L’Afrique, celle des peuples noirs, a une histoire, elle a donc une mémoire qu’il faut faire vivre, qui doit nous survivre. L’histoire nègre, celle de la traite négrière et de l’esclavage, c’était aussi des orgies homosexuelles que les captifs noirs devaient subir pour que leur domination soit effective. Un jeune et robuste mâle nègre devait être abusé sexuellement par l’esclavagiste, il fallait qu’il lui fasse don de ses parois rectales pour que sa condition d’assujetti soit actée... On devait lui casser le cabinet, c’était ça l’acte probatoire pour accéder au statut d’esclave. Mince alors !
Voilà pourquoi hors du sanctuaire inviolable de l’intimité ou de la vie privée de tout être humain, du respect que nous devons tous à l’orientation sexuelle que chaque individu choisit d’adopter, le prosélytisme homosexuel en Afrique noire doit être combattu à la dernière énergie, car c’est la perpétuation d’un acte dont le but clairement avoué pendant la traite négrière était d’avilir l’homme noir, de l’humilier, de le casser, une façon de lui retirer ce qui lui restait comme fierté et de lui dénier l’humanité.
Les peuples noirs dans leur très grande majorité disent non au lobbying homosexuel chez eux, certains étendent ce refus à la pratique même de cette sexualité, ils la rejettent, ils ont raison et je souscris d’ailleurs. Il n’est pas exclu que leurs positions évoluent sur la question, sur sa dépénalisation par exemple, à laquelle je souscris d'ailleurs. L’homosexualité, comme loi avec des droits comme en France ne peut donc pas et doit pas être politisée en Afrique, car nous n’avons pas la même histoire. C’est une question sociétale, que les africains dans l’intelligence qui les caractérise, sauront trancher sereinement, sans pression, ni passion. Ils avouent aussi par ailleurs ne pas avoir l’intention d’aller voir ce que font les gens sous leurs couettes, ce qui veut dire qu’aucun procès en homophobie ne saurait donc être une option à privilégier.
Voilà pourquoi hors du sanctuaire inviolable de l’intimité ou de la vie privée de tout être humain, du respect que nous devons tous à l’orientation sexuelle que chaque individu choisit d’adopter, le prosélytisme homosexuel en Afrique noire doit être combattu à la dernière énergie, car c’est la perpétuation d’un acte dont le but clairement avoué pendant la traite négrière était d’avilir l’homme noir, de l’humilier, de le casser, une façon de lui retirer ce qui lui restait comme fierté et de lui dénier l’humanité.
Les peuples noirs dans leur très grande majorité disent non au lobbying homosexuel chez eux, certains étendent ce refus à la pratique même de cette sexualité, ils la rejettent, ils ont raison et je souscris d’ailleurs. Il n’est pas exclu que leurs positions évoluent sur la question, sur sa dépénalisation par exemple, à laquelle je souscris d'ailleurs. L’homosexualité, comme loi avec des droits comme en France ne peut donc pas et doit pas être politisée en Afrique, car nous n’avons pas la même histoire. C’est une question sociétale, que les africains dans l’intelligence qui les caractérise, sauront trancher sereinement, sans pression, ni passion. Ils avouent aussi par ailleurs ne pas avoir l’intention d’aller voir ce que font les gens sous leurs couettes, ce qui veut dire qu’aucun procès en homophobie ne saurait donc être une option à privilégier.
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