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jeudi 16 janvier 2014

Le quinquennat de toutes les entraves

Avec le parti pris incestueux et nauséeux du Conseil d’État, la plus haute des juridictions françaises, d’entériner la volonté du gouvernement d’exclure, de bâillonner ou de censurer un humoriste, une décision  qui avait des relents discriminatoires et négrophobes, qui allait même contre l’intérêt général et violait gravement nos libertés, c’est un pan du mur des cons qui est tombé, cette parodie de justice et de démocratie derrière lesquelles se cachaient ces petits escrocs, braqueurs de nos nations, de nos consciences et surtout pourfendeurs de nos valeurs essentielles.

S’il fallait désigner un seul candidat pour  la légion d’honneur, celui à qui la médaille d’or du meilleur citoyen reviendrait, ce serait bien lui, Dieudonné... Il a servi de détonateur, c’est celui par qui tous les masques sont tombés, nos joyeux drilles sont tous nus! Ils n’ont pourtant pas la honte humble, ces politiques et leurs médias de l'apocalypse, ni le mea culpa léger, on le savait déjà, mais l'essentiel est sauf, dirait l'autre... On sait pour qui nous votons désormais, nous savons tout aussi pour qui roulent nos politiques. Par Sion, ils jurent tous!

La France entière était accrochée aux lèvres de François Hollande avant-hier, son Chef d’État, son fier Président... Dépités, masochistes ou suicidaires (tout ça à la fois), les français attendaient cette adresse de celui qui était censé les guider, les rassurer, sans grand enthousiasme... Ils ne se faisaient guère d'illusion,  qu’avait-il déjà dit ou fait qui aurait changé quoi que ce soit dans le quotidien morose de ses citoyens? Il allait être et on le savait déjà, moins question des sujets brûlants d’une actualité angoissante, voire asphyxiante des français qui ne savaient plus à quel lendemain ils allaient être rendu, piégés par les crises multiples et variées, Julie Gayet était passée par là, ses commandes de croissants matinaux aussi...

Face aux micros, tel un enfant revendiquant son droit au goûter de 16 heures, François Hollande, sûr de sont fait, sa légitimité de premier citoyen français l’aidant, militait davantage pour son droit le plus absolu d’aller trousser qui il voulait et quand il voulait, car c’était sa vie privée, rien que ça!
Il ne semblait pas imprégné du ridicule de son aventure adultérine, ni du préjudice moral que cette situation scabreuse causait à cette noble et haute fonction qu’est la sienne, lui à scooter, allant rendre visite à une maitresse ou lui apportant des croissants...
La fonction de la plus haute autorité d’un pays commande justement une autre attitude, une autre approche. Être Président d’un pays n’est pas une fonction normale et de quel droit la banaliserait t-il? Pourquoi s’en servir pour mettre dans son lit ce que ne lui aurait autrement jamais permis ses fantasmes, même les plus délirants? Est-ce là le but d’un engagement politique? L’ivresse du pouvoir, tu parles! 
Il est clair que le joyeux lutin avait atteint son Graal et Président de la République, ça doit servir, parvenu qu’il est!

Le CRIF et la LICRA, deux associations qui font de la surenchère victimaire pour conforter le suprémacisme juif ont clairement pris en otage nos institutions et nos hommes politiques... Sur le sujet Dieudonné par exemple, c’était eux qui dictaient la cadence, fixaient le tempo et Valls, notre Ministre de l’Intérieur exécutait, sagement et au nom de la République...laïque!  Oui, de minables carriéristes ont bradé la République française et ses valeurs, des associations communautaristes interprètent désormais les faits et gestes des citoyens, quand ça ne leur plait, ils somment nos dirigeants de les censurer, même un regard mal placé sur un juif et on en devient antisémite...

Notre monde est fou...

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