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jeudi 22 décembre 2016

INTELLIGENCE AUTOUR DE L’ATTENTAT DE BERLIN, ON S’Y PERD...

Si vous allez commettre un crime et que vous avez l'intention de vous enfuir juste après, vous n'emportez pas votre pièce d'identité avec vous, que pour bien faire les choses, vous prenez même le soin de laisser sur le lieu de votre macabre forfait. Ou bien ? Fuir dans ces circonstances est inutile, car ce document hautement compromettant renseignera naturellement les enquêteurs sur votre identité et précipitera à terme votre arrestation. 
Un djihadiste qui va tuer des gens est par définition programmé pour mourir. Il sait lui-même que la probabilité qu’il revienne vivant est nulle. C’est le but ultime de son engagement. Donc, s'il n’a pas besoin d’une pièce d’identité pour accéder au paradis, l’idée même qu'il puisse en avoir besoin pour aller se donner la mort est saugrenue. Nous sommes d’accord non ? D’ailleurs même, les seules conditions requises à ces candidats de la mort stupides et un peu « retardés », s’ils veulent profiter de la volupté des filles vierges qu’on leur a promises au paradis, c’est de mourir, en entrainant la mort d’un maximum de personnes innocentes autour d’eux. 

Comme quoi, quand les médias mainstream collabo-fascistes occidentaux ne savent plus quoi dire pour maintenir élevé leur niveau de mensonge et de propagande, ils fabriquent du foin facile à digérer pour un bétail désespérément suiveur. Les frères Kouachi, auteurs présumés de l'attentat de Charly Hebdo à Paris en janvier 2015, avait déjà « aidé » les policiers à les identifier, en « oubliant » une de leurs cartes d’identités sur le lieu de leur crime… Minalmi ! 

mercredi 21 décembre 2016

LA VILE SURENCHÈRE ÉMOTIONNELLE AU SERVICE DE LA DESTABILISATION DE LA SYRIE

Il y a quelques jours encore, victimes ou co-auteurs de la manipulation de leurs politiques et de leurs médias, certains français s'employaient assez librement d'ailleurs, à la provocation et à la transgression, en brandissant pendant leurs manifestations de soutien aux syriens, un drapeau subversif, qu'ils attribuaient sottement à la Syrie. Ce ne sont pourtant pas ces hommes politiques et les médias d'information français, qui désignent les dirigeants d'une Syrie, dont la souveraineté ne peut pas être remise en cause, encore moins par des gens qui n'ont même plus aucune légitimité dans leur propre pays. En presque 5 années de présidence, François Hollande n'aura réussi que la seule prouesse de créer une république imaginaire de Syrie, contrôlée par des hordes de barbares rétrogrades et à provoquer la haine de la France à l'étranger. C'est donc comme ça qu'on voyait récemment m'insurge-je ici, des convois présumément humanitaires - plus soucieux de vendre de l'émotion, que de proposer une aide réelle aux victimes syriennes -, qui partaient de la France pour la ville d'Alep en Syrie, posant fièrement avec des symboles d'une rébellion syrienne sectaire, islamiste et anthropophage. Les sensibleries et les larmes opportunes de ces professionnels de l'humanitaire hypocrite ne visaient qu'à plier l'opinion récalcitrante en leur faveur. Le peuple syrien leur demande d'ailleurs prestement d'essuyer ces larmes, car les terroristes (islamistes « modérés ») sponsorisés par la France, le Royaume-Uni ou les États-Unis viennent d'être défaits par l'armée arabe syrienne et la paix est entrain de revenir en Syrie. Et j'ajoute même que c'est au cours des quatre dernières années que ces français faussement solidaires, gavés à la propagande mensongère de leurs médias de l'apocalypse, auraient dû faire entendre leurs voix pour faire cesser les atrocités en Syrie, quand le régime de Paris revendiquait ses liens avec les terroristes d'Al Nostra, d'Al Qaida ou de DAESH (peu importe le nom, tous des terroristes), des forcenés rétrogrades, qui étaient leurs bras armés dans leurs projets d'effacement de la Syrie de la carte du monde. 


samedi 17 décembre 2016

SYRIE: Vaines jactances des vrais bourreaux du peuple syrien.

