Les stratégies de prédation, de vol à mains armées des ressources naturelles de l'enclos colonial français en Afrique s'accompagnent désormais de certaines pratiques honteuses que réprouve la morale des hommes... Les lois et les règles de notre société sont claires là-dessus, elles garantissent la survie et pérennise notre humanité en axant ses actions sur la protection des enfants...
On ne peut pas vouloir la paix et la démocratie dans un pays comme le veut la mission des soldats français de l'opération «Sangaris» en Centrafrique, en soumettant ses plus jeunes enfants à l'exercice d'une sexualité débridée, réservée aux seuls adultes consentants. C’est vraiment la double peine pour cette Ex-République Centrafricaine, dont la souveraineté est confisquée par la bande à Hollande et dont le seul tort est d’avoir un sous-sol très riche... Allégée d’une part de ses ressources naturelles, ses jeunes fils d’autre part, mineurs de surcroit, sont brutalement exposés aux viols et vols de leur innocence par de dangereux criminels venus de France, dont la mission pompeuse et enfumante était de venir les sauver !
Cette classe dirigeante française peut-elle enfin comprendre qu’elle est cernée et que ses pratiques mafieuses, prédatrices, criminelles du siècle dernier et d’avant, sont connues de tous en Afrique, surtout des jeunes générations, celles appelées à diriger demain ? Pour le Ministre français de la Défense Jean Yves Le Drian, pour prendre cet exemple là, les soldats français qui se seraient livrés à ces actes ignobles sur de jeunes mineurs, auraient sali le drapeau français... Eux et leur drapeau, plus que leurs proies, honteuses, désarmées et exposées... Non Monsieur, on ne sali pas le drapeau de son pays, quand on viole un enfant ou le force à «sucer» le pénis d’un pervers baveux. Toujours le même mépris des douleurs qu’engendre leurs coups portés lâchement sur leurs victimes, qui se comptent toujours parmi les plus faibles. Ces gens-là, mentalement, sont toujours installés dans leurs conforts de maitres esclavagistes d’il y a quelques années.
Savent-ils seulement que l’Afrique ne dort plus, qu’elle est debout, fière, forte et surtout très optimiste? Qu’ils ajustent leurs montres, ils sont vachement en retard...
On ne peut pas vouloir la paix et la démocratie dans un pays comme le veut la mission des soldats français de l'opération «Sangaris» en Centrafrique, en soumettant ses plus jeunes enfants à l'exercice d'une sexualité débridée, réservée aux seuls adultes consentants. C’est vraiment la double peine pour cette Ex-République Centrafricaine, dont la souveraineté est confisquée par la bande à Hollande et dont le seul tort est d’avoir un sous-sol très riche... Allégée d’une part de ses ressources naturelles, ses jeunes fils d’autre part, mineurs de surcroit, sont brutalement exposés aux viols et vols de leur innocence par de dangereux criminels venus de France, dont la mission pompeuse et enfumante était de venir les sauver !
Cette classe dirigeante française peut-elle enfin comprendre qu’elle est cernée et que ses pratiques mafieuses, prédatrices, criminelles du siècle dernier et d’avant, sont connues de tous en Afrique, surtout des jeunes générations, celles appelées à diriger demain ? Pour le Ministre français de la Défense Jean Yves Le Drian, pour prendre cet exemple là, les soldats français qui se seraient livrés à ces actes ignobles sur de jeunes mineurs, auraient sali le drapeau français... Eux et leur drapeau, plus que leurs proies, honteuses, désarmées et exposées... Non Monsieur, on ne sali pas le drapeau de son pays, quand on viole un enfant ou le force à «sucer» le pénis d’un pervers baveux. Toujours le même mépris des douleurs qu’engendre leurs coups portés lâchement sur leurs victimes, qui se comptent toujours parmi les plus faibles. Ces gens-là, mentalement, sont toujours installés dans leurs conforts de maitres esclavagistes d’il y a quelques années.
Savent-ils seulement que l’Afrique ne dort plus, qu’elle est debout, fière, forte et surtout très optimiste? Qu’ils ajustent leurs montres, ils sont vachement en retard...
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