Quelque soit le terme choisi, ce combat est celui de la souveraineté des peuples. Ils doivent cesser d’être les otages des intérêts occultes de leurs dirigeants et prendre leurs destins en mains. Il est donc question qu’ils se libèrent des griffes acérées des multinationales, des places boursières, des marchés financiers, bref, du capitalisme carnassier, dont les ravages semblent ne pas connaitre de répit.
Il est généralement admis, quoique faux, que les leaders occidentaux ont la démocratie chevillée au corps et en font un impératif intangible pour leurs sociétés. Qu’ils (ces leaders) soient donc indignés que les anglais utilisent les canons de cette démocratie, pour sortir de l’étau meurtrier de la «broyeuse» qu’est l’Union Européenne, est assez intrigante. Et si François Hollande, pour prendre un exemple, était un tant soit peu attaché à la démocratie, l’autodétermination ne devrait pas susciter chez lui des sentiments tels que la «déception» et la «tristesse», pour reprendre ses mots.
C'est d'ailleurs une attitude du Chef de l’État français qui tranche avec celle qu’il a toujours eu hors de ses juridictions, en Syrie notamment, quand il s’immisce dans les affaires internes de ce pays, jugeant que le Président syrien Bashar Al Assad n’est pas légitime pour gouverner un peuple qui l'a pourtant élu. On se rend compte que la démocratie veut finalement dire des choses très différentes à François Hollande selon ses humeurs. On ne doit donc pas être effaré, qu'il dise que le vote anglais est «douloureux» et qu’il le «regrette profondément». Une banalité qu’il partage avec n’importe quel tyran qui tient à son rang…
Une démocratie effective n’aurait en outre pas toléré que le même François Hollande soumette son projet de loi sur le «mariage pour tous» aux députés d’une Représentation Nationale acquise à sa cause, parce que majoritaire - quelle lâcheté ! -, au détriment d’un référendum, qui aurait permis à tous les français de s'exprimer sur un sujet qui les concernait en premier lieu, avant d'être un enjeu de politique politicienne.
L'Union Européenne et son rouage mafieux sont à l’Europe, ce qu’est le Franc CFA aux pays africains de la Zone Franc, un outil redoutable élaboré par des prédateurs pour asservir les peuples ! Dès qu’une opportunité de s’en échapper se présente, même au prétexte de la démocratie, concept inique, qui dessert les peuples, il faut s’en saisir et fuir. Les anglais, même s’ils étaient mangés au «Taro» ou à la «Sauce Gombo» demain, auraient déjà causé un tort énorme aux brigands qui trônent à la tête de nos États et à leurs sponsors. Le «Brexit», dans son esprit, n’est pas loin de la décision des Nègres de s’affranchir des plantations de la servitude, il y a quelques siècles. La liberté n’a pas de prix. Elle s’offre gratuit et sans condition…. Comprenne qui pourra !
Il est généralement admis, quoique faux, que les leaders occidentaux ont la démocratie chevillée au corps et en font un impératif intangible pour leurs sociétés. Qu’ils (ces leaders) soient donc indignés que les anglais utilisent les canons de cette démocratie, pour sortir de l’étau meurtrier de la «broyeuse» qu’est l’Union Européenne, est assez intrigante. Et si François Hollande, pour prendre un exemple, était un tant soit peu attaché à la démocratie, l’autodétermination ne devrait pas susciter chez lui des sentiments tels que la «déception» et la «tristesse», pour reprendre ses mots.
C'est d'ailleurs une attitude du Chef de l’État français qui tranche avec celle qu’il a toujours eu hors de ses juridictions, en Syrie notamment, quand il s’immisce dans les affaires internes de ce pays, jugeant que le Président syrien Bashar Al Assad n’est pas légitime pour gouverner un peuple qui l'a pourtant élu. On se rend compte que la démocratie veut finalement dire des choses très différentes à François Hollande selon ses humeurs. On ne doit donc pas être effaré, qu'il dise que le vote anglais est «douloureux» et qu’il le «regrette profondément». Une banalité qu’il partage avec n’importe quel tyran qui tient à son rang…
Une démocratie effective n’aurait en outre pas toléré que le même François Hollande soumette son projet de loi sur le «mariage pour tous» aux députés d’une Représentation Nationale acquise à sa cause, parce que majoritaire - quelle lâcheté ! -, au détriment d’un référendum, qui aurait permis à tous les français de s'exprimer sur un sujet qui les concernait en premier lieu, avant d'être un enjeu de politique politicienne.
L'Union Européenne et son rouage mafieux sont à l’Europe, ce qu’est le Franc CFA aux pays africains de la Zone Franc, un outil redoutable élaboré par des prédateurs pour asservir les peuples ! Dès qu’une opportunité de s’en échapper se présente, même au prétexte de la démocratie, concept inique, qui dessert les peuples, il faut s’en saisir et fuir. Les anglais, même s’ils étaient mangés au «Taro» ou à la «Sauce Gombo» demain, auraient déjà causé un tort énorme aux brigands qui trônent à la tête de nos États et à leurs sponsors. Le «Brexit», dans son esprit, n’est pas loin de la décision des Nègres de s’affranchir des plantations de la servitude, il y a quelques siècles. La liberté n’a pas de prix. Elle s’offre gratuit et sans condition…. Comprenne qui pourra !
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