Il n'y a décidément personne pour convoquer la décence chez Alain Juppé et ses comparses. Comment peut-il oser ça après avoir été acteur/complice de la destruction totale de la Libye ? Un peuple qui n'a pas de mémoire n'est vraiment pas libre. Si les français, voire même les européens avaient suffisamment rappelé eux-mêmes, puis à Alain Juppé, qu'il était un repris de justice, jamais cet imposteur n'aurait osé postuler pour gérer leurs affaires, encore moins de l'ouvrir pour donner des leçons aux autres. On aurait dû lui montrer des photos de la Libye aujourd'hui, qui jouit de leur démocratie punitive, radicale, létale même, pour que jamais il ne parla de la Syrie. Ces gens font peur. Ces gens sont des monstres. Voilà quelqu'un qui trouve que pour sauver les syriens, il fallait continuer à les enterrer sous des déluges de bombes. Les intérêts de l'oligarchie valent donc des millions de vie de syriens. Les victimes syriennes de cette rapacerie occidentale ne sont que des chiffres interminables sur les comptes en banques de ces fieffés menteurs. Grâce à Alain Juppé et ses amis, des pousse-au-crime, les libyens ont enterré leur destin. Une tentative désormais vaine concernant les syriens et une Syrie libérée. On ne peut vraiment pas vouloir sauver des gens de la mort, en exterminant méthodiquement leurs enfants. Aucune démocratie ne mérite qu'on assassine pour elle. La pertinence de ces gens ne se trouvent finalement que dans l'infamie. Il fallait qu'il n'en reste plus aucun syrien debout pour que la bande à Alain Juppé soit contente. Tout le monde devrait pourtant célébrer la fin de la pluie des bombes sur Alep. Oui, tout le monde aurait dû se réjouir du retour de la vie dans ce pays tombé en ruines par la bonne grâce d'une bande de criminels déshumanisés sans foi, ni loi. Les seuls qui voulaient effacer la ville d'Alep de la carte du monde, c'était cette élite politique française corrompue, viciée, malhonnête, sectaire et totalitaire. Et c'est la Russie, Vladimir Putin, le peuple syrien derrière son Président élu Bashar Al Assad et leurs alliés, qui ont mis un terme à cette vaste entreprise criminels qui porte tous les germes de crimes contre l'humanité. 

mardi 6 décembre 2016

FRANCE - DÉMOCRATIE DES RÉSEAUX; LA FIN D’UNE ÉPOQUE, MAIS LONGUE VIE AU SYSTÈME.

En démocratie, c'est le peuple souverain qui élit et donne une espèce d'impulsion, une légitimité à ceux qu'il choisit, pour présider à sa destinée. Et pourtant, pour être candidat à la primaire de la droite - c’est valable pour la gauche aussi - qui vient de consacrer François Fillon, il fallait être parrainé et rassembler un certain nombre de signatures, dont l'attribution ne dépendait pas de ce peuple, mais d'un réseau d'influences, d'amis et d'intérêts, qui l'excluait de facto et dont l'agenda réel lui était inconnu. Avec les candidats (Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, François Fillon entre autres), on avait donc retrouvé une classe politique française des cinquante dernières années, accrochée désespérément à son pouvoir, qui n’avait aucune intention de passer la main, quitte à se couvrir de ridicule dans des tentatives foireuses de come-back… 

En fait d'alternance, de renouvellement de personnel politique et de projets de société, on avait imposé aux électeurs de faire un choix qui consistait à investir dans le vieux, pour obtenir du neuf, les urnes n'étant là que pour valider l'imposture. La droite française a donc eu son nouveau « messie », celui qui opérera le miracle économique, social et politique tant attendu, pour cette conscience populaire droite comme gauche confondues, figée, résolument immature, irresponsable et adepte des théories irrationnelles, surtout quand on sait que la gestion de la vie des peuples ne doit rien au hasard et que Jésus-Christ n'a jusqu'ici existé que dans le nouveau testament et l'imaginaire des esprits faibles. On ne fait que contribuer à l'ancrage durable des maux de nos sociétés, lorsqu'on investit sur des individus, qui ont pourtant déjà fait les preuves de leur incurie, alors qu’il eut été plutôt judicieux de s’atteler à la création d’un nouveau modèle social ou à l’écriture d’un nouveau contrat plus juste entre les citoyens et ceux qui sollicitent leurs votes.   

