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dimanche 31 janvier 2016

Centrafrique - Opération Sangaris: Retrait de la France en 2016 ?

La France souhaite mettre un terme à son opération «Sangaris» en République Centrafricaine courant 2016... Normal, sa mission - déstabilisation, mise sous-tutelle et mise à sac de la République Centrafricaine - est terminée… Elle rentrera donc à la maison jouir tranquillement des dividendes de son forfait, loin de tous les soupçons et des regards inquisiteurs de quelques esprits éveillés. Il fallait instaurer la démocratie et restaurer la paix entre les centrafricains, nous dira t-on. Mais seulement, qui ignore que les soldats français - entre autres missions- étaient plutôt en tourisme sexuel dans ce pays ravagé par les guerres, dont le quotidien des populations est de compter, puis d’enterrer leurs morts ?

Au lieu de venir au secours d’un peuple meurtri, ils (les soldats français) se livraient plutôt à la lâcheté d’exposer de jeunes mineurs centrafricains, l’avenir de leur pays, à la pratique d’une sexualité très débridée, généralement réservée aux seuls adultes consentants. Des psy français de tout bord montant même au créneau, pour tenter des explications, attribuant les crimes de ces soldats français de la honte, aux horreurs qu’ils voyaient ou vivaient sur place en République Centrafricaine. Alors, ça veut donc dire qu'un militaire français, sur un théâtre de guerre, à la vue d’un cadavre, d’une tête tranchée par exemple, devrait se soulager en se faisant sucer le pieu par de jeunes mineurs ou en les sodomisant… Triste peuple !

On trouvera toujours toutes les excuses au prédateur, au colon, en commençant par les victimes eux-mêmes, les africains j’entends. L’autre me disait encore dernièrement que la France avait le droit de venir piller en Afrique, car ce sont les dirigeant africains qui la laissent faire. Seulement, il n’arrivait pas à m’expliquer comment un pays comme la République Centrafricaine pouvait se défendre contre une puissance envahissante comme la France et avec quels moyens. Khadafi avait lui-même voulu n’en faire qu’à sa tête et pour le punir, il n’avait finalement pas eu droit à une sépulture décente, valeur essentielle pourtant, son corps étant exposé à la curiosité de badauds dans un marché, avant d'être probablement livré à l’appétit carnassier des hyènes dans le désert libyen.

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