On peut refaire la question autant de fois qu'on le voudra et de manières différentes, qu'on y arrivera pas... Pourquoi selon votre patronyme, la confession qu'on vous prête ( si si, ça se décrète !), votre origine, un crime que vous commettrez, passera toujours le test d’un présupposé acte terroriste, ascendant islamiste ou pas ?
Autre chose, le nom «État Islamique» n'a jamais été autant cité qu'en ce moment, pour ajouter à la confusion ambiante et alimenter la terreur, qu'on prétend pourtant vouloir combattre à tout prix. Un carnage, une boucherie humaine, une fusillade sanglante, toutes ces horreurs indicibles, n'ont jamais eu besoin d'être motivées par un quelconque islamisme présumément radical, pour être des atrocités.
Notre société marche vraiment sur la tête ! Le Procureur de la République nous apprend que quelques jours avant de passer à l'acte, le tueur de Nice avait tenté de retirer 1000€ d'un distributeur automatique de billets, mais n'avait pu obtenir que la moitié. Selon la même source, notre «rapide» radicalisé avait aussi sollicité en vain auprès de sa banque ou d'une autre institution bancaire (on s'en fout), un crédit à la consommation de 5000€, dont on se doute bien, qu'il en avait besoin, pour financer son projet macabre. Bien.
Alors, pourquoi vouloir à ce point associer l'État Islamique, une organisation criminelle, que les mêmes - médias et politiques français -, avec force conviction, nous disent qu’elle est puissante militairement et financièrement, dans un projet d'envergure comme les multiples meurtres de Nice, alors qu’elle n'a même pas été capable de donner à son soldat supposé, les moyens logistiques et financiers, qui allait lui permettre de mener à bien son entreprise criminelle ? Le nouveau converti «rapide» à l’islam radical de nos hommes politiques avait donc été obligé de vendre sa voiture pour financer sa mission… Une raison à cela Manuel Valls ?
La Syrie et l'Irak font aussi redondamment le tour des médias français comme étant les bastions du terrorisme international, le fief supposé de l'hydre terroriste État Islamique. Mais les citer après le drame survenu à Nice, pourtant à plusieurs milliers de kilomètres de là, interroge quand même, autant que ça ne semble pas détourner l'ambition un peu illicite de l'exécutif français d'aller combattre ailleurs un mal, qu'il élève et entretient plutôt dans ses propres frontières. Le tueur de Nice, tunisien d’origine et de nationalité, vivant en France, n’avait pour seuls liens avec la Syrie ou l’Irak, que ceux que les médias et les hommes politiques français lui ont «généreusement» attribués après sa mort… But who cares ?
Enfin, peut-on me dire à quel niveau se trouve la responsabilité des mosquées et de l'islam dans le massacre de Nice, quand on sait que l'auteur présumé n'était pas croyant, ni pratiquant, adepte d'une sexualité déviante du point de vue de l'islam, homosexuel donc, qu'il se droguait, buvait de l'alcool et mangeait du porc ?
Autre chose, le nom «État Islamique» n'a jamais été autant cité qu'en ce moment, pour ajouter à la confusion ambiante et alimenter la terreur, qu'on prétend pourtant vouloir combattre à tout prix. Un carnage, une boucherie humaine, une fusillade sanglante, toutes ces horreurs indicibles, n'ont jamais eu besoin d'être motivées par un quelconque islamisme présumément radical, pour être des atrocités.
Notre société marche vraiment sur la tête ! Le Procureur de la République nous apprend que quelques jours avant de passer à l'acte, le tueur de Nice avait tenté de retirer 1000€ d'un distributeur automatique de billets, mais n'avait pu obtenir que la moitié. Selon la même source, notre «rapide» radicalisé avait aussi sollicité en vain auprès de sa banque ou d'une autre institution bancaire (on s'en fout), un crédit à la consommation de 5000€, dont on se doute bien, qu'il en avait besoin, pour financer son projet macabre. Bien.
Alors, pourquoi vouloir à ce point associer l'État Islamique, une organisation criminelle, que les mêmes - médias et politiques français -, avec force conviction, nous disent qu’elle est puissante militairement et financièrement, dans un projet d'envergure comme les multiples meurtres de Nice, alors qu’elle n'a même pas été capable de donner à son soldat supposé, les moyens logistiques et financiers, qui allait lui permettre de mener à bien son entreprise criminelle ? Le nouveau converti «rapide» à l’islam radical de nos hommes politiques avait donc été obligé de vendre sa voiture pour financer sa mission… Une raison à cela Manuel Valls ?
La Syrie et l'Irak font aussi redondamment le tour des médias français comme étant les bastions du terrorisme international, le fief supposé de l'hydre terroriste État Islamique. Mais les citer après le drame survenu à Nice, pourtant à plusieurs milliers de kilomètres de là, interroge quand même, autant que ça ne semble pas détourner l'ambition un peu illicite de l'exécutif français d'aller combattre ailleurs un mal, qu'il élève et entretient plutôt dans ses propres frontières. Le tueur de Nice, tunisien d’origine et de nationalité, vivant en France, n’avait pour seuls liens avec la Syrie ou l’Irak, que ceux que les médias et les hommes politiques français lui ont «généreusement» attribués après sa mort… But who cares ?
Enfin, peut-on me dire à quel niveau se trouve la responsabilité des mosquées et de l'islam dans le massacre de Nice, quand on sait que l'auteur présumé n'était pas croyant, ni pratiquant, adepte d'une sexualité déviante du point de vue de l'islam, homosexuel donc, qu'il se droguait, buvait de l'alcool et mangeait du porc ?
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