L’échec de Nicolas Sarkozy à la primaire de la droite ou même celui de Juppé, c’était la fin d'une époque, mais pas celle d'un système, qui a toujours su se renouveler. La preuve, François Fillon qui fait désormais office de novice dans l'arène politique française avec sa candidature à la prochaine élection présidentielle, suscitant même un espoir et un enthousiasme qui étonnent, alors qu'il est le symbole de l'échec cuisant du précédent quinquennat. Les moins crédules des français sont néanmoins vengés par des événements hors de leur contrôle, comme la (prochaine) fin heureuse de la présidence infecte de François Hollande, faite d'irresponsables séances de livraisons nocturnes de croissants à sa maîtresse assis derrière un scooter, jusqu'à son aplaventrisme puéril face à l'administration américaine, en passant par son projet de la déchéance de la nationalité qui était notoirement discriminatoire, raciste, et qui avaient transformé la cinquième puissance mondiale en banal pays sectaire du tiers-monde, perfusé aux injonctions et à la satisfaction des intérêts du pays de Barack Obama. Le Président qui se voulait normal avait cassé la jauge de la normalité et tout se mit à aller dans tous les sens, incontrôlable il devint, comme ces sondages d'opinions à un chiffre, qui le situe très bas dans l'estime de ses propres compatriotes, faisant de sa présidence, une vaste fumisterie. Il ne se représentera pas... Quelle sortie honteuse, « moi Président ! » 


dimanche 4 décembre 2016

CAMEROUN - « ÉTAT DE DROIT », DOUBLE STANDARD

Que des camerounais, censeurs autoproclammés, invoquent l'état de droit et sous forme d'injonctions, demandent à tout le monde de condamner sans s'interroger, des excès des forces de l'ordre camerounaises sur les populations du Nord-Ouest et du Sud-Ouest Cameroun, qui auraient récemment outrepassé leurs missions de maintien de la paix, en réprimant dans la violence, des manifestations jugées pacifiques, j'ai envie de dire, pourquoi pas ? Dans le fond, qui pourrait tolérer la violence policière sur des populations civiles au moment où celles-ci expriment dans la paix, leurs mécontentement envers leurs dirigeants politiques ? Le droit de grève, si je ne m'abuse, est inscrit dans la constitution camerounaise. Il est de ce fait intangible et a même rang de valeur fondamentale, en ce qui me concerne. 

Mais seulement, on ne peut pas comprendre, que ces mêmes bien-pensants, chantres des indignations sélectives, mus par des tendances politiques du chaos et une idéologie clairement sectaire, ne réclament l'état de droit au Cameroun que lorsqu'il s'agit de sanctionner une bavure policière par exemple d'une part, mais de l'autre curieusement, sacralisent par un silence complice, des pratiques barbares qui foulent aux pieds les principes fondamentaux de la république. Combien de fois ces tenants indécrottables de la mauvaise foi, se sont-ils déjà indignés de la banalisation de la vindicte populaire (punition d'un crime par le peuple et non par la loi) par les camerounais qu'ils prétendent défendre contre l'état ? En tant que citoyen, on n'a pas que des droits, on a surtout des devoirs. 

La peine de mort n'est pas encore abolie au Cameroun, mais c'est une sanction qui, même si elle est toujours prononcée et c'est très rare, elle n'est plus mise à exécution depuis pas mal de temps. Un tort que certains camerounais se chargent de réparer avec une fière exaltation. Il vous est donc déjà probablement arrivé de tomber sur une foule en liesse dans une rue d'une ville camerounaise, des individus armés de machettes et de gourdins, entrain de lyncher méthodiquement un individu suspecté de vol, qu'ils finiront par asperger de pétrole et de brûler vif. Une barbarie qui s'institutionnalise, gagnant l'assentiment de tous ou presque. On a donc naturellement du mal à comprendre que des monstres et leurs cautions tapies derrière des claviers d'ordinateurs, puissent revendiquer des droits qui ne sont pourtant réservés qu'aux êtres humains.