Il faudrait commencer par calmer les ardeurs de quelques excités africains, qui ont vite fait de tracer des parallèles entre les problèmes actuels à la FIFA et ceux inhérents à leurs fédérations nationales de football, quand ils ne le font pas avec leurs dirigeants politiques, dans l’excès et l’obsession qu’on leur connait, qui relève désormais on le sait, d’une pathologie grave... Certains parmi eux, des camerounais notamment, sont allés plus loin, trahissant du même coup le caractère chronique de leur santé mentale, en demandant la démission de Paul Biya, le Chef de l’État camerounais, à la suite de celle de Sepp Blatter, le dirigeant de la FIFA...
Alors on devra leur dit que d’un, Sepp Blatter est un citoyen Suisse et n’a jamais cessé de l’être, qu’il n’a enfreint aucune loi américaine, donc n’a pas de raison d’avoir peur de la justice américaine fantasque, sectaire, raciste, injuste et négrophobe, qui les fascine - le comble. De deux, Blatter était légitime à la tête de la structure qu’il dirigeait, ayant toujours été élu démocratiquement à chaque élection. Toute tentative donc d’association entre ce qui se passe à la FIFA en ce moment et une situation qui prévaut en Afrique, exigerait de l’auteur qu’il soit interné d’urgence dans une unité psychiatrique... Un fou c’est un fou, il n’y a pas de demi-fou !
Nous eûmes espéré que quelques leçons furent retenues par les grands sachants et autres bien-pensants décomplexés que compte l’Afrique, dans la crise qui secoue la FIFA depuis quelques jours, qui a déjà validé quelques arrestations de ses hauts dirigeants et surtout la démission de son Président Sepp Blatter, pour des soupçons de corruption.
Que la justice américaine élargisse sa compétence territoriale sur le sol Suisse, devrait interroger plus d’un, mais c’est plus facile pour tout bon africain qui se respecte, d’enjamber le train du discours convenu dicté par le maitre et ses médias aux ordres, que d’oser le questionnement. Les irréductibles africains de la moutonnerie se sont donc jetés comme des morts de faim sur Sepp Blatter, la victime expiatoire désignée par les puissances étrangères, juste ce qu’il fallait pour les détourner de l’essentiel, les écarter des vrais enjeux... Le FBI, suite à une enquête de plus de deux ans nous dit-on, aurait donc attendu la veille de l’élection du nouveau Président de la FIFA pour ordonner l’arrestation de certains de ses cadres réunis au siège de l’instance faitière du football en Suisse. Pourquoi pas six mois plus tôt, ou plus tard? Les conclusions de ces enquêtes là ne seraient tombées qu’à ce moment précis? Pourtant il est de notoriété publique que la corruption et le clientélisme ont toujours existé à la FIFA, même au sommet de nos États, pour certains des plus démocratiques, supposément. Les États-Unis, la France ou l’Angleterre pour citer ces exemples, financent, équipent et entrainent des groupes terroristes dans le monde, pour renverser des régimes qui ne respectent plus les feuilles de route qu’ils leur soumettent. Et là dessus, la justice irréprochable américaine ne bouge pas, les nègres occidentalisés non plus!
Pourquoi la justice américaine est-elle si prompte à aller poursuivre des escrocs et des corrompus - de petits délinquants - hors de sa juridiction, loin de ses frontières, alors qu’elle reste muette sur les cas répétés de policiers blancs qui abattent les citoyens noirs américains à tours de bras, simplement parce qu’ils commettent l’innommable crime multiséculaire d’être des noirs aux États-Unis? Pourquoi un nègre d’Afrique devrait-il s’associer à la jubilation carnassière de ses prédateurs qui mettent hors d’état de nuire celui qui lui a offert la reconnaissance planétaire, en attribuant à son continent, l’organisation de la Coupe du monde de football? L’Afrique a 55 membres affiliés à la FIFA, correspondant à 55 pays, donc 55 voix comptabilisées à chacune des élections du nouveau Président de la FIFA et c'est l’œuvre de Sepp Blatter.
Contrairement au Conseil de Sécurité de l’ONU où elle est brimée, bâillonnée, ostracisée, à la FIFA, l’Afrique a des voix qui comptent et qui font des rois. Les grandes puissances occidentales n’ont d’ailleurs jamais cessé de reprocher cela à Sepp Blatter, d'avoir donné une place importante aux «petits» pays, au sein d’une organisation importante... Le Royaume-Uni par exemple n’a jamais supporté de n’avoir qu’un seul vote, au même titre que la Turquie ou le Cameroun, au sein de l’instance faitière du football. Ce pays, avec toutes les autres nations esclavagistes du monde, voulaient l’instauration d’une espèce de ségrégation comme celle des races à une certaine époque, avec des statuts différents, avantageux, pour les pays les plus riches ou les plus prestigieux au détriment des autres, qui ne correspondaient pas à leurs standards. Un projet honteux que certains africains sont fiers de reprendre à leur compte.
