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jeudi 22 septembre 2016

NICOLAS SARKOZY, PERCHÉ SUR SES ESCABEAUX, IL CRIE SON AMOUR POUR LA FRANCE ET SA HAINE POUR L'ÉTRANGER

Chaque fois qu'un africain aura échoué ou sera rejeté en Occident, que l'européen lui aura fermé la porte au nez, parce qu'il est nègre ou tout simplement parce qu’il est nul, la plupart du temps, frustré, il se retournera lâchement contre son pays d'origine et ses dirigeants, qu'il rendra responsables de sa foirade. C'est le même africain qui traitera de raciste anti-blanc, son frère qui aura osé dénoncer par exemple, la présence par trop étouffante de la France impérialiste en Afrique ou sa politique africaine notoirement criminogène, dont les conséquences sont longues comme des journées sans pain...

On a donc ce sentiment étrange que le noir n'est programmé que pour être son propre ennemi, avec cette tendance chronique à s'auto-déprécier. Il ne veut exceller que dans la singerie futile et idiote de son bourreau, son Dieu, celui qui peine pourtant à lui attribuer le statut plein d’être humain. Pendant que les européens «s’extrême-droitisent», se renferment sur eux, montent des murs infranchissables autour d'eux ou repoussent la négraille loin de leurs frontières, les africains, dans un élan suicidaire qui interroge, les invitent chez eux, à leurs tables et leur confient leurs destins, comme les gabonais en ce moment, qui crient vouloir la liberté, mais jurent aux noms de tous les dieux que pour y parvenir, ils n'ont trouvé que la France (esclavage, colonisation, Françafrique...etc), celle qui depuis des siècles, s'acharne à les débarrasser de tout ce qui est constitutif de l’humanité chez eux.

La Primaire de la Droite française pour désigner le prochain candidat aux présidentielles de 2017 bat son plein. De toutes les idées qui retiennent l'attention, voire même celles que les candidats veulent absolument promouvoir, c'est celles qui portent sur le musellement, voire l'exclusion de l'étranger (lire ici le nègre). En cause, et comme prétextes fallacieux entre autres, pour davantage haïr le noir, le «regroupement familial». Relevant - si je ne m'abuse - de ce qu'on appelle «libertés fondamentales», il est pourtant acquis que s’il en a les moyens, n'importe quel être humain peut, de plein droit, quelque soit l'endroit au monde où il vit, faire venir sa femme, ses enfants ou plus généralement un membre de sa famille, pour vivre avec lui. Un droit non-négociable, incessible et inaliénable.

Cet acharnement sur eux est curieux. Les étrangers venus d'Afrique et leurs familles qui vivent sur le sol français ne sont pourtant pas responsables du terrorisme en France - qui est une originalité franco-française -, encore moins du taux chômage, qui sait monter, mais ne sait jamais comment redescendre. Faire de cette catégorie de personnes, très souvent fragiles et vulnérables, les responsables des problèmes que rencontre la France est inadmissible, encore moins qu’ils ne doivent faire l'objet des enjeux bassement électoraux.

Si Nicolas Sarkozy peut animer des débats douteux, qu'il veut politiques, dont les thèmes centraux portent sur la discrimination et l'exclusion de l’étranger (noir et arabe) de façon décomplexée, pourquoi le droit à la réciprocité devrait-il être perçu comme un acte de racisme contre les blancs ? Sa cote de popularité est ascendante chaque fois qu’il descend dans la fange pour s’exercer à la détestation gratuite des «autres», quand ça n’ajoute pas simplement quelques centimètres à ses talonnettes XXL. Que les africains apprennent donc de leurs Maitres, en plaçant les mots qu'il faut sur leurs maux… Dire qu'un blanc est raciste, ce n'est pas du racisme inversé ou du racisme anti-blanc. Et c'était ça le message glissé dans ce billet... 

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