--- Le drame que vit l'Afrique à travers le procès, puis la condamnation de l'épouse de l'ex chef de l'état ivoirien a d'abord ses premiers supporters en Afrique. Ceux qui se délectent le plus de l'arrestation et de la détention arbitraire de Laurent Gbagbo à la cour pénale internationale, pourtant une institution judiciaire inique, dont les penchants raciste et négrophobe ont déjà été éprouvés, ce sont d'abord les nègres eux-mêmes. Voilà les dommages collatéraux de l'école coloniale sur le nègre, voilà la profondeur de l'abîme dans laquelle gisent nos consciences. Le bis repetita de la traite négrière… le sabordement donc. La porte de sortie c’est par où?
--- Des youyous de macaques décoincés avaient accompagné les bombardements massifs du palais présidentiel ivoirien au mois d’avril 2011 par l’armée coloniale française, ainsi que la capture du Président Gbagbo. Des couinements d’extrême jouissance retentirent aussi à l'apparition de Simone son épouse, tirée par les cheveux, presque dénudée par une horde de sauvages en haillons couverts d'amulettes, qui célébraient ainsi sans le savoir, leur (énième) encagement, qu’ils prirent confusément pour la liberté et la démocratie. Et s’aiderait-on de gris-gris, de machettes, de fléchettes et de marabouts pour atteindre cet objectif là?
--- L’école pour une génération d’africains avait servi à déverrouiller les portes de l’oppression, pour reprendre Nelson Mandela. C’était disait-il, un outil indispensable pour lutter contre la logique tordue du maitre esclavagiste… Les intellectuels africains de nos jours, eux sont allés à l’école pour mépriser leur mémoire et insulter l’histoire de l’Afrique noire. La haine d’eux-mêmes et de ce qu’ils sont intrinsèquement les empêche de comprendre ou peut-être ne veulent-ils simplement pas voir. Tout pour le maitre blanc, leur seule référence tutélaire, celui à qui ils cherchent désespérément à ressembler… Dans le monde Occidental, on entre dans la fonction publique par dépit, en Afrique, c’est le Graal, on est élevé et éduqué pour tout attendre de l’État ou pour se tourner contre lui, quand rien ne va… Ce serait donc qui ou quoi cet État là? A t-on jamais eu meilleure définition de l’autoflagellation que ça? Pardon, allons-nous en !
--- La condamnation à 20 ans de prison de Simone Gbagbo tentais-je de dire, alors que le parquet en avait requis la moitié, n’est pas seulement une insulte à la démocratie pour laquelle les peuples africains sont invités à se déchirer, c’est un déni de justice, ajouté au maintien indu de son mari à la Haye, c’est le prolongement du viol de la souveraineté ivoirienne, la perpétuation même d’une politique néo-coloniale occidentale en Afrique, faite de mépris, du déni d’humanité et de la confiscation de la mémoire noire. Y aurait-il donc une autre langue pour faire comprendre aux fils d’Afrique que si la France, au mépris des lois internationales, celles qui garantissent la souveraineté des peuples et l’indépendance de leurs États, avait bombardé un palais présidentiel et capturé un Président élu pour le remettre à un groupe rebelle, ça n’a jamais été pour le bien de la justice? Ce n’était que la traduction de la volonté de la France, celle de remplacer Laurent Gbagbo par un préfet plus accommodant, l’humanoïde génocidaire Alassane Ouattara.
--- Je ne me lasserai jamais de me poser cette question; pourquoi avoir laissé à l’une des parties prenantes d’un conflit sanglant, le soin d’instruire et de juger des crimes dont elle-même est accusée? Pourquoi la CPI ne s’est-elle jamais saisie de cette affaire Simone Gbagbo, autant qu’elle l’eut fait pour son mari, si la vérité, la justice et plus loin la réconciliation des ivoiriens étaient les seuls objectifs poursuivis? La justice ivoirienne, aussi bien que la Cour Pénale Internationale ont donc démontré qu’elles étaient des instruments de vengeance (ou de justice politique) aux mains des vainqueurs que sont l’éphémère nano Président français Sarkozy et sa clique amie de bouchers au pouvoir en Cote-d’Ivoire.
--- Des youyous de macaques décoincés avaient accompagné les bombardements massifs du palais présidentiel ivoirien au mois d’avril 2011 par l’armée coloniale française, ainsi que la capture du Président Gbagbo. Des couinements d’extrême jouissance retentirent aussi à l'apparition de Simone son épouse, tirée par les cheveux, presque dénudée par une horde de sauvages en haillons couverts d'amulettes, qui célébraient ainsi sans le savoir, leur (énième) encagement, qu’ils prirent confusément pour la liberté et la démocratie. Et s’aiderait-on de gris-gris, de machettes, de fléchettes et de marabouts pour atteindre cet objectif là?
--- L’école pour une génération d’africains avait servi à déverrouiller les portes de l’oppression, pour reprendre Nelson Mandela. C’était disait-il, un outil indispensable pour lutter contre la logique tordue du maitre esclavagiste… Les intellectuels africains de nos jours, eux sont allés à l’école pour mépriser leur mémoire et insulter l’histoire de l’Afrique noire. La haine d’eux-mêmes et de ce qu’ils sont intrinsèquement les empêche de comprendre ou peut-être ne veulent-ils simplement pas voir. Tout pour le maitre blanc, leur seule référence tutélaire, celui à qui ils cherchent désespérément à ressembler… Dans le monde Occidental, on entre dans la fonction publique par dépit, en Afrique, c’est le Graal, on est élevé et éduqué pour tout attendre de l’État ou pour se tourner contre lui, quand rien ne va… Ce serait donc qui ou quoi cet État là? A t-on jamais eu meilleure définition de l’autoflagellation que ça? Pardon, allons-nous en !
--- La condamnation à 20 ans de prison de Simone Gbagbo tentais-je de dire, alors que le parquet en avait requis la moitié, n’est pas seulement une insulte à la démocratie pour laquelle les peuples africains sont invités à se déchirer, c’est un déni de justice, ajouté au maintien indu de son mari à la Haye, c’est le prolongement du viol de la souveraineté ivoirienne, la perpétuation même d’une politique néo-coloniale occidentale en Afrique, faite de mépris, du déni d’humanité et de la confiscation de la mémoire noire. Y aurait-il donc une autre langue pour faire comprendre aux fils d’Afrique que si la France, au mépris des lois internationales, celles qui garantissent la souveraineté des peuples et l’indépendance de leurs États, avait bombardé un palais présidentiel et capturé un Président élu pour le remettre à un groupe rebelle, ça n’a jamais été pour le bien de la justice? Ce n’était que la traduction de la volonté de la France, celle de remplacer Laurent Gbagbo par un préfet plus accommodant, l’humanoïde génocidaire Alassane Ouattara.
--- Je ne me lasserai jamais de me poser cette question; pourquoi avoir laissé à l’une des parties prenantes d’un conflit sanglant, le soin d’instruire et de juger des crimes dont elle-même est accusée? Pourquoi la CPI ne s’est-elle jamais saisie de cette affaire Simone Gbagbo, autant qu’elle l’eut fait pour son mari, si la vérité, la justice et plus loin la réconciliation des ivoiriens étaient les seuls objectifs poursuivis? La justice ivoirienne, aussi bien que la Cour Pénale Internationale ont donc démontré qu’elles étaient des instruments de vengeance (ou de justice politique) aux mains des vainqueurs que sont l’éphémère nano Président français Sarkozy et sa clique amie de bouchers au pouvoir en Cote-d’Ivoire.
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