L'éthique et la morale publiques n'ont jamais fait bon ménage avec la politique, aussi vrai que le peuple n'ait jamais exercé de pouvoir nulle part. Celui qui n'a pas encore compris cela, qui par son indolence complice, ainsi que par sa coupable passivité, accepte de jouer le rôle de mouton - dont la seule vocation c'est de suivre et de se faire tondre -, c'est encore le peuple. Aucun épanouissement personnel ou la construction d'un destin national ne passerait par le choix d'un homme, à travers un bulletin de vote glissé dans une urne. C'est un vaste enfumage.
Patrick Balkany a été investi par le parti politique «Les Républicains», pour se présenter aux prochaines élections législatives de juin 2017. Ses multiples mises en examen pour fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale, corruption passive et déclaration mensongère - de jolies épithètes qui cachent mal le grand bandit qu'il est - n'y feront rien.
Personne n'entendra Manuel Valls, le Premier Ministre français, s'offusquer qu'un (multi) mis en examen, personnage sulfureux, dont la moralité et les actes douteux n'émeuvent plus grand monde, se présente à une élection nationale pour gérer la chose publique. Il ne fera pas la même sortie qu'avec Karim Benzema, qu'il jugeait inéligible pour porter les couleurs de l'équipe nationale de football de France, parce que mis aussi en examen dans une affaire.
Non, curieusement, le bien-pensant et vertueux Manuel Valls, Chef de gouvernement d’une République qu’il veut pourtant «irréprochable», ne dira rien sur la candidature infamante de Patrick Balkany, car il appartient à la même tribu que lui, celle de tous ces hommes politiques empruntés, délinquants primaires pour certains d'entre eux, qui ne sollicitent les suffrages de leurs concitoyens, que pour construire leurs carrières, profiter des avantages du système et servir les intérêts des réseaux occultes. Ils sont solidaires entre eux. Le genre de solidarité des grandes traditions de la mafia sicilienne.
Une autre curiosité et non des moindres, c’est le crédit qu’une élite africaine inculte, bête même, mais très fièrement «diplômeuse», accorde à ces vautours. En effet, les François Hollande, Nicolas Sarkozy ou Patrick Balkany, continuent d’être la référence en matière de gestion de la chose publique pour certains africains, malgré la méfiance qu'imposent leurs parcours et ils n’hésitent jamais à les solliciter, pour qu'ils viennent les aider à transformer leurs pays en Afrique. Même le village ne peut plus aider la qualité là…
Patrick Balkany a été investi par le parti politique «Les Républicains», pour se présenter aux prochaines élections législatives de juin 2017. Ses multiples mises en examen pour fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale, corruption passive et déclaration mensongère - de jolies épithètes qui cachent mal le grand bandit qu'il est - n'y feront rien.
Personne n'entendra Manuel Valls, le Premier Ministre français, s'offusquer qu'un (multi) mis en examen, personnage sulfureux, dont la moralité et les actes douteux n'émeuvent plus grand monde, se présente à une élection nationale pour gérer la chose publique. Il ne fera pas la même sortie qu'avec Karim Benzema, qu'il jugeait inéligible pour porter les couleurs de l'équipe nationale de football de France, parce que mis aussi en examen dans une affaire.
Non, curieusement, le bien-pensant et vertueux Manuel Valls, Chef de gouvernement d’une République qu’il veut pourtant «irréprochable», ne dira rien sur la candidature infamante de Patrick Balkany, car il appartient à la même tribu que lui, celle de tous ces hommes politiques empruntés, délinquants primaires pour certains d'entre eux, qui ne sollicitent les suffrages de leurs concitoyens, que pour construire leurs carrières, profiter des avantages du système et servir les intérêts des réseaux occultes. Ils sont solidaires entre eux. Le genre de solidarité des grandes traditions de la mafia sicilienne.
Une autre curiosité et non des moindres, c’est le crédit qu’une élite africaine inculte, bête même, mais très fièrement «diplômeuse», accorde à ces vautours. En effet, les François Hollande, Nicolas Sarkozy ou Patrick Balkany, continuent d’être la référence en matière de gestion de la chose publique pour certains africains, malgré la méfiance qu'imposent leurs parcours et ils n’hésitent jamais à les solliciter, pour qu'ils viennent les aider à transformer leurs pays en Afrique. Même le village ne peut plus aider la qualité là…
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