Ce Bleu de l'équipe de France qui n'est que circonstance, prétexte. Rouge est notre sang...

Et dire que l'autre idiot juché sur des escabeaux avait prétendu à Dakar que cette Afrique qui fait triompher la France, ces ambassadeurs venus d'ailleurs, fiers serviteurs comme furent leurs ancêtres tirailleurs, n'étaient pas suffisamment rentrés dans l'histoire. Ils sont pourtant l'histoire de la France, celle qui continue de s'écrire, de ce pays qui n'aurait jamais existé, s'il n'avait pas été de leur résilience et de leurs sacrifices.

En ce moment précis où la France est qualifiée pour les demi-finales de l'Euro, ça intéresse qui de savoir que son milieu de terrain Yohan Cabaye, qui évolue à Crystal Palace en Angleterre, entretiendrait des relations amoureuses avec l'ex-meilleure copine de sa femme, et que cette dernière serait même enceinte de lui ? Personne évidemment, car il a le bon prénom et le bon teint.

Samir, Karim ou Abdallah auraient fait la même choses que Pascal Praud, Roland Courbis, Bixente Lizarazu, Pierre Menez, membres à part entière de l’Internationale Raciste, seraient déjà vent debout pour les castrer. Tenez donc, pour avoir exécuté ce qu'ils avaient appelé «bras d’honneur», ils faisaient déjà les tours des plateaux télés pour demander l'exclusion de Paul Pogba. Rien ne retient la furie raciste de ces pleutres, demandez à Benzema, Nasri, ils vous diront. C’est d’ailleurs grâce à certains d’entre eux que Zahia ne compte plus les bourses de ses clients, avec la pub que ces médias collabo lui avaient fait…

Je souhaite donc vivement que l'équipe de France gagne pour que les Pogba, Matuidi, Rami, Sissoko, Kanté & Co, véritables réceptacles des puanteurs racistes, puissent avoir un peu de répit ou qu'elle...perde, pour que leurs pourfendeurs, qui tirent la France vers le bas, crèvent de leur fiel haineux.

Rien ne me fera haïr ces gens, car j'ai suffisamment d'intelligence pour ne leur opposer que mon humour, de temps en temps et mon mépris, tout le temps.

Mes enfants, le prochain obstacle c'est l'Allemagne. Il n'est pas insurmontable. Allez, zou !

samedi 2 juillet 2016

Invalidation des résultats de l'élection présidentielle en Autriche. Quelles leçons pour l'Afrique ?

Les résultats de l’élection présidentielle autrichienne de mai dernier viennent d'être invalidés par la Cour Constitutionnelle de ce pays, à cause des irrégularités relevées pendant le dépouillement des votes. Les autrichiens n’auront pas à recompter les voix, pourtant un recours sérieux, quand des résultats électoraux font l'objet de contestation, mais ils iront plutôt vers une nouvelle élection présidentielle, on va dire, purement et simplement, ce qui n’est pas plus mal. 

Le Conseil de Sécurité de l’ONU ne s’est pas réuni, ni n'a voté des résolutions, comme c’est traditionnellement le cas, lorsqu’il s’agit des nations africaines, pour imposer une conduite à tenir aux autrichiens. On n’a pas non plus vu une force militaire étrangère venir forcer la décision d’un vote, que la plus haute autorité judiciaire d’Autriche, pays indépendant, a refusé d’entériner. Les autrichiens se sont simplement appuyés sur leurs lois, le respect de leurs institutions, pour sortir de l’impasse post-électorale. Recompter des voix, annuler ou organiser une nouvelle élection, ne sont que des banalités prévues dans la Constitution d’un grand nombre de pays prétendument démocratiques.

Dans le même ordre d’idées, on est forcément heureux de constater que les autrichiens n'ont pas connu la même situation d'ingérence d'un pays étranger dans leurs affaires internes, comme les ivoiriens en 2010, qui durent subir les lubies hégémoniques et prédatrices de l'Ex-roitelet élyséen, le «nano» ou diminutif Nicolas Sarkozy juché sur ses sabots, qui fit intervenir les forces coloniales françaises, pour régler leurs différends post-électoraux. Une récurrence de la part de la France en Afrique, un continent devenu sa chasse gardée, son seul terrain d’exploit, où ses hommes s’exercent méthodiquement à la déshumanisation des africains et au vol sans états d’âmes de leurs ressources. La faute à qui ?

D’abord à ces africains qui ne parlent que de démocratie, mais chez eux, méprisent le vote populaire et ne veulent arriver au pouvoir, qu’assis sur des chars français. C'était d'ailleurs la seule stratégie de conquête de pouvoir de l'ancien opposant camerounais Maurice Kamto, numéro un autoproclamé dans son rang, qui n'avait pour seul projet pour l'alternance au Cameroun, que la phrase idiote de «Communauté Internationale», qu'il citait redondamment dans ses discours, comme pour invoquer à chaque fois cette main puissante étrangère, qui a toujours fait et défait des «Préfets» en Afrique, pour servir ses intérêts égoïstes.

L’humanoïde génocidaire Allassane Ouattara pour prendre un autre exemple, ne se sent véritablement Président de la Côte-d’Ivoire, que parce qu’il doit son poste à un «Blanc», sa seule référence tutélaire, comme pour des millions d’africains malheureusement. Ils étaient en effet d'un certain nombre en 2011, à avoir accueilli avec délectation, le bombardement du palais présidentiel ivoirien, pour y extirper Laurent Gbagbo, le Président pourtant élu, afin que puisse être installé à sa place, un relais éhonté de l’impérialisme occidental. Est-ce que c’est alors bien comme ça ?  

L’Autriche et le Royaume-Uni viennent donc de donner à ces africains empruntés, une belle leçon de modernité. C’est justement à eux, qui ne veulent pas sortir - mentalement - des plantations de la servitude et des pièges tendus par leurs prédateurs séculaires, que les autrichiens et les britanniques se sont adressés. La vérité s'obtient dans les urnes, quand on crie «Démocratie»" à se couper les cordes vocales et on ne règle pas un conflit post-électoral avec des bombes, des machettes, des amulettes ou gris-gris et du sang inutilement versé d’un peuple qu’on prétend vouloir servir.

D’ailleurs même, en Afrique, traditionnellement, il n’y a pas de combat fratricide pour la succession d’un Chef. C’est pour ça que les massacres de Duékoué (Côte-d'Ivoire), pour ne citer que cet exemple là, étaient d’abord une honte indicible, avant d’être cette tragédie qu’on connait, pour un peuple Noir africain multi-millénaire, intelligent, solidaire et structuré.