D'ici, j'ai pu entendre des cris indignés, apercevoir même de la stupeur dans certains regards, ceux de ces africains empruntés, comme si la météo venait d'annoncer l'imminence d'un tsunami. Ces lâches qui ont troqué leur histoire, leur mémoire, pour du fromage et d'un peu de neige l'hiver. Plus royalistes que le roi, ils éructent des risibles «Je suis français, Je suis chez moi en France», balançant nerveusement les bras le long du corps, comme des orang-outans défendant leurs territoires. Ils se croient où ?
Marine Le Pen a raison, la France appartient d'abord aux français et devraient être la priorité de leurs élus, naturellement. La Présidente du Front National veut libérer son pays du capitalisme anthropophage, qui ne fait pas des ravages qu’en France et qui est même la conséquence directe du flux migratoire important que connait l’Europe depuis des lustres. C’est son droit, vouloir défendre son peuple, en plus d’être légitime.
Des millions d'africains, moi y compris, qui dénonçons quotidiennement la Françafrique et ses rouages mafieux, ne demandons que la même chose en retour chez nous. Et c’est, pêle-mêle, l’indépendance «effective» de nos États africains, la fin de l'étranglement de nos économies par le Franc CFA - monnaie esclavagiste qui ne sert qu'à remplir les caisses désespérément vides de l'État colonial français -, entre autres crimes perpétrés sur nos peuples. Et ce sont là, des impératifs intangibles ! Suis-je aussi raciste que Marine Le Pen, en tentant d’imposer la règle de la réciprocité sur les sujets qui tournent autour de l’immigration nuiseuse et très souvent criminelle ?
Et si nous réalisions tout cela en Afrique, Marine Le Pen ne ferait donc peur à aucun immigré africain, car ce dernier sera tellement prospère et heureux chez lui, libre des changements de régimes à la bombe de François Hollande ou Nicolas Sarkozy, débarrassé surtout des pillages systémiques et systématiques des multinationales esclavagistes tels que Bolloré, Bouygues, Areva…etc, que l'idée de venir porter des cartons et balayer les rues françaises sous l'hiver parfois très rude occidental, ne lui traversera jamais l'esprit. Il n'y a donc que les étroits d’esprit qui s'offusquent des propos, bien parfois volontairement populistes de la Présidence du Front National. J'adore cette femme !