C’est donc à se poser la question de savoir ce que les africains viennent faire dans la célébration de leur enterrement. Ils sont très contents qu’on leur retire des droits, heureux de n’exister qu’à travers les autres, leurs maitres, serais-je tenté de dire. Les stigmates de la colonisation et de l’esclavage sont plus profonds que ce qu’on croyait. J’ai du mal à imaginer un quelconque confort dans une plantation de la servitude. Le noir m’a vaincu...
Alors on devra leur dit que d’un, Sepp Blatter est un citoyen Suisse et n’a jamais cessé de l’être, qu’il n’a enfreint aucune loi américaine, donc n’a pas de raison d’avoir peur de la justice américaine fantasque, sectaire, raciste, injuste et négrophobe, qui les fascine - le comble. De deux, Blatter était légitime à la tête de la structure qu’il dirigeait, ayant toujours été élu démocratiquement à chaque élection. Toute tentative donc d’association entre ce qui se passe à la FIFA en ce moment et une situation qui prévaut en Afrique, exigerait de l’auteur qu’il soit interné d’urgence dans une unité psychiatrique... Un fou c’est un fou, il n’y a pas de demi-fou !
Nous eûmes espéré que quelques leçons furent retenues par les grands sachants et autres bien-pensants décomplexés que compte l’Afrique, dans la crise qui secoue la FIFA depuis quelques jours, qui a déjà validé quelques arrestations de ses hauts dirigeants et surtout la démission de son Président Sepp Blatter, pour des soupçons de corruption.
Que la justice américaine élargisse sa compétence territoriale sur le sol Suisse, devrait interroger plus d’un, mais c’est plus facile pour tout bon africain qui se respecte, d’enjamber le train du discours convenu dicté par le maitre et ses médias aux ordres, que d’oser le questionnement. Les irréductibles africains de la moutonnerie se sont donc jetés comme des morts de faim sur Sepp Blatter, la victime expiatoire désignée par les puissances étrangères, juste ce qu’il fallait pour les détourner de l’essentiel, les écarter des vrais enjeux... Le FBI, suite à une enquête de plus de deux ans nous dit-on, aurait donc attendu la veille de l’élection du nouveau Président de la FIFA pour ordonner l’arrestation de certains de ses cadres réunis au siège de l’instance faitière du football en Suisse. Pourquoi pas six mois plus tôt, ou plus tard? Les conclusions de ces enquêtes là ne seraient tombées qu’à ce moment précis? Pourtant il est de notoriété publique que la corruption et le clientélisme ont toujours existé à la FIFA, même au sommet de nos États, pour certains des plus démocratiques, supposément. Les États-Unis, la France ou l’Angleterre pour citer ces exemples, financent, équipent et entrainent des groupes terroristes dans le monde, pour renverser des régimes qui ne respectent plus les feuilles de route qu’ils leur soumettent. Et là dessus, la justice irréprochable américaine ne bouge pas, les nègres occidentalisés non plus!
Pourquoi la justice américaine est-elle si prompte à aller poursuivre des escrocs et des corrompus - de petits délinquants - hors de sa juridiction, loin de ses frontières, alors qu’elle reste muette sur les cas répétés de policiers blancs qui abattent les citoyens noirs américains à tours de bras, simplement parce qu’ils commettent l’innommable crime multiséculaire d’être des noirs aux États-Unis? Pourquoi un nègre d’Afrique devrait-il s’associer à la jubilation carnassière de ses prédateurs qui mettent hors d’état de nuire celui qui lui a offert la reconnaissance planétaire, en attribuant à son continent, l’organisation de la Coupe du monde de football? L’Afrique a 55 membres affiliés à la FIFA, correspondant à 55 pays, donc 55 voix comptabilisées à chacune des élections du nouveau Président de la FIFA et c'est l’œuvre de Sepp Blatter.
Contrairement au Conseil de Sécurité de l’ONU où elle est brimée, bâillonnée, ostracisée, à la FIFA, l’Afrique a des voix qui comptent et qui font des rois. Les grandes puissances occidentales n’ont d’ailleurs jamais cessé de reprocher cela à Sepp Blatter, d'avoir donné une place importante aux «petits» pays, au sein d’une organisation importante... Le Royaume-Uni par exemple n’a jamais supporté de n’avoir qu’un seul vote, au même titre que la Turquie ou le Cameroun, au sein de l’instance faitière du football. Ce pays, avec toutes les autres nations esclavagistes du monde, voulaient l’instauration d’une espèce de ségrégation comme celle des races à une certaine époque, avec des statuts différents, avantageux, pour les pays les plus riches ou les plus prestigieux au détriment des autres, qui ne correspondaient pas à leurs standards. Un projet honteux que certains africains sont fiers de reprendre à leur compte.
C’est donc à se poser la question de savoir ce que les africains viennent faire dans la célébration de leur enterrement. Ils sont très contents qu’on leur retire des droits, heureux de n’exister qu’à travers les autres, leurs maitres, serais-je tenté de dire. Les stigmates de la colonisation et de l’esclavage sont plus profonds que ce qu’on croyait. J’ai du mal à imaginer un quelconque confort dans une plantation de la servitude. Le noir m’a vaincu...
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