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lundi 25 janvier 2016

AFRIQUE: Halte aux nouveaux négriers, le continent africain n'est pas à vendre.

Ali Dangote, même s'il n'était qu'un homme d'affaires, un entrepreneur parmi tant d'autres comme on le sait, réputés n'être intéressés qu'à faire grandir la taille de leurs entreprises ou à gagner des parts de marchés, on ne sait pas moins que tout cela induit mécaniquement par un effet domino, la création des emplois, donc des richesses à travers des investissements, avec comme autre incidence directe, le recul du chômage.
Ali Dangote est donc, à partir de ces simples évidences, lui l'homme le plus riche d'Afrique, plus utile à ce continent et aux africains, que tous les Chefs de nos États réunis et leurs gouvernements, qui pour la plupart, ne sont que de tristes exécutants d'une politique élaborée ailleurs, pour servir des intérêts étrangers.

Lionel Zinsou est à contrario, du moule de ces nouveaux négriers, pires que ceux de la période de la traite négrière, qui ne revendiquent une appartenance à l'Afrique, que pour accentuer sa domination ou sa mise sous-tutelle permanente au profit du Maître. Il est aussi et surtout - tout comme l'opposant camerounais Maurice Kamto, l'humanoïde génocidaire ivoirien ex-burkinabé Allassane Dramane Ouattara, ou encore le détenu de droit commun Camerounais, escroc notoire, Marafa Hamidou Yaya -, l'agent local sur lequel s'appuient les prédateurs pour mener à bien, leurs entreprises honteuses de rapine et de crime de masse. Ils sont les loups dans la bergerie «Afrique», des Judas Iscariote, si le continent noir était Jésus Christ.

Les liens supposés de Lionel Zinsou avec l'Afrique sont forcés, tant et si bien que tout dans son parcours et ses discours l'en éloigne irrémédiablement. Il déteste l'Afrique et serait dans le déni, s'il disait le contraire. Un pays ne peut se réaliser, atteindre ses objectifs de croissance, qu’à la seule condition d’être libre et indépendant. On ne comprend donc pas bien sa logique, quand il conditionne dans ses sorties, quasi systématiquement le développement de l’Afrique à un partenariat qu’il sait d’avance biaisé, malhonnête avec la France.

Et pour exemple donc, l'abandon du Franc CFA qu'il soutient farouchement ou du moins son projet d'abandon, ne sont pourtant pas négociables du fait de leur nocivité dans les économies africaines et sont d'ailleurs une priorité pour tous les États de la Zone Franc. Cette posture qu'on pourrait penser suicidaire du pseudo béninois profite à qui donc, si ce n'est au propriétaire de cette boutique de la mort appelée Franc CFA ?

En effet, et ce traitre le sait, il n'y a aucun développement à envisager dans n'importe quelle contrée de notre monde, sans souveraineté économique effective.
Pendant la traite négrière, la collaboration des noirs n'étaient pas acquise. Les traîtres l'étaient par dévers eux, tandis que ceux d'aujourd'hui, cyniques, froids, postulent eux-mêmes aux postes de «vendeur» du frère. Pas besoin de les y contraindre. Ces nègres de salon ne s’accomplissent que dans le rabaissement de leurs frères et le besoin obsessionnel de servir le Maitre…

C’est ce qui avait fait dire à Rama Yade, Ministre français sous Nicolas Sarkozy, qu’il n’y avait rien au-dessus de la Shoah, alors qu’elle est originaire du Sénégal, cimetière de millions de noirs captifs, qui pendant la traite négrière, refusaient d’embarquer dans les bateaux négriers, ni d’être vendu comme du bétail aux esclavagistes. Elle tenait à sa carrière politique et était prête à toutes les compromissions, même à celles scandaleuses, de l’auto-sabordement pour y parvenir.

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