Pour ceux qui n'avaient jamais assisté à une séance de propagande et de mensonge éhonté en bandes organisées (circonstance aggravante), allumez les chaînes d'infos en continu françaises (BFM TV, France 24, iTélé) et écoutez-les pérorer au sujet de la Grèce et de son Premier Ministre Alexis Tsipras, vous serez servis. Il n'y a plus de limites à l'indécence, l'imposture est érigée en vertu, plus le mensonge est gros, plus il passe… On assiste depuis quelques jours, à un véritable déferlement de mépris, de haine, envers les grecs, qui ne manquera pas de rappeler aux africains, dont les pays sont dans la zone Franc, ce qu'ils vivent chez eux, la dictature du Franc CFA, une monnaie Nazie, inhumaine, criminelle, voire génocidaire, qui pose une hypothèque sérieuse sur leur destin et celui des générations africaines de demain... Passons.
Leur panier prend dorénavant tout, tout y passe en effet, Alexis Tsipras aurait «trahi ceux qui l'avaient élu», il leur a «menti en revenant sur ses promesses de campagne», «volte-face» crient certains, évidemment sans jamais sur quoi exactement portent leurs tristes logorrhées. Ils fabriquent même de faux-anciens militants de Syriza, parti au pouvoir, pour discréditer le leader grec… Alexis Tsipras est pourtant droit dans ses bottes, constant depuis le début, concédant au passage, qu'on ne peut pas sortir d'une crise économique et financière, comme celle que connait son pays en ce moment, sans mesures strictes, j'allais dire sans concessions… Les européistes forcenés qui s'en prennent à lui aujourd'hui, en voulant aligner l'opinion grecque et internationale contre lui, sont les mêmes qui avaient tenté de soustraire la souveraineté du peuple grec, en s'opposant au référendum, qui allait lui permettre de choisir de quelle manière il allait mourir. Puisqu'on ne lui promet que l'enfer, autant choisir de quelle manière y accéder et à quel tempo. C'est ça la démocratie !
Les médias aux ordres français, qui réclament pour eux la liberté de la presse, mais sont à l'aise dans l'exercice d'une information maîtrisée, orientée, intéressée, tirent à boulets rouges sur Alexis Tsipras, faisant semblant de dénoncer son mensonge, dont ils sont les seuls à avoir connaissance. C'est l'hôpital qui se moque de la charité... Si le Premier Ministre grec est un menteur, que serait donc François Hollande, «Moi Président», qui a abandonné après son élection, le modèle socialiste sur lequel il était élu, pour adopter un atlantisme totalement décomplexé ? Si Alexis Tsipras était réellement un dupeur, que serait donc Nicolas Sarkozy, lui qui a le mensonge court, très court même, juché sur des talonnettes ? Le constat qu'il faut faire et qui ne surprendra probablement personne, c'est que la presse dite libre n'existe nulle part, surtout pas dans les pays prétendument démocratiques. Elle est volontairement partisane et n'existe que pour servir les intérêts de ses sponsors, la clique mafieuse qui nous gouverne, sans jamais avoir été élue.
Leur panier prend dorénavant tout, tout y passe en effet, Alexis Tsipras aurait «trahi ceux qui l'avaient élu», il leur a «menti en revenant sur ses promesses de campagne», «volte-face» crient certains, évidemment sans jamais sur quoi exactement portent leurs tristes logorrhées. Ils fabriquent même de faux-anciens militants de Syriza, parti au pouvoir, pour discréditer le leader grec… Alexis Tsipras est pourtant droit dans ses bottes, constant depuis le début, concédant au passage, qu'on ne peut pas sortir d'une crise économique et financière, comme celle que connait son pays en ce moment, sans mesures strictes, j'allais dire sans concessions… Les européistes forcenés qui s'en prennent à lui aujourd'hui, en voulant aligner l'opinion grecque et internationale contre lui, sont les mêmes qui avaient tenté de soustraire la souveraineté du peuple grec, en s'opposant au référendum, qui allait lui permettre de choisir de quelle manière il allait mourir. Puisqu'on ne lui promet que l'enfer, autant choisir de quelle manière y accéder et à quel tempo. C'est ça la démocratie !
Les médias aux ordres français, qui réclament pour eux la liberté de la presse, mais sont à l'aise dans l'exercice d'une information maîtrisée, orientée, intéressée, tirent à boulets rouges sur Alexis Tsipras, faisant semblant de dénoncer son mensonge, dont ils sont les seuls à avoir connaissance. C'est l'hôpital qui se moque de la charité... Si le Premier Ministre grec est un menteur, que serait donc François Hollande, «Moi Président», qui a abandonné après son élection, le modèle socialiste sur lequel il était élu, pour adopter un atlantisme totalement décomplexé ? Si Alexis Tsipras était réellement un dupeur, que serait donc Nicolas Sarkozy, lui qui a le mensonge court, très court même, juché sur des talonnettes ? Le constat qu'il faut faire et qui ne surprendra probablement personne, c'est que la presse dite libre n'existe nulle part, surtout pas dans les pays prétendument démocratiques. Elle est volontairement partisane et n'existe que pour servir les intérêts de ses sponsors, la clique mafieuse qui nous gouverne, sans jamais avoir été élue